JERUSALEM, (AFP) – Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé lundi que la renonciation par les Etats-Unis à leur exigence d’un gel de la construction en Cisjordanie résultait de leur propre analyse et non d’un blocage israélien.
« Cette semaine, l’émissaire américain Dennis Ross et d’autres émissaires américains sont attendus », a par ailleurs déclaré M. Netanyahu à des responsables de son parti, le Likoud, en référence à un conseiller spécial du président américain Barack Obama, dans des propos diffusés par la radio publique israélienne.
« Puis jeudi je me rendrai en Egypte », a-t-il poursuivi. Le quotidien israélien Yédiot Aharonot avait indiqué en décembre que M. Netanyahu devait rencontrer le président égyptien Hosni Moubarak le 6 janvier à Charm el-Cheikh (mer Rouge).
« La vérité est que nous y étions prêts, mais contrairement à ce qui a été rapporté, Israël n’a pas refusé de prolonger le moratoire », avait auparavant déclaré M. Netanyahu, cité par les médias israéliens, devant une commission parlementaire. « En fin de compte, les Etats-Unis ont décidé de ne pas emprunter cette voie, à juste titre à mon avis », a-t-il ajouté.
« J’ai dit à Obama que j’étais prêt à présenter cela au gouvernement et à le faire appliquer, mais j’ai reçu un appel téléphonique surprise des Américains me disant qu’ils ne réclamaient plus qu’Israël prolonge le gel », a-t-il assuré, cité par les mêmes sources. Les Etats-Unis ont reconnu le 7 décembre l’échec de leurs efforts pour convaincre Israël de décréter un nouveau moratoire sur les constructions, exigé par les Palestiniens pour reprendre les négociations de paix.
Le porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley, n’a pas commenté lundi les propos de M. Netanyahu. Il a rappelé que Washington était arrivé à la conclusion que le moratoire, demandé par le président Barack Obama jusque dans l’enceinte solennelle des Nations unies en septembre, « n’était plus à ce moment-là une base pour avancer ». « Nous nous concentrons maintenant sur une autre voie », a-t-il ajouté, tout en soulignant qu’un accord final de paix ne pourrait être négocié que directement entre les parties.
M. Netanyahu avait accepté avec réticence un plan de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton prévoyant un moratoire de trois mois sur la colonisation. Mais il exigeait des garanties écrites sur les contreparties offertes par Washington et les deux parties ne sont pas parvenues à s’entendre sur la formulation. Mme Clinton a ensuite annoncé une nouvelle approche consistant en un retour aux pourparlers indirects sous médiation américaine, sur les questions de fond d’un accord de paix. Mais cette proposition est restée lettre morte.
Les Palestiniens, soutenus par la Ligue arabe, ont signifié le 15 décembre aux Etats-Unis qu’une reprise des négociations était exclue en l’absence d’arrêt de la colonisation, et ont sommé Washington de présenter une « offre sérieuse ».
 |
 |
Ce n’est pas un etat de la mediterranee au jourdain, mais un etat de la mediterranee aux frontieres de l »irak, car la jordanie est aussi dans nos frontieres.
Beaucoup de pays de cette region, ne sont que la consequence du monde chretien, dont la politique a ete appliquee, par la France et l’Angleterre, dans le seul but d’interdire le creation d’un etat Juif.
Les palestiniens etant un des moyens, car peuple artificiel cree’ pour etre l’obstacle.
Donc pas de negociations, mais uniquement reconnaissance de l’Etat Juif et des Juifs, pour pouvoir etre le phare du monde, et permettre de monter a Jerusalem au temple , et de vivre cette paix tant annoncee dans nos textes
Avec pour point commun la presence divine pour toua.
Il n’y a qu’une seule solution au probleme …………… Un etat JUIF de la Mediterrannee au Jourdain.
Quant aux arabes y compris ceux detenanta une carte d’identite israelienne doivent tres vite de leur plein gres rejoindrent leurs freres de l’autre cote du Jourdain.
C’est la seule et unique solution.
David d’Ashdod