La croisade de Macron contre l’État juif
Israël réplique à Macron
Tensions diplomatiques entre Paris et Jérusalem
Une nouvelle fracture diplomatique est apparue entre la France et Israël à la suite des déclarations d’Emmanuel Macron sur la situation humanitaire dans la bande de Gaza. En dénonçant ce qu’il qualifie de « blocus humanitaire », le président français a provoqué une réaction cinglante de la part du ministère israélien des Affaires étrangères (MAE), qui accuse Paris de désinformation et de partialité.
Dans une publication diffusée vendredi sur le réseau social X (anciennement Twitter), le MAE israélien a réagi vigoureusement aux propos tenus plus tôt dans la journée par Emmanuel Macron. « Il n’y a pas de blocus humanitaire. C’est un mensonge éhonté », peut-on y lire. Le ministère dénonce ce qu’il appelle une « campagne contre l’État juif » menée par le président français, affirmant que ce dernier « ignore les faits ».
Selon les chiffres communiqués par Israël, près de 900 camions d’aide auraient été acheminés vers Gaza ces derniers jours. Le Fonds humanitaire pour Gaza (GHF), soutenu par les États-Unis, aurait en parallèle distribué plus de deux millions de repas et des milliers de colis d’urgence, contournant les structures du Hamas. Le MAE israélien souligne que cette initiative a déjà modifié l’équilibre sur le terrain, en réduisant le pouvoir de contrôle du Hamas sur la distribution de l’aide humanitaire.
Paris hausse le ton
Depuis Singapour, où il tenait une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre Lawrence Wong, Emmanuel Macron a exprimé son inquiétude face à la situation humanitaire à Gaza. Le président français a affirmé que le « blocus humanitaire » rendait la situation « intenable » et a averti que, sans amélioration rapide, la France pourrait « durcir sa position collective », laissant entendre que des sanctions contre certains colons israéliens étaient à l’étude.
Cette sortie a été vivement critiquée par les autorités israéliennes, qui accusent Paris de céder à la pression du Hamas et de vouloir récompenser une organisation qualifiée de terroriste. « Au lieu de faire pression sur les djihadistes, Macron veut les récompenser avec un État palestinien », a tranché le MAE israélien.
Une aide qui échappe au Hamas
Sur le terrain, la création de centres de distribution humanitaire indépendants marque un tournant. Ces infrastructures, organisées par la GHF avec l’appui logistique de l’armée israélienne, permettent d’acheminer l’aide directement à la population civile sans passer par le Hamas. Le général de brigade Effie Defrin, porte-parole de Tsahal, a confirmé que deux centres étaient déjà opérationnels, avec un troisième en préparation. Selon lui, l’aide est bien arrivée à Gaza, mais la distribution pose problème, notamment en raison du choix des agences de l’ONU de collaborer prioritairement avec le Hamas.
Cette évolution logistique pourrait à terme réduire l’influence du Hamas sur le quotidien des Gazaouis, notamment en ce qui concerne l’accès aux denrées alimentaires et à l’aide de première nécessité.
Paris favorable à la reconnaissance d’un État palestinien
La critique d’Israël envers la position française s’étend également à la question politique. Emmanuel Macron a déclaré récemment qu’il envisageait une reconnaissance officielle de l’État palestinien par la France d’ici juin, dans le cadre d’une dynamique plus large qui permettrait aussi à plusieurs pays arabes de reconnaître en retour l’existence de l’État d’Israël. Une annonce perçue par Jérusalem comme une tentative de légitimer indirectement les actes du Hamas.
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a lui aussi réaffirmé cette ligne en appelant à la mise en œuvre d’une solution à deux États. Il a annoncé que la France coorganisera, avec l’Arabie saoudite, une conférence des Nations unies sur le sujet dans les semaines à venir.
Des accusations américaines
La réaction de Washington ne s’est pas fait attendre. Selon l’ambassade américaine, toute tentative de reconnaissance d’un État palestinien en réponse à l’attaque du Hamas constituerait une « récompense » pour l’acte terroriste. Un épisode sanglant est notamment cité en exemple : l’attaque armée au musée juif de Washington, au cours de laquelle deux membres de l’ambassade israélienne ont trouvé la mort.
Le désaccord entre la France et Israël dépasse désormais la seule aide humanitaire. Il reflète un clivage plus profond sur la manière d’aborder la résolution du conflit israélo-palestinien, au moment où les tensions s’exacerbent tant sur le terrain que sur la scène diplomatique.
Jforum.fr
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Si Macron tenait le même discours face à la famine au Soudan, on pourrait lui donner le bénéfice du doute.
Mais là le doute n’est pas permis : Macron déteste Israël.
Je me demande, si son passage a la banque Rothschild n’a pas été problématique et que cela aurait induit chez Micron, une détestation des Juifs, maintenant si il a tenu son poste a la banque, comme il gère la France depuis 2017, le clash n’est pas étonnant.
Ce giflé, ce poudré, qu’il aille voyager un peu en Grèce, ça nous fera des vacances, si vous voyez ce que je veux dire…
Je ne suis pas du tout d’accord quand on prétend que la salope ignore les faits. Il ne les ignorent pas du tout, il est seulement hanté par son antisémitisme, comme l’était pompidou lequel a aussi travaillé chez Rotshild. A l’avenir Les Rotshilds devraient enquêter sur chaque individu avant de l’embaucher.
Comment Macron a t il pu se faire haïr des juifs et de l’ État d’ Israel? Cependant, il l’ est également de tous les français. Son incapacité à prendre une décision, son » en même temps », sa politique de girouette l’ ont rendu peu fiable et ridicule et dangereux.
Depuis Ben Gourion, qui a donné l’ordre à Rabin de tirer sur des volontaires de l’Altalena qui venaient défendre le Pays et ont ainsi été détruites les armes qu’il contenait et qui auraient peut-être permis de récupérer Jérusalem et la Justice Samarie déjà à l’époque, les dirigeants d’Israël, certains sous les pressions extérieures et d’autres avec une naïveté enfantine associée à de la stupidité, n’ ont fait le travail qu’à moitié et c’est pour cela que des dirigeants étrangers corrompus et qui montrent leur vrai visage s’engouffrent dans la brèche créée auparavant mais maintenant que les choses sont claires pour la majorité du Peuple d’Israël, il faut aller jusqu’au bout . Même si le travail n’a pas été fait jusqu’ au bout, il n’en est pas moins une réussite inespérée et incontestable et une bonne base pour le compléter définitivement. Il ne faut pas laisser passer cette chance car une autre ne se représentera peut être pas de sitôt !
Je suis d’accord mais ma confiance envers netanyaMOU n’est pas illimitée, car sans ces trêves incessantes qui ont reconstituées le hamas, la liquidation et la dératisation de cette maladie serait déjà accomplie.
Il y a tant de facteurs dans ce conflit mais je pense que Bibi a agi très sagement
En juin 1948, Ben Gourion ne supportait pas que les armées de l’Etsel et du Lehi fonctionnent indépendamment de la Haganah. Il a donc fait tirer sur l’Altaléna et Bégin a refusé de riposter. En octobre 1948, il avait largement les moyens, en hommes et armement, pour reprendre Jérusalem-Est et la Judée-Samarie aux transjordaniens, mais il avait un accord avec le roi Abdallah de respecter le plan de partage onusien. Ni la droite, ni l’extrême-droite n’ont reconnu le plan de partage, ni participé à cet accord avec le roi Abdallah. Aussi, Ben Gourion a refusé de soutenir l’offensive Kedem que le Lehi avait lancée pour reprendre Jérusalem-Est. Si en automne 1948, Ben Gourion avait reconquis Jérusalem-Est et la Judée-Samarie, les squatters arabes en auraient été alors expulsés, et les circonstances auraient été très différentes en 1967. En 1948, il avait une vision étriquée d’Israël à long terme, et il pensait l’État Juif en sous-estimant les capacités du Peuple Juif.
Oui, achever le travail jusqu´au bout! Le hamas doit être écrasé comme une punaise! Am YsraelChai! Que tous les otages soient bientôt libérés!
Je me pose la question de savoir si les punaises ne seraient pas vexées d’être comparées au hamas et à toute la populace gazaouie qui comme tout le monde le sait n’est pas lestiniens, seulement egyptiens.
GUIDON
La Corruption c’est pire que la Drogue …
Micron ne pèse pas la moitié d’un grain de poussière sur la scène moyen-orientale, et il devra faire face à l’opposition des pays d’Europe de l’Est à la tête desquels la Hongrie pour faire voter ses sanctions imaginaires avec lesquelles il devra se torcher le fion à contre-coeur…Triste et misérable clown qui cherche une soupape de secours en politique extérieure qui va elle aussi lui péter à la gueule…
Bibi n’a pas à lui donner plus d’importance qu’il ne mérite pas en vérité, c’est littéralement le chien qui doit aboyer au passage de la caravane…
Macron fautif à 100% il fait pire ce qu’avait avant le français nazi Petain , reconnaître un pays imaginaire ? il doit démissionner car on ne pactise pas avec les terroristes ….
Il va falloir que maman Brigitte mette une autre paire de baffes à son garnement en mal d’éducation qui ne sait pas fermer sa gueule.
Il raconte tellement de conneries qu’on ne sait plus quoi dire pour les corriger.
Ce dégénéré n’a qu’une seule obsession : montrer sa figure aux caméras….