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Israël aide les pays arides.

Israël transfère aux pays concernés, les technologies qui ont été développées et testées dans les conditions extrêmes du désert du Néguev.
Source : Site Ambassade d’Israël en France

Israël transfère aux pays concernés en Afrique, en Asie centrale et en Amérique latine les technologies qui ont été développées et testées dans les conditions extrêmes du désert du Néguev.​

Le 17 juin marque la Journée mondiale de lutte contre la désertification. En 1994, l’Assemblée générale des Nations Unies avait choisi cette date afin de sensibiliser le public à cette question importante.

La désertification signifie la dégradation des sols dans les zones arides, semi-arides et sub-humides sèches en résultat direct de l’activité humaine, du réchauffement climatique et de plusieurs facteurs supplémentaires. La dégradation des terres diminue de manière importante les rendements agricoles, aggravant la situation économique des paysans locaux et contribuant à un nombre de crises alimentaires, de conflits et d’émigration massive depuis les régions touchées de plus en plus nombreuses.

La Journée mondiale de lutte contre la désertification est une occasion unique de rappeler à tous que la désertification peut être efficacement abordée, que des solutions sont possibles et que les outils-clés pour atteindre cet objectif reposent sur la participation et la coopération à tous les niveaux de la communauté.

La contribution de l’État d’Israël

Son territoire étant en grande partie désertique et aride, Israël n’a eu d’autre choix que de développer des solutions pour « faire fleurir le désert ».

Aujourd’hui, l’État d’Israël est ravi de pouvoir partager son expérience, son savoir-faire, ses innovations et ses succès avec le reste du monde.

L’État d’Israël met l’accent sur les questions cruciales de la coopération et de l’aide au développement international en introduisant des programmes coopératifs de formation, de développement et de recherche à l’échelle internationale en matière de lutte contre la désertification et le développement dans les terres arides.

Parmi les domaines d’expertise d’Israël, on trouve le recyclage et la gestion de l’eau, l’irrigation, l’agriculture dans les milieux arides, l’érosion des sols, la salinisation, l’atténuation et l’adaptation au changement climatique ou encore le reboisement.

Une vaste expérience en R&D et des décennies d’expérience pratique permettent à Israël d’aider d’autres pays à se confronter à des conditions similaires.

Israël travaille avec le Secrétaire Exécutif de l’organisation en charge de la Convention UNCCD,  afin d’adapter ses efforts majeurs dans la région aux objectifs, au plan et aux différents cadres d’application de la Convention. En tant que signataire de l’UNCCD, Israël transfère aux pays touchés en Afrique, en Asie centrale et en Amérique latine les technologies qui ont été développées et testées dans les conditions extrêmes du désert du Néguev.

Israël a commencé ce processus de transfert de connaissances à la fin des années cinquante. La majorité de l’aide publique au développement (APD) d’Israël est basée sur l’assistance technique et le partage du savoir-faire, des technologies et de l’expertise israéliennes accumulés grâce à des activités de conseil ou d’accompagnement, de renforcement des capacités et de formation en Israël ou dans les pays partenaires.

Développement International

MASHAV, l’Agence israélienne pour la coopération internationale au développement, a activement participé à l’organisation de cours de formation et de transferts de connaissances depuis la fin de 1957.

En 2016, elle a mené plus de 20 cours pour des professionnels de divers pays sur des sujets tels que la lutte contre la désertification, la gestion de l’eau, les effets du changement climatique sur l’agriculture et les techniques d’irrigation. MASHAV a également proposé un total 40 session de formation locale en Chine, en Mongolie, au Vietnam, au Laos, en Inde, aux Philippines, en Bosnie-Herzégovine, au Honduras, en Colombie, en Ethiopie, au Cameroun, au Togo, au Sud-Soudan, au Kenya, au Nigéria et au Ghana, impliquant plus de 700 participants. Lors de ces cours, MASHAV souligne l’importance de fournir des solutions aux petits agriculteurs dans les zones rurales.

MASHAV se joint à d’autres acteurs et institutions pour promouvoir la mobilisation de la société israélienne et des organisations de la société civile (OSC) pour continuer son engagement dans le développement international et l’aide étrangère. L’une de ces OSC est l’Institut Jacob Blaustein pour la recherche sur le désert (BIDR) qui, par le biais de son école supérieure internationale, offre une variété de cours traitant directement de la désertification, de la dégradation des terres et de la sécheresse (DLDD). Environ la moitié des étudiants sont étrangers, dont plus des deux tiers proviennent de pays touchés par ce phénomène

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