L’administration Trump pourrait rompre toute relation avec les Palestiniens, sans nouveau plan de paix ni assistance financière

Avertissement : nous croyons qu’en toute démarche d’ordre diplomatique, un Etat a toujours deux fers au feu. La personnalité de Donald Trump peut bien être ce qu’elle est, face à l’insolence de ce petit tyranneau-maître chanteur d’Abu Mazen, il n’en demeure pas moins que des esprits « éclairés » au Département d’Etat et au Conseil de Sécurité Nationale peuvent lui conseiller, à la fois, de marquer le coup, mais aussi de conserver une poire pour la soif, une fois Abbas revenu à de meilleurs « sentiments » et une compréhension à moyen terme de ses attitudes et actions à l’égard de cette « sous-province de l’islam » pour laquelle il prend les Etats-Unis d’Amérique. Sans quoi, ne donnons pas cher de la peau d’Abbas face à l’éléphant Trump…

D’autre part, tout lâcher, en période de crise, ne ferait qu’ouvrir toute grande la porte à un tiers-médiateur, brèche dans laquelle la Russie de Poutine ou la petite France de Macron se feraient un plaisir de s’engouffrer, comme nouveaux « Justiciers » des Palestiniens « opprimés » et délaissés par un rejet américain. Cette nouvelle sera donc à réévaluer sous quelques mois, une fois la poussière retombée, autour de la déclaration de Trump envers Jérusalem. Abbas, 82 ans, est remplaçable à très peu de temps d’ici. Une approche différente apporterait une toute autre eau au moulin de la diplomatie… Wait and See…

Selon la porte-parole de la Maison Blanche, Heather Nauert : «  »l’équipe chargée de la politique étrangère du Président a vu sa mission renforcée pour explorer les diverses options permettant d’aller plus loin ; cependant, aucune décision n’a encore été prise ». 

La Maison Blanche aurait décidé de se retirer sur la pointe des pieds de tous ses points de contact et dossiers en cours avec l’Autorité Palestinienne et avec Mahmoud Abbas.

Des sources exclusives de Debkafile révèlent que l’Administration Trump est déterminée à rompre tous liens avec les cercles dirigeants palestiniens, en représailles pour leur campagne contre le Président américain Donald Trump et contre sa politique de reconnaissance de Jérusalem. Mahmoud Abbas est resté sourd à plusieurs avertissements qui lui ont été envoyés, sur ce qui l’attendait s’il ne se désistait pas de sa posture virulente à l’encontre du président américain.

La semaine dernière, deux princes couronnés arabes, le Saoudien Muhammed bin Salman et l’Emirati Sheikh Muhammed bin Zayed, ont convoqué Abbas dans leur capitale spective et l’ont fermement exhorté à s’abstenir de ses attaques contre le président américain. Il a bénéficié des mêmes conseils de la part de l’Emir- dictateur du Qatar, Sheikh Tamim Al Thani qui s’est consulté avec Washington sur le sujet, tout cela en vain. L’Administration Trump a, par conséquent, mis sur pied un programme de sanctions en huit points, qu’on révèle pour la première fois ici :

  • Le plan de paix israélo-palestinien en préparation à Washington ne sera pas proposé à Ramallah, mais seulement à Israël et aux gouvernements arabes pertinents.
  • Les interactions américano-palestiniennes seront suspendues – non seulement au plus haut niveau, mais aussi au cours des échanges quotidiens sur les questions courantes. L’Administration a notifié les Palestiniens et d’autres parties arabes ne cesser d’adresser des requêtes dans les domaines politiques et économiques au consulat américain de Jérusalem, parce qu’elles ne recevront plus de réponse.
  • Le statut des bureaux de l’OLP à Washington sera réévalué, dans la perspective de leur probable fermeture.
  • Les responsables palestiniens ne seront plus invités à Washington par le gouvernement américain, dont le Département d’Etat et le Département du Trésor.
  • Par-dessus tout, ils ne seront plus les bienvenus à la Maison Blanche ni au Conseil de Sécurité Nationale, où est conçue la politique extérieure américaine. Les responsables américains de premier plan ont félicité, pour sa santé recouvrée, après intervention chirurgicale, le chef de la délégation négociatrice palestinienne, Saab Erekat, qui détient aussi le portefeuille américain de l’AP, mais l’ont en même temps mis en garde du fait qu’il pourrait bien ne plus être reçu à la Maison Blanche.
  • L’Administration Trump ne fera aucune annonce publique concernant l’interruption de l’aide financière aux Palestiniens. Puisque les fonds sont essentiellement attribués en vue de projets économiques spécifiques, chaque versement d’allocation sera simplement suspendu,au prétexte d’un besoin de  « réévaluation ».
  • Les Etats-Unis arrêteront leurs contributions à l’UNWRA (Organisation de l’ONU pour le développement du travail et de l’assistance, spécifique aux réfugiés palestiniens), une somme estimée à un milliard de $ par an.
  • L’administration américaine est, en outre, intervenue auprès des gouvernements d’Arabie Saoudite, à Abu Dhabi et au Qatar, par une requête leur demandant de geler ou de ralentir leur propre aide économique à l’Autorité Palestinienne.

Selon des sources liées à Debkafile, les responsables palestiniens à Ramallah ont été dévastés d’apprendre cette soudaine interruption des principales sources de revenus de l’AP. Même le dirigeant du Qatar, à qui Abbas a rendu visite la semaine dernière, comme ultime recours pour sauver l’AP de l’effondrement économique, aurait refusé de lui accorder tout nouveau crédit.

Adaptation : Marc Brzustowski.

  

Trump administration to snap ties with Palestinians, no peace plan, no more monetary aid

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anny Dubouillon

Aller entretenir ses ennemis, le comble!- Avec Trump la hache de guerre est déterrée- Il est le seul à faire preuve de courage-Nous autres sommes des nuls et des lâches à méprise! Encore bravo

Benny

Excellente nouvelle. Aucun contact, aucune aide de quelque nature quelle soit auprès de ces terroristes.

[…] Avertissement : nous croyons qu’en toute démarche d’ordre diplomatique, un Etat a toujours deux fers au feu. La personnalité de Donald Trump peut bien être ce qu’elle est, face à l’insolence de ce petit tyranneau-maître chanteur d’Abu Mazen, il n’en demeure pas moins que des esprits “éclairés” au Département d’Etat et au Conseil de Sécurité Nationale peuvent lui conseiller, à la fois, de marquer le coup, mais aussi de conserver une poire pour la soif, une fois Abbas revenu à de meilleurs “sentiments” et une compréhension à moyen terme de ses attitudes et actions à l’égard de cette “sous-province de l’islam” pour laquelle il prend les Etats-Unis d’Amérique. Sans quoi, ne donnons pas cher de la peau du petit rat Abbas face à l’éléphant Trump…Lire la suite sur jforum.fr […]

DANY83270

Donald TRUMP est le Père Noël le plus intelligeant du monde, il a attendu le mois de Décembre pour apporter aux Juifs dans sa hotte le cadeau le plus précieux : Jérusalem la capitale éternelle d’Israël !
merci à cette Amérique loyale, celle des Justes qui a le courage de rétablir la vérité historique et nos condoléances à tous les fourbes et les hypocrites qui se prostituent avec les bédoins musulmans pour des barils de pétrole qui contaminent la planète de leur pollution.

Macronyme-Crimeur-Contre-L'Humanité

Superrrrrrrrr..
C’est le début de la fin du Mensonge de 60 ans.
Prochaine étape : remplacer le mot « palestinien » par le mot « Jordanien » partout où il apparait.
On va voir ce qui va se passer pour l’Autorite Jordanienne. LOL

Charles Etienne NEPHTALI

Il a mille fois raison abbas/mazen de faire cette tête, j’allais écrire « gueule » !!!

Hagdik

Une vielle nuc de 200 MT ne ferait pas l’affaire pour débarrasser définitivement la planète de cette merde ?

Elie de Paris

Cesser toute tergiversation, tout entretien, tentative… avec Amalek.
Le gouvernement Trump, enfin, reagit.
Jusqu’où continuera-t-on à persévérer dans l’idée que c’est d’un meneur falestinien (un bâton) que dépend une paix avec cette excroissance proliferente laissée là par les pays arabes il y a 70 ans ?
À s’ evertuer à traiter avec ces vizirs , celui-là même plus reconnu pas une election, on ne fait que prendre nos desirs de paix que comme une réalité partagée…
Il n’en est rien, bien sur. Le monde araboislamique a refusé, depuis un siecle une presence indépendante juive sur sa terre ancestrale, et a démontré sa détermination au cour de moultes guerres à bouter l’ ennemi israelojuif hors du croissant fertile. Il n’y a rien a négocier puisque, hors puissance militaire, les Juifs/Ysraeliens n’ont aucune valeur ni droits. Il s’agit là de l’affrontement de deux visions diamétralement opposées de la perception du monde, l’ islam soumettant, et le reste du monde soumis. Seul demeure, apparemment, l’irreductible petit village juif pour empêcher la soumission complète (c’est le sens de Islam) du reste « complaisant » du monde. C’est donc d’une guerre sans fin qu’il s’agit,.d’âge en âge, d’ ère en ère, et qui sera réglée à la « Fin », Aucun compromis possible avec celui dont le but est La destruction, même si parfois il semble faiblir.
Chaque concession, même d’un centimètre carré, lui donne plus de champ et nous en prive d’autant.
Depuis 1964, cette entité a adopté une fonction « miroir », et copie la phraseologie juive et sioniste, avec le succès qu’on lui connait, au point de paraître (! et être cité comme) le David face au Goliath, et mieux pieger les idéologies « humanistes » du monde entier, à peine sortantes des antisémitisme séculaires…
Un nouveau discours adopté par l’Unesco, a même denié l’historique juif pour l’attribuer à un nouveau peuple, inconnu avant 1964, sans passé, issu d’un ramassis, d’une tourbe, exodée d’un monde feodal musulman, attiré par le travail agricole proposé par le Retour Juif des Exilés du 19eme siecle…
Finalement, il semble bien que seul le retrait de toute discussion ou tentative, ou recherche d’un consensus apparaisse comme l’unique moyen de neutraliser toutes ces manigances amalecites.
Le « travail » juif consiste à effacer le « souvenir » d’ Amalek, qui, comme le phenix, renaît, dès qu’on l’evoque.
Quant à neutraliser Amalek, c’est du ressort du Très-Haut.

yacotito

Si Trump fait cela, je mets sa photo dans ma salle à manger