Médias: est-il plus grave d’être con ou d’excuser la burqa?
Scénariste-dessinateur
Source : Causeur
« Des anti-immigrés se ridiculisent en confondant des sièges de bus avec des femmes en burqa. » (Huffington Post)
« Des nationalistes norvégiens prennent ces sièges de bus pour des femmes en burqa. » (Midi Libre)
« En Norvège, un groupe xénophobe confond des sièges de bus vides avec des femmes en burqa. » (Le Monde)
« Des islamophobes norvégiens ont confondu des sièges de bus vides avec des femmes en burqa. » (Mashable – avec France 24)
« Des xénophobes prennent des sièges de bus pour des femmes en burqa. » (BFM TV)
« Norvège : quand des internautes xénophobes confondent burqas et sièges de bus. » (Le Point)
« Des extrémistes confondent des sièges de bus et des femmes en burqa. » (TVA Nouvelles)
Etc., etc.
Les articles parlant de la farce qu’un certain Johan Slattavik a faite en publiant une photo de siège de bus, demandant aux gens ce qu’ils en pensaient afin de pouvoir ensuite, dans un grand élan de pédagogie moralisatrice, dénoncer « le racisme aveugle et la xénophobie », se lisent un peu partout sur la planète.
On rit beaucoup. Confondre des sièges de bus avec des femmes en burqa, faut vraiment être con comme un raciste !
Aux islamistes, les médias reconnaissants?
Peut-être ! Mais n’est-ce pas là une façon de plus d’absoudre le principe de cette prison mobile synthétique ? Sont-ce vraiment ceux qui la vomissent, même abusés par une photo, qui sont condamnables, ou ceux qui obligent leurs femmes à la porter ? La réponse se retrouve dans les titres: anti-immigrés, nationalistes, xénophobes, islamophobes, extrémistes,…
Le débat une fois de plus est biaisé, et à lire cette multitude d’éditoriaux, on comprend que non, le problème n’est plus de cacher une femme au regard des hommes, le problème est de rejeter ce sépulcral déguisement. Mieux, dénoncer le port de cette bâche infamante est devenu un acte de xénophobie. A bon entendeur !
Et tant pis pour celles qui, forcées ou non, continueront d’étouffer sous cette sinistre tente noire dont le seul objectif est de soustraire au regard de l’humanité masculine leur corps impur, parce que tout simplement féminin !
Au début de la Burkamania à Saint-Denis, 2 femmes burkanisées (on le saura aprés) attendaient leurs conjoints de djellabistes devant la mosquée. Elles étaient assises sur le trottoir. Juste à coté de poubelles.
2 éboueurs les ont embarquées et jetées dans la benne à ordures, croyant que c’étaient des sacs de poubelles.
leurs maris qui venaient de sortir de la mosquée ont couru derrière le camion poubelle. Ils ont pu récupérer leurs femmes à la déchetterie. Elles croulaient sous les sacs de poubelles.
L’histoire est comique si elle n’était pas horrible.
Les maris ont porté plainte.
je ne sais plus ce qu’il est advenu de cette histoire.
En tous cas, on ne s’en lasse pas de cette histoire, dans les salle de repos et à la cantine des éboueurs.
Même les journalistes s’étouffaient de rire en racontant cette incroyable histoire.
Mais que les gens sont compliqués, on peut interdire la burqa tout simplement pour des raisons de sécurité.
Vous ne savez pas qui est dessous ? c’est simple comme bonjour !
En France on n’a pas le droit de dissimuler son visage, en Israël aussi d’ailleurs !