Le président de la Suisse, Hans-Rudolf Merz, a le toupet indécent de présenter « ses excuses » à la Libye pour l’arrestation d’Hannibal Kadhafi (l’an dernier à Genève).
« J’exprime mes excuses au peuple libyen pour l’arrestation injuste (ndmg : juste au sens de la loi mais injuste selon le gouvernement suisse) de diplomates libyens (ndmg : des « diplomates » voyous aimant cogner leurs domestiques, « diplomates » voyous membres du clan dictatorial et mafieux au pouvoir en Libye) par la police de Genève », déclare le président suisse Merz.
Au cours d’une « visite surprise », Merz a signé un accord qui rétablit les relations entre la Suisse et la Libye, indique le Ministère suisse des Finances. C’est donc bien une affaire de pognon.
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