La nouvelle feuille de route à Gaza : voici comment Tsahal envisage de gérer la sécurité, sans gouvernement militaire
L’armée israélienne se prépare depuis des années à une présence opérationnelle de renseignement à travers un ensemble de couloirs sécurisés qui, si un accord est conclu, peuvent être démantelés. Le moyen est le contrôle d’une zone tampon à la frontière et sur les axes stratégiques. Dans le même temps, Netanyahu rejette l’intégration de l’Autorité palestinienne dans une future administration.
Ron Ben Yishai
Dans la bande de Gaza, deux facteurs retardent la fin de la guerre. Le premier, le manque d’avancées sur le sujet des personnes enlevées. Le Hamas exige la fin de la guerre avant d’être prêt à parler d’un petit ou grand accord, et Israël n’est même pas obligé de faire des concessions entre-temps sur la question de l’axe de Philadelphie et éventuellement de l’axe Netzer.
Netanyahou( Photo : ABIR SULTAN / PISCINE / AFP )
Deuxièmement, il n’y a aucun signe de progrès dans la mise en place d’un gouvernement alternatif au régime civil du Hamas à Gaza. Même si certains pays arabes, comme les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, sont disposés à participer à une force internationale de maintien de la paix et à un gouvernement civil à Gaza, ils exigent la participation de l’Autorité palestinienne dirigée par Abou Mazen aux institutions du gouvernement civil et du gouvernement civil avec la force de police internationale, si elle est créée.
À l’heure actuelle, il semble au moins que le projet de Netanyahu d’établir un gouvernement civil alternatif à Gaza repose sur la pression qui sera exercée sur la communauté internationale, et en particulier sur les Américains, en raison de la situation humanitaire des habitants de la bande de Gaza. Environ 70 % de la population de la bande de Gaza est concentrée dans la zone située au centre et à l’ouest de la bande, qui englobe 25 % de la superficie de l’ensemble de la bande. Ils vivent dans des tentes et des sacs en plastique, et l’hiver qui approche va encore aggraver leur situation. L’aide humanitaire ne leur parvient pas parce que les familles criminelles et le Hamas la pillent.
Il semble que Netanyahu estime que cette situation amènera la communauté internationale à renoncer à exiger qu’Abou Mazen soit co-dirigeant de Gaza, ou que Tsahal demandera à Tsahal d’établir un gouvernement militaire dans la bande de Gaza.
Le gouvernement israélien et le cabinet attendent que la communauté internationale fasse pression pour la mise en place d’un gouvernement civil dans la bande de Gaza pour remplacer le gouvernement du Hamas, de toute façon quasi inexistant.
À l’heure actuelle, le Hamas contrôle civilement les quartiers et les communautés dans lesquels Tsahal n’est pas encore entré. Un troisième fait qu’il faut comprendre est qu’il existe des difficultés considérables dans la distribution de l’aide humanitaire à ceux qui en ont besoin dans la bande de Gaza. provoque une rupture et même une menace d’embargo de la part des États-Unis. Les camions d’aide arrivent d’Israël vers les zones de déchargement du côté de la frontière avec Gaza, mais sur le chemin qui les mène vers les centres de population de l’ouest de la bande de Gaza, ils rencontrent des obstacles. L’aide est pillée soit en route, soit dans les entrepôts des organisations internationales par le Hamas, des familles criminelles et des commerçants cupides qui vendent les articles d’aide sur le marché à des prix exorbitants.
Forces de Tsahal à Jabaliya La démarche actuelle – empêcher le rétablissement de la capacité des organisations terroristes à faire la guerre dans le sud.( Photo : porte-parole de Tsahal )
Face à cette situation, Tsahal est déployé dans la bande de Gaza pour remplir sa principale mission militaire étroite, qui est d’assurer la sécurité et un sentiment de sécurité aux habitants du sud d’Israël et de poursuivre la pression militaire pour créer les conditions du retour des réfugiés. Les mesures prises actuellement, en particulier dans le nord de la bande de Gaza, visent à empêcher le rétablissement des capacités du Hamas et du Jihad islamique à mener une guerre de guérilla et de terrorisme contre les habitants des environs.
Si pendant la guerre jusqu’à présent, Tsahal s’est concentré sur le démantèlement des armées terroristes du Hamas et du Jihad islamique dans la bande de Gaza en tant que vastes cadres de combat actifs au-dessus et au-dessous du sol, Tsahal s’est maintenant attelé à écraser ce qui restait. C’est-à-dire l’élimination des petits cadres et les tentatives du Hamas de rétablir des centres d’action et des centres de résistance au sein de la bande de Gaza, en utilisant les fonds qu’il tire du pillage et de la vente de l’aide humanitaire, des explosifs qu’il extrait des morts et les utilise pour produire des charges explosives simples et le paiement des garçons âgés de 14 à 17 ans pour prendre des armes et devenir ses agents.
Cet effort est actuellement mené dans le nord de la bande de Gaza, d’où se profile le danger le plus grave pour les grandes implantations israéliennes du Néguev, mais il n’est pas impossible qu’il se poursuive également plus au sud. Cette opération visant à écraser les capacités résiduelles du Hamas vise également à faire pression sur la direction du Hamas au Qatar afin qu’elle fasse preuve de souplesse sur la question des personnes enlevées. Cette pression fonctionne déjà, et le Hamas tente de la neutraliser et d’arrêter l’armée israélienne en diffusant des informations sur la famine délibérée de la population restante au nord de la bande de Gaza et leur déportation vers le sud.
Tsahal est prêt à atteindre ces deux objectifs également dans les années à venir grâce à une présence opérationnelle de renseignement dans la bande de Gaza, sans l’occuper, sans être présente sur l’ensemble de son territoire, sans un gouvernement militaire israélien et sans avoir à se disperser ; l’aide humanitaire aux citoyens eux-mêmes. Cette présence opérationnelle de renseignement, qui donnera la sécurité et un sentiment de sécurité aux résidents d’Israël en l’absence d’un règlement politique ou d’un accord d’otages, l’armée israélienne entend la réaliser grâce à la possession de « des couloirs sécurisés », dont l’axe de Philadelphie, en plus d’une zone de sécurité d’environ un kilomètre de large longeant toute la frontière de la bande de Gaza côté Gaza.
Camions d’aide humanitaire au passage de Kissuf. Tsahal ne veut pas distribuer l’aide elle-même( Photo : Matafash )
Et voici les objectifs que Tsahal tente d’atteindre à travers les couloirs qu’elle établit à Gaza : Premièrement, une activité de renseignement pour surveiller et suivre de près ce qui se passe dans la bande de Gaza, le but étant d’identifier toute tentative du Hamas de rétablir sa puissance militaire, deuxièmement, pour permettre le mouvement rapide des forces de raid de Tsahal dans toute zone de la bande de Gaza où les services de renseignement remarqueront un effort pour rétablir la production de munitions, des tirs de roquettes ou des préparatifs pour une opération terroriste et l’organisation du terrorisme et guérilla menée par le Hamas et d’autres organisations dans la bande de Gaza.
Troisièmement, empêcher l’aide extérieure au Hamas, principalement via le Sinaï et l’Égypte, en contrôlant la route de Philadelphie. Ceci jusqu’à ce qu’il y ait un accord avec le Caire sur les mesures et les préparatifs qui seront effectués le long de l’axe de Philadelphie, pour empêcher la contrebande aérienne et souterraine d’armes et de matières premières pour la production d’armes dans la bande de Gaza.
Quatrièmement, contrôler les pipelines de population pour faire pression sur le Hamas afin qu’il libère les personnes enlevées et empêcher le mouvement de ses membres vers le nord de la bande de Gaza. Le couloir Netzer, par exemple, sera transformé d’un axe logistique en une zone de contrôle et de contrôle dans la bande de Gaza qui permettra des opérations depuis celui-ci vers le nord jusqu’à la ville de Gaza et vers le sud, vers la zone du camp central de Khan Yunis, la présence israélienne étant uniquement militaire et limitée à un couloir de 7 km de large et 9 km de long.
Cinquièmement, permettre aux acteurs internationaux d’introduire et de distribuer l’aide humanitaire en toute sécurité. Tsahal ne veut pas distribuer l’aide elle-même car cela nécessiterait des divisions qu’elle maintiendrait en permanence dans la bande de Gaza, et il est facile d’estimer quelle serait la réaction du public si un soldat israélien était blessé ou, à Dieu ne plaise, tué alors qu’il escorter un convoi d’aide humanitaire ou le distribuer dans la bande de Gaza.
Ce réseau au sol, comme mentionné, est déjà à un stade avancé de construction et, selon les plans de Tsahal, restera en place pendant plusieurs années jusqu’à ce qu’un accord soit conclu pour la libération des personnes enlevées, ce qui nécessitera probablement un changement de plans à la fois sur le plan sur le terrain et les plans politiques concernant l’avenir de la bande de Gaza. Mais en l’absence d’un accord pour libérer les personnes enlevées, et en l’absence d’une administration alternative à Gaza, l’armée israélienne continuera à établir des couloirs et à maintenir l’ administration militaire à Gaza.
BIBI EST AMORPHE ET UN DROLE DE NATIONALISTE DE DROITE ET POURQUOI IL NE VEUT PAS QUE LES JUIFS RECOLONISE GAZA ?? COMME LE VOUDRAIT BCP DE DEPUTES LIKOUD DE BEN GVIR ET SMOTRIC OU BIBI FAIT LA SOURDE OREILLE ..QUEL HONTE …POUR MOI BIBI NE MERITE PLUS D ETRE PM ET C EST BEN GVIR QUI DEVRAIT L ETRE PAS BIBI QUI A TRAHI L IDEOLOGIE DU HEROUTH AUQUEL TOUS LES EX PM LIKOUD ONT VENDU LEURS AMES POUR FAIRE LE CONTRAIRE QU ILS AURAIENT DU FAIRE …APPLIQUER LE GRAND ISRAEL ..ET ONT PLUTO FAIT LE CONTRAIRE EN RENDANT LE SINAI SOUS BEGIN OU SOUS SHARON /PETAIN QUI EXPULSE LES JUIFS DE GAZA EN 2005 SUR IDEE DE GEORGES WALKER BUSH JR QUI LUI AVAIT DEMANDE DE FAIRE UN GESTE ENVERS LE TERRORISTE ABOU ZINZIN QUEL HONTE CE BUSH JR QUI A FAIT COMME SON PERE SENIOR ..QUI ONT TOUT FAIT POUR QU ISRAEL PARLE AVEC LE FATAH TERRORISTE §§
HEUREUSEMENT QUE TRUMP EST TOUT LE CONTRAIRE IL ARRETERA DE FINANCER LE FATAH DE RAMALLAH ET J ESPERE AVEC LES HOMMES ET FEMMES QU IL A NOMME IL OBLIGERA LES ETATS ARABES COMME L EGYPTE JORDANIE EGYPTE IRAK EMIRATS ETC A PRENDRE CE PEUPLE INVENTE CHEZ EUX AFIN QUE LE CONFLIT S ARRETE ??
IL A NOMME UN REPUBLICAIN COMME AMBASSADEUR DES USA QUI SOUTIENT L ANNEXION DE LA JUDEE SAMARIE ET MEME LE SEC D ETAT EST UN AMI D ISRAEL …
FAUDRA QU EN ISRAEL YA DES DURS QUI REFUSENT TOUT SEDDITION AUX ARABES AVEC UN BEN GVIR QUI EST JEUNE ALORS BIBI JE N AI AUCUNEMENT CONFIANCE EN LUI §§§