L’arrivée de Donald Trump au pouvoir a fait émerger de nouveaux lobbies pro-israéliens en plus du lobby historique AIPAC : les Évangélistes chrétiens, la droite alternative, et l’Arabie saoudite.
Ces lobbies exercent une puissance et un pouvoir d’influence sans précédent. Ils ont obtenu le déménagement de l’ambassade américaine à Jérusalem en étant en phase avec le premier ministre Benjamin Netanyahou.
Mais ils ont cette caractéristique de tenir compte, d’abord des intérêts israéliens, avant les priorités proprement américaines ; parfois ces deux intérêts se recoupent.
A chaque visite d’un premier ministre israélien, il est reçu au Congrès avec une ferveur exceptionnelle ; c’est un rituel aux Etats-Unis. Mais le chroniqueur du New York Times, Thomas Friedman, pourtant longtemps ardent défenseur d’Israël, estime que l’ovation qu’il reçoit «a été achetée et payée par le lobby israélien».
Le Congrès n’ovationne pas forcément la politique israélienne et encore moins la personnalité du premier ministre parce que les lobbies pro-israéliens «maîtrisent parfaitement les techniques d’intimidation politique».
Il est un fait qu’au moment des élections, ces groupes de pression disposent de fonds illimités pour soutenir ou neutraliser un candidat au Congrès. Chaque prétendant doit donc composer pour éviter de se retrouver face à un adversaire mieux ou plus financé que lui.
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Trump , le seul , l’unique , le meilleur !