Rashida Tlaib, membre du Congrès américain (à gauche), avait demandé à se rendre en « Palestine », un voyage organisé et co-financé par une association palestinienne, Miftah, décrite par le Washington Examiner comme un « regroupement exceptionnel d’antisémites qui chante les louanges des terroristes palestiniens et prétend que les juifs ont utilisé le sang des chrétiens lors de la Pâque juive ». (Photo par Adam Bettcher / Getty Images)
Les dernières niaiseries de l’industrie du mensonge anti-israélienne
par Andrew Ash
Traduction du texte original: Latest Antics from the Israel-Bashing Industry
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Rashida Tlaib avait demandé à se rendre en « Palestine », un pays qui n’existe pas. Son voyage était organisé et cofinancé par une association palestinienne, Miftah, dirigée par Hanan Ashrawi, ennemi de longue date d’Israël. Dans le Washington Examiner, Becket Adams a décrit Miftah comme « un regroupement exceptionnel d’antisémites qui couvrent de louanges les terroristes palestiniens et affirment que les juifs utilisent le sang des chrétiens pour la Pâque juive. L’organisation publie également des libelles néo-nazis et appelle à la destruction d’Israël. » Miftah considère aussi les femmes kamikazes palestiniennes comme des héroïnes.
- « Je ne me suis jamais sentie plus palestinienne qu’au Congrès », a- déclaré Tlaib de manière provocante devant la Coalition des droits de l’homme du Michigan en avril 2019. Sans craindre la contradiction, la même a twitté que les sénateurs qui soutiennent un projet de loi pro-israélien « oublient quel pays ils représentent. »
- Seule l’intéresse, une protestation qui se termine par une expulsion bruyante, une arrestation ou une situation qui la positionne publiquement en victime. Mais en quoi travaille-t-elle au bien-être de ses électeurs ? Le dénigrement d’Israël est-il réellement ce qui tient éveillé la nuit les bons électeurs du Michigan ? Et l’antisémitisme assumé est-il désormais le nouveau visage du parti démocrate ?
Rashida Tlaib, élue démocrate du Michigan au Congrès des Etats Unis, a finalement renoncé à se rendre en Israël. Ce voyage auquel devait participer Ilhan Omar, sa collègue de la « Bande » (« Squad » en anglais), a été conçu après qu’elles ont eu décliné l’invitation de faire partie d’un voyage officiel de représentants du Congrès des Etats Unis.
Rashida Tlaib et sa volubile collègue Ilhan Omar, – elles prônent toutes deux l’éradication d’Israël par le boycott -, n’avaient apparemment pas imaginé que l’accès au territoire israélien pourrait leur être refusé, ni qu’elles pourraient à leur tour être boycottées.
C’est seulement après que Rashida Tlaib a adressé une requête sentimentale au ministre israélien de l’Intérieur, Aryeh Deri, affirmant qu’elle souhaitait seulement serrer sa grand-mère palestinienne entre ses bras, qu’une autorisation pour « raisons humanitaires », lui a finalement été accordée.
La jeune élue a alors subitement changé d’avis et annoncé qu’elle renonçait à son voyage.
Tlaib a tweeté que sa grand-mère n’aurait pas supporté qu’elle vienne aux conditions qu’elle avait déjà acceptées, à savoir : s’abstenir de transformer son voyage en Israël en plate-forme politique. « M’obliger à me taire et être traitée en criminelle n’est pas ce que ma grand-mère aurait souhaité pour moi », a-t-elle écrit sérieusement.
Mme Tlaib a une grand-mère âgée de 90 ans. Ce voyage représentait peut-être la dernière chance qu’elle avait de la revoir vivante. Mais pour Tlaib, cette occasion manquée a les apparences d’un dommage collatéral, classé tout en bas d’un agenda politique d’abord et avant tout anti-israélien. Faire preuve de retenue pendant un jour ou deux lui a surtout, semble-t-il, posé un problème de conscience. Lire la suite
Andrew Ash est basé au Royaume-Uni.
Rashida Tlaib et Ilhan Omar : Deux Vomis Fécaux Antisémites au Congrès des USA.
Quand l’une distille son vomis de haine antisémite, l’autre s’auto-orgasmise à en perdre ses fluides diarrhétiques.
Et vice versa.
À mon grand regret Trump n’a pas réduit de façon drastique l’entrée de ces malfaisants sur le territoire. Bien des villes et pas des moindre sont déjà en voie de colonisation’ New York et ses banlieues sont envahis, il y aura forcément des nouveaux élus mahométan et donc anti juif!
» Aujourd’hui on les lâche contre TRUMP et Israël » .
Scusi .
Avec Obama les » Rachida » , » Aîcha » , » Zohra » etc…. ont fleuri en Amérique .
Aujourd’hui on les lâche contre TRUMP .
je ne comprends pas : des élus dont le seul job est de s’attaquer à israel !!
y a pas autre chose à faire au michigan et au minésotha ?
Comment les démocrates américains peuvent-ils tolérer ces deux antisémites patentées dans leurs rangs ?
Il s’agit d’une grave dérive des soit-disant « progressistes » qui sont de plus en plus régressifs …
@ makha,
Nous relayons ce que nous voulons et écrivons ce qui nous plait !
Il n’y a que le modérateur du site qui peut effacer nos commentaires s’il les juge racistes ou insultants.
Si les remarques postées sur ces dégénérées vous dérangent, ne les lisez pas !
Cordialement,
A quoi çà sert de parler de ces truies,l’indifférence est le meilleur du mépris.
SVP arrêtez de relayer des infos les concernant.
Merci…et bonne journée
Ceux qui se demandent comment cette dégénérée a pu être élue, un petit rappel :
En 2018, alors qu’elle était avocate pour une organisation oeuvrant à la défense des «pauvres et des travailleurs», elle avait fait campagne sur un programme progressiste en l’emportant aisément dans sa circonscription, un bastion démocrate où les « Républicains » n’avaient pas présenté de candidat.
Dès le début de sa campagne, puis à Washington, elle n’a pas cessé d’appeler à lancer une procédure de destitution contre Donald Trump, parfois dans des termes virulents.
Elle avait fait scandale quelques heures seulement après avoir prêté serment au Congrès en lâchant devant des proches, lors d’une soirée célébrant sa victoire : « Nous allons destituer ce fils de pute ! ».
Déjà, lors de la campagne présidentielle de 2016, Rachida avait apostrophé Donald Trump en pleine conférence à Detroit, avant d’être expulsée de la salle.
Nous pouvons constater que cette élue « Démocrates » toujours non désavouée par Pelosi, a toujours utilisé un langage fleuri, agressif et très violent, bien loin des règles démocratiques et diplomatiques en vigueur dans le monde politique, où le devoir de réserve est la règle absolue pour tous les élus……..