1920-1945: Quand le Royaume-Uni encourageait l’immigration arabe en Palestine
Le Dr. Rivka Shpack-Lyssak a fait oeuvre de vérité et justice historique en publiant son dernier ouvrage, second tome de ses recherches sur l’immigration musulmane en Palestine durant le mandat britannique en Palestine.
Le titre est éloquent: « Comment fut sabotée la majorité juive en Palestine ».
On savait que la notion de « peuple palestinien » était une invention récente, créée de toutes pièces par l’Union soviétique et le KGB. Bien que ceux qui se réclament de cette « nation » font remonter leur origine aux Philistins voire aux Cananéens de l’Antiquité, ce livre du Dr. Rivka Shpak-Lyssak apporte un éclairage sur la politique pernicieuse de la Grande-Bretagne durant les années 1920-1945 qui tout en limitant ou interdisant l’immigration juive (Livres Blancs) encouragea parallèlement l’immigration en Palestine d’Arabes ou de musulmans de l’ancien empire ottoman afin de modifier radicalement la balance démographique.
Et ce sont tous ces Arabes venus du dehors, rajoutés à la population arabe locale qui furent ensuite transformés en « peuple palestinien autochtone depuis la nuit des temps »!
Afin d’ôter le moindre doute, Dr. Rivka Shpack-Lyssak précise qu’elle n’est pas une femme de droite ou animée par un agenda politique, mais qu’elle veut démasquer le « mensonge palestinien ».
Elle dit « détester les mensonges historiques dont les but est de diaboliser l’Etat d’Israël et délégitimer son droit à l’existence ».
Dr. Rivka Shpack-Lyssak explique par exemple, que les autorités britanniques avaient donné instruction aux unités qui patrouillaient le long des frontières nord et est de la Palestine (Liban, Syrie et Transjordanie) de fermer les yeux sur tous les Arabes qui voulaient traverser la frontière et entrer en Palestine. Comble de l’ironie, ces Arabes étaient attirés par les perspectives économiques conséquentes à l’arrivée des sionistes et au développement du pays!
En revanche, ces unités avaient ordre d’empêcher tout passage de Juifs qui voulaient entrer dans le pays par ces mêmes frontières, malgré le Livre Blanc.
Ce phénomène était le même au sud, dans le Sinaï où la frontière était poreuse et sans contrôle, pour les Arabes en tout cas.
En 1926, avec l’achèvement des travaux ferroviaires de la ligne Le Caire-Gaza, n’importe qui pouvait entrer en Palestine depuis l’Egypte sans même présenter des pièces d’identité.
Dr. Rivka Shpack-Lyssak souligne que la métamorphose économique apportée par l’arrivée des sionistes mais aussi de mouvements chrétiens comme les Templiers était devenu une pompe aspirante pour de nombreux Arabes des pays limitrophes, ces même Arabes dont les descendants se prétendent aujourd’hui « peuple palestinien » et veulent la disparition de l’Etat juif!
Les documents manquent quant au nombre exact de musulmans qui ont traversé les frontières pour entrer en Palestine durant cette période, mais le Dr. Rivka Shpack-Lyssak cite un sheikh de Jaffa lors d’une assemblée le 9 avril 1940 qui remercie les Britanniques qui ont permis que la population passe d’un-demi millions à un million. Elle estime que dans les années 1940-1947, le chiffre atteint 1,2 millions.
D’autres documents indiquent qu’au moins 25.000 Egyptiens sont entrés en Palestine et se sont installés dans des villages du sud et dans le Néguev. Dr. Rivka Shpack-Lyssak affirme aussi qu’une grande partie des habitants de Gaza a pour origine des Arabes venus d’Egypte. Pour le nord du pays, environ 50.000 Syriens de la région du Hauran (sud de la Syrie) seraient entrés en Palestine durant les années du mandat britannique.
Enfin, souligne Dr. Rivka Shpack-Lyssak, entre 1920 et 1948,les Britanniques, au lieu d’utiliser la main d’oeuvre-locale, firent venir de nombreux travailleurs d’Egypte et de Syrie, qui restèrent ensuite en Palestine.
Se basant sur de nombreux documents d’archives, l’universitaire est très sévère avec la Grande-Bretagne de l’époque: « Les Britanniques ne voulaient plus que les Juifs créent leur Etat malgré la Déclaration Balfour. Ils ont trahi le mandat qu’ils avaient reçu de l’ONU de créer un Etat juif en Palestine ».
Selon Dr. Rivka Shpack-Lyssak les raisons principales de cette volte-face britannique et de cette politique que nous payons encore aujourd’hui sont essentiellement économiques et géostratégiques: pétrole, circulation par le canal de Suez, intérêts colonialistes etc. Ils ont conduit le gouvernement de Sa Majesté à tourner le dos aux Juifs et favoriser les Arabes.
La chercheuse entend faire traduire ce deuxième tome en anglais, afin que le monde anglophone sache ce qui s’est passé durant cette période, et notamment les membres du Congrès américain.
Photo Illustration
Source: lphinfo
Recent archeo-genetic evidences refute totally any connection btw Philistines and « Palestinians ». More lies are expected from thieves.
Philistines are from Europe.
Nothing has changed. Now the obsession is with EurAbia, EurAbia only EurAbia! Ask le Quai! Ask Ms. Bat Ye’or, The Euro-Arab Axis.
Originally Bat Ye’or is from Egypt.
J’ai bien ri en lisant les commentaires. Cela dit je me demande pourquoi ces questions ont encore lieu. L’affaire me semble simple.
Preuve par l’archéologie: à chaque fois qu’une découverte est faite en « Palestine » c’est, sauf erreur de ma part, soit juif, soit grec, soit romain.
D’autre part, que les « Palestiniens » nous racontent leur histoire depuis les Cananéens: le nom de leurs chefs, de leur rois, de leurs artistes, de leurs savants, de leurs bâtisseurs et de leurs constructions, de leurs guerres, de leurs religions etc. S’ils sont si anciens que cela, cela devrait se retrouver quelque part. Les « Palestiniens » me semblent être un peuple fantôme sans passé, sans histoire alors évidement ils font de la captation d’héritage… comme Jésus, par exemple! S’ils avaient des ancêtres prestigieux auraient-ils besoin de s’emparer des ancêtres des autres? C’est dans leurs bibliothèques qu’il faut aller pour voir qu’elle perception ils avaient d’eux-mêmes et de leur histoire nationale.
Ainsi, ce serait le seul peuple qui, sur plus de 2000 ans, n’aurait rien laissé de son existence à part un nom, Palestine, ressuscité par les Anglais et que les juifs ont laissé en déshérence. C’est vraiment un malheur que les juifs n’aient pas récupéré ce nom que les dits « Palestiniens » eux-mêmes n’utilisaient pas avant les années 70.
Qu’est-ce que la Jordanie sinon 78% du territoire de la Palestine mandataire, sur laquelle les Anglais devaient garantir la création d’un « Foyer national pour le peuple juif sur la base du lien historique existant entre le peuple juif avec la Palestine, dans le but de reconstruire leur foyer national dans ce pays ».
Le mandat leur avait été confié par la SDN, l’ancêtre de l’ONU, en 1920.
L’année suivante, ils firent cadeau de la partie située sur la rive orientale du Jourdain à l’émir Abdallah, en remerciement des services rendus pendant la première guerre mondiale.
Ce sont donc les 22% restants qui ont finalement été partagés par l’ONU pour y créer un État Juif et un État arabe. Et comme les Arabes de l’époque ont refusé cette partition, leurs arrière-arrière-petits-enfants sont toujours à la charge de la «communauté internationale».
Cela fait 70 ans que ça dure. Pendant ce temps-là, Israël a reçu zéro subside de l’ONU pour ses réfugiés et est devenue la «start-up nation»
Le rôle ignoble de la Grande Bretagne dans la restauration d’Israël sur sa terre ancestrale n’est pas assez rappelé, alors qu’il prouve que les difficultés actuelles sont dues à la politique odieuse et pleine de trahisons, de la « Perfide Albion ».
### Source : Mabatim ###
Bravo pour ce rappel historique indéniable que chacun devrait connaitre.
Remerciements les plus profonds au Dr. Rivka Shpack-Lyssak pour ce travail crucial. Il faut que tout homme en quête de vérité l’achète et le diffuse largement.
J’en commande moi-même 3 exemplaires pour mes enfants afin qu’ils n’oublient jamais qui sont nos envahisseurs et qu’ils ne baissent jamais les armes.