L’institut américain Gallup a réalisé au sondage concernant l’image d’Israël aux yeux de l’opinion publique américaine. Il s’avère que l’Etat juif y reste toujours très populaire. D’après les résultats, 74% des personnes interrogées ont une opinion favorable d’Israël, ce qui constitue un record depuis plusieurs dizaines d’années.
Depuis 1988 où que ce genre de sondage est réalisé, une seule fois ce chiffre a été dépassé, en 1991, avec un pic de 79%.
Ce soutien est cependant inégalement partagé entre les sympathisants des deux grands partis politiques américains: si 83% de ceux qui se définissent comme républicains soutiennent Israël, ils ne sont “que” 64% parmi les démocrates à le faire. Deux raisons à cela, le glissement d’une partie de l’électorat démocrate vers la gauche et l’extrême gauche et les dégâts causés par l’Administration Obama.
Concernant l’opinion sur les Arabes palestiniens, seuls 12% des républicains disent avoir une opinion favorable et 27% chez les démocrates.
La prise de position dans le conflit est également sans appel: 64% soutiennent la cause d’Israël contre 19% à peine soutiennent la cause arabe palestinienne, le taux le plus bas ayant jamais existé. Ils sont 17% à ne pas prendre position.
Un sondage réalisé par l’Institut Pew il y a deux mois indiquaient également une stabilité voire une augmentation du soutien de la population américaine à Israël.
Photo Illustration
 |
 |
C’est une nouvelle très réconfortante et cela montre que les Américains, dont mon gendre, soutiennent toujours l’Etat Juif. En France, c’est l’inverse et même plus pire : en effet, un sondage qui remonte à quelques années puisque par la suite, aucun organisme n’a refait ce type de sondage, disait que seuls 8 % des français soutenaient Israël (un tiers, donc 33 % soit 4 fois plus, soutenaient les « palestiniens » et près de 60 % ne prenaient pas parti : un mal français, toujours le cul entre deux chaises).
Pour ce que ce sentiment pro-israëlien demeure, il est impératif de faire des latinos américains des républicains pérennes et je considère comme une erreur gigantesque que Trump les ait traités de violeurs, de trafiquants de drogues, etc… en 2015. Les trafiquants de drogues, je ne connais pas mais je peux vous affirmer que les violeurs sont internationaux : ils sont de toutes races, de toutes religions, de toutes nationalités et surtout de toutes conditions sociales, ce qui est mal admis par la caste des cols blancs et des puissants. Pourtant, il faudrait qu’ils s’y fassent : le riche et le puissant peut être aussi un violeur et un pédocriminel de la pire espèce au même titre que les sans-culottes et eux sont bien mieux protégés que le salaud américain d’origine portoricaine d’un gang de Los Angeles ou de Miami.
Il existe deux exemples notables en France de présumés violeurs protégés actuellement : Darmanin et Hulot mais c’est vrai que pour ce dernier, il y a eu prescription, loi complètement injuste quand il s’agit de crimes; la société peut absoudre des voleurs de bécanes, pas des saloperies de violeurs et ce n’est pas de la rumeur comme les cols blancs veulent nous le faire croire puisqu’une plainte a bel et bien été déposée : piéger une fille qui a l’âge d’être sa fille à des fins sexuelles, est immonde. Les féministes comme moi se revendiquant d’aucune couleur politique, pas comme ces soi-disant gaucho-féministes qui défendent plus les crapules des cités que les femmes, et qui se battent, par conséquent, vraiment contre le viol, ne pardonneront jamais elles aussi.
PS : Mon latino américain préféré : l’acteur de séries Danny Pino (« Cold Case », une série très bien faite d’il y a 15 ans et « Gone » qui est correcte bien que je l’apprécie plus parce que je m’identifie totalement à la petite fille puis à la jeune femme que devient le personnage principal) mais attention, s’il manque de respect aux jeunes filles ou aux moins jeunes d’ailleurs, je le mets à la poubelle comme les autres.