Le nouveau mur vise à stopper les commandos du Hezbollah
Les travaux commencent pour ériger un mur de dizaines de mètres de haut, près de la ville frontalière de Rosh Hanikra, afin d’empêcher le groupe d’élite Radwan du mouvement terroriste du Hezbollah de conquérir une ville israélienne, sa population ou un avant-poste
Le Commandement Nord de Tsahal a récemment débuté les travaux pour dresser un mur de béton de dizaines de mètres de haut, le long de la frontière libanaise, qui s’étendra de la mer Méditerranée à l’ouest au Mont Hermon à l’Est. La première phase se déroule à Rosh HaNikra, le point le plus au nord de la ligne côtière d’Israël.
La priorité est donnée aux zones près des villes israéliennes ou des kiboutzim, ainsi qu’à d’autres points à haut-risque qui puisse offrir au Hezbollah un avantage topographique permettant des infiltrations plus faciles en Israël.
Tsahal a fait savoir clairement à la Force Intérimaire des Nations -Unies au Liban (FINUL) que le mur est exclusivement construit sur le territoire israélien et qu’il ne viole en aucun cas le territoire libanais.
Le but principal de ce mur est d’empêcher les forces d’élite « Radwan » de s’infiltrer en Israël au cours d’un conflit et de tenter de s’emparer d’une ville israélienne ou d’un avant-poste militaire, un acte qui porterait un coup sévère au moral des Israéliens et stimulerait le penchant au vice du groupe terroriste.
Pour sa part, un porte-parole de la FINUL a déclaré, mercredi, qu’Israël a commencé à travailler au sud de la ligne frontalière et a ajouté que l’organisation onusienne surveille de près ces événements. Le porte-parole, cité dans les médias libanais, a déclaré que la FINUL maintient le contact avec les responsables des deux camps de la frontière dans le but de résoudre les questions (les objections libanaises) et d’éviter des tensions ou une détérioration inutiles.
La chaîne libanaise Al-Mayadeen appartenant au Hezbollah a rapporté pour le compte d’un responsable libanais que Tsahal avait commencé à monter le mur de béton, mais dans des zones où le Liban a exprimé des réserves et s’est opposé à la construction du mur.
Le mur n’est pas la seule cause de conflit entre Israël et le Liban. Ces dernières années, les controverses concernant les eaux territoriales de ces deux pays et leurs champs off-shore de gaz maritime n’ont fait qu’accroître les tensions.
Le ministre israélien à l’Energie déclare à Ynet : « Nous espérons et nous préparons à parvenir à une solution diplomatique en la matière ». C’était aussi le gros titre d’Al Mayadeen, citant alors Ynet.
Steinitz a aussi fait clairement savoir que « Il s ne devraient pas menacer et, certainement pas envahir nos eaux territoriales. S’ils nous attaquent, notre réplique sera rapide, foudroyante et plus dévastatrice que par le passé. Israël est la nation la plus puissante de la région et nous défendrons nos eaux territoriales et les plates-formes de forage du gaz ».
Steinitz répondait à des déclarations faites par des politiciens libanais, autant que par le Hezbollah, concernant leur opposition au mur frontalier et au sujet des champs de gaz naturel dans le « Bloc-9 » de cette zone maritime, qui fait l’objet d’une controverse entre le Liban et Israël.
Les trois hommes prédominants du gouvernement libanais, le Président Michel Aoun, le Premier Ministre Saad Hariri et le porte-parole du parlement, Nabih Berri -ont tous déclaré leur résolution à empêcher Israël ce construire ce mur qui, prétendent-ils, violerait la souveraineté libanaise, fine fleur si précieuse qu’elle n’est réservée et n’est toute dévouée qu’à l’Iran expansionniste.
Tous les trois se sont rencontrés au Palais Présidentiel à Beyrouth pour discuter des « menaces israéliennes » qu’ils perçoivent comme des menaces contre la stabilité régionale [On ne pouffe pas]. Ils ont déclaré que la rhétorique israélienne est une violation de la résolution 1701, quotidiennement violée par le Hezbollah, ainsi que l’accord de cessez-le-feu de 2006. Tous trois se sont mis d’accord pour poursuivre leurs efforts pour stopper Israël et l’empêcher de « construire un mur de béton au Liban » (sic.)
Le Hezbollah a aussi diffusé un message à l’attention d’Israël. L’organisation chiite a distribué des tracts citant un récent discours de son leader Hassan Nasrallah, où il déclare que le Liban ne renoncerait pas à ses droits territoriaux.
Ces tracts comprenaient également des menaces explicites contre Israël : « Ceux qui violent les possessions de gaz naturel dans les eaux libanaises seront frappées en retour et Israël sait que nous en sommes capables ». Une vidéo diffusée en même temps que les tracts intégrait la photo du ministre de la défense Avigdor Lieberman à côté de sa déclaration au sujet de la souveraineté d’Israël sur les eaux disputées. Des missiles frappant les plates-formes de forage du gaz faisaient aussi partie de ce montage vidéo.
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Oh oui bouge ton cul nassrallah et le liban disparaîtra.
Aoun, la souris qui rugissait
La majorité des israëliens et des juifs dans le monde se sentent protégés, rassurés par ces dispositions de notre état tendant à épargner sa population. Pour preuve de cette unité de pensée, les gens se sentent de moins en moins rassurés devant les molles réactions des pays européens face à l’agressivité environnante actuelle, majoritairement issue du monde islamiste.
En Israel, nous sommes chez nous. Il est normal que notre gouvernement prennent des dispositions qui ne plaisent pas aux tueurs de tous bords. Alors Bravo au gouvernement Natanyaou, à Tshal pour ce travail énorme !