Interpellé sur le réseau social par le réalisateur britannique Ken Loach qui lui demandait de « décider s’ils se tiennent du côté des opprimés ou de l’oppresseur », Thom Yorke a rapidement répondu que « se produire dans un pays ne revient pas à approuver la politique du gouvernement ».
« Nous jouons en Israël depuis plus de 20 ans, au cours desquels se sont succédé des gouvernements, certains libéraux, d’autres moins. Comme c’est le cas en Amérique », a-t-il écrit.
« Nous n’appuyons pas plus Netanyahou que Trump, mais nous continuons de jouer en Amérique », a précisé le musicien.
Début juin, le groupe avait déjà dénoncé la campagne l’enjoignant à annuler son concert en Israël, qualifiant les appels au boycott de l’Etat hébreu de condescendant et d' »extraordinaire gaspillage d’énergie ».
« Tout cela encourage la discorde. Vous ne rassemblez pas les gens. Vous n’encouragez pas le dialogue ou la compréhension mutuelle », avait déclaré Yorke au magazine américain Rolling Stone.
Bien répondu à ces sales racistes de BDS.
De toute façon quiconque connait Israël ne peut qu’aimer ce pays, incroyablement multiples et divers.
Il faut vraiment avoir l’esprit tordu pour imaginer une seule seconde que ce genre de pression ait la moindre utilité, à part celle de ridiculiser leurs auteurs.