Paris : le voleur (maghrébin) à l’arraché roué de coups et poignardé par des témoins
Un jeune homme d’une vingtaine d’années (d’origine tunisienne), qui venait de voler son sac à une passante à Paris, a été grièvement blessé lundi soir par des témoins de l’agression.
C’était une «banale» tentative de vol à l’arraché. Elle a tourné au drame. Ce lundi soir, un jeune homme de 26 ans qui venait de dérober son sac à un passant dans la rue Cail (Xe), au cœur de «little Jaffna» le quartier sri-lankais de la capitale, a été poursuivi par une dizaine de témoins du vol. Rapidement rattrapé par ses poursuivants, issus de la communauté sri-lankaise, il a été roué de coups puis poignardé par les contre-attaquants qui ont pris la fuite.
Appelés pour une «rixe», les premiers policiers arrivés sur place ont découvert la victime, assise sur le sol, le visage en sang. À côté de lui, le sac qu’il venait d’arracher des mains d’un touriste d’origine sri-lankaise qui s’est présenté aux policiers quelques minutes après.
Deux plaies au niveau de l’abdomen
En s’approchant du jeune homme passé à tabac, mais encore semi-conscient, un policier s’est aperçu qu’il présentait deux profondes plaies au niveau de l’abdomen. Le fonctionnaire a pratiqué un point de compression sur les blessures jusqu’à l’arrivée des secours qui ont évacué la victime à l’hôpital. Le pronostic vital de ce jeune homme serait engagé.
Les recherches menées dans les environs de la rue Cail pour tenter de retrouver ses contre-attaquants qui l’ont poignardé sont restées vaines. La suite de l’enquête a été confiée à la police judiciaire.
Bonjour
ce serait sympa de ne pas reprendre mot pour mot le parisien qui parle d’ « agresseurs » pour désigner de courageux citoyens
l’agresseur, le vrai, était à terre
On a modifié par contre-attaquants. Quoi qu’il en soit, en droit de légitime défense, jusqu’à son placage et arrestation, tout est logique. Au-delà, coups de couteau, cela devient de la vendetta, soit Justice par soi-même. Si on parle juridique. Après du point de vue des usages sociaux, on en retient ce qu’on en veut : « il l’a bien cherché », « c’est mérité », « il est temps que la peur change de camp », etc. Mais c’est un point de vue « moral », pas juridique.
Super, cela va faire réfléchir tous ces parasites qui pensent que leurs méfaits vont rester impunis
La faute revient aux gouvernements laxistes qui se sont succédés