Une petite mise au point !

Depuis quelques jours, et notamment au lendemain de la diffusion par mon éditeur de la vidéo de promotion de la BD « Ben Laden dévoilé » et après un texte que j’ai publié sur mon blog à propos du limogeage de l’islamiste Tariq Ramadan par la ville de Rotterdam, je subis une campagne de dénigrement sur Internet et notamment sur Facebook.
Mes détracteurs n’innovent guère. Je me suis habitué à ce genre d’attaques. Cela fait des années que cela dure !
Ces derniers me confortent dans les convictions qui sont les miennes. Les islamistes soutenus par quelques alliés, « idiots utiles », ne supportent pas que l’on s’attaque à leur pensée moyenâgeuse et à leurs idées malsaines qui ne servent qu’à entretenir une culture de la haine que je réprouve et qui est leur seule et unique essence. Tous les antisémites, les antiaméricains, les antidémocrates, les antilaïques, les extrémistes de tous bords savent se liguer quand il s’agit de faire dans la propagande et dénigrer ceux qui les gênent. Parce que oui mon travail et mes positions ne conviennent pas aux visées de ceux qui se reconnaissent dans les idéologies défaitistes et les discours victimaires.
Ils prétendent défendre l’islam alors qu’ils le salissent ; ils disent soutenir un peuple, alors qu’ils ne cherchent que la destruction d’un autre ; ils parlent de pureté alors qu’ils ne sont que salissure ; ils parlent au « nom de Dieu » cependant qu’ils ne visent qu’à détruire sa Créature ; ils sont devenus les parasites des sociétés démocratiques. Ils sont à la modernité ce qu’est un excrément à la soie et le pire c’est qu’ils se prennent pour des Lumières alors qu’ils sont l’obscurantisme le plus crasse.
Ces gens-là ne vivent que de mesquinerie et il est inutile d’essayer de trouver avec eux un terrain de dialogue et de discussion. Ces gens-là, il faut les combattre et les traiter comme ces chiens errants qui aboient de loin et qui n’ont le courage d’attaquer que lorsqu’ils forment une meute. Et détrompez-vous, ils peuvent être étudiants, lettrés et formés à l’école de la République, cela ne fait pas d’eux pour autant des personnes respectables tant les valeurs qu’ils défendent sont aux antipodes de la respectabilité.
Ces meutes sauvages ont investi le Net et Facebook pour y créer, le plus souvent, sous couvert de l’anonymat, des « groupes » haineux dont la seule tâche consiste à propager la haine et à dénigrer. Alors oui ! J’ai droit à ma part du gâteau comme tout personnage public. Évidemment quand on produit des travaux journalistiques, des livres, des documentaires, une Bande-Dessinée ; quand on est récompensé par des prix nationaux et internationaux ; quand on reste cohérent tout au long de sa carrière et déterminé à assumer ses engagements, on peut susciter, surtout lorsqu’on traite des sujets comme les miens, quelques fantasmes, des jalousies ou autres convoitises. Je ne suis dupe de rien. J’aurais pu faire comme beaucoup et éviter de m’exposer aussi près de l’opinion au sein de ces réseaux sociaux. Mais je le fais parce que j’ai fait le choix de ne jamais me couper de la société dans laquelle j’évolue quitte à prendre quelques risques, quelques coups.
Et des coups, il est vrai que certains veulent me les donner sur le Net quand ils ne peuvent pas le faire dans la rue. Que faire de mieux que d’essayer de me dénigrer, de me diaboliser ou de me disqualifier en espérant discréditer mon travail. Goebbels n’avait-il pas dit « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » ?
Durant ces dernières années, quelques recherches sur le Net permettent de se rendre compte que je suis tour à tout « agent des services secrets algériens », « menteur », « assassin », « agent du Mossad », « membre du lobby sioniste », « pédophile », « bidonneur », « imposteur », etc.
Naturellement, les « Protocoles de la rumeur » n’ont aucune limite et n’ont peur d’aucune incohérence. Et la mauvaise foi avait touché son comble, il y a de cela deux ans, quand je fus même accusé d’avoir cherché à réaliser des scoops sur le dos d’enfants disparus au lendemain d’une enquête journalistique sur la délinquance asiatique.
Mais, mes chers amis, la vérité est très loin de tout ça et je pense que si les grands médias, les éditeurs les plus sérieux, les associations les plus prestigieuses, les publications françaises et internationales continuent de me faire confiance après vingt-deux ans de carrière, il y a une raison. Et les raisons sont simples à comprendre : je n’ai jamais perdu un seul procès et Dieu seul sait qu’on m’en a intenté et que cela continue ; mon casier judiciaire est plus vierge que les soi-disant femmes du Paradis, promises aux criminels et comme on dit, je n’ai aucune casserole ni sur le plan personnel ni sur le plan professionnel, hormis celles préfabriquées par les ennemis que je me suis choisis.
Alors oui certains n’ayant rien fait de leur vie utilisent Internet (ou Facebook) comme exutoire. Heureusement que l’Amérique qu’ils détestent tant leur a créé cet outil. Néanmoins, s’ils cherchent se faire de la publicité sur mon dos ou à exister à travers moi, je crois qu’ils ont mal choisi leur cible. En tout cas, ils sont mal tombés. Ce n’est pas une menace par ci ou par là ; une tentative de déstabilisation foireuse et somme toute virtuelle ou une quelconque forme d’intimidation qui me fera renoncer à mes engagements ou me fera douter sur les convictions qui sont les miennes.
Nous menons un combat idéologique contre ceux qui défendent des valeurs nauséabondes, mais dangereuses. Ces chiens errants sur la Toile, et qui avancent souvent masqués, tentent d’influencer la société, de lui faire peur et de la pousser à l’autocensure. Si certains pensent me « dévoiler » en balançant ici ou là des textes mensongers qui ne révèlent pas autre chose que le degré de leur médiocrité et le niveau de la maladie qui gangrène leur esprit, ils sont oublieux du fait que le modeste journaliste que je suis n’est en rien une menace pour les sociétés contrairement à l’idéologie fasciste qu’ils défendent et aux symboles extrémistes qu’ils supportent. Que ces derniers aient pour nom : Ben Laden ou Hitler ; les Frères musulmans ou Dieudonnée ; le Hezbollah ou le Hamas, l’extrême droite et l’extrême gauche, ils sont certainement beaucoup plus nuisibles que le plus « malhonnête » des journalistes.
À bon entendeur salut !