Ken Loach fait don des places payées par les Israéliens à BDS!
Les bénéfices tirés de la diffusion du dernier film de Ken Loach, ‘I, Daniel Blake’ sur les écrans israéliens ont fait l’objet d’un don massif à la branche britannique de BDS, transformant ainsi les Israéliens en partisans à l’insu de leur plein gré du boycott contre leur propre pays. 

 Le metteur en scène britannique Ken Loach a offert les bénéfices de la projection de son dernier film en Israël au mouvement antisioniste et antisémite Boycott, Divestissement et Sanctions (BDS).

Ce film :  » Moi, Daniel Blake », a largement été plébiscité et rediffusé face à des auditoires dans des cinémas bondés en Israël, au printemps dernier. A la fin de la semaine passée, la bracnhe anglaise du groupement pour le Boycott a publié un communiqué révélant qu’il est le bénéficiaire de tous les revenus de la projection de ce film en Israël, objet d’un don de la part de Ken Loach, qui ajoute le mépris à l’insulte et à la manipulation.

« Ken Loach, merci pour votre soutien et votre générosité, cela nous donne plus de force encore »! ont déclaré les membres de cette organisation antisioniste au metteur en scène bobo britannique [partisan du chômage des Palestiniens vivant dans les entreprises mixtes de la Zone C de Judée-Samarie].

Ken Loach (Photo: GettyImages)

Ken Loach (Photo: GettyImages)

 

Les partisans du boycott, qui tirent bénéfice de la curiosité malsaine du public israélien pour ce cinéaste, n’ont pas spécifié le montant de ces recettes résultant de cette spoliation à but « culturel ». Ce précédent ne manquera pas de provoquer une nouvelle forme de discrimination « raciale » envers les Juifs et pro-Israéliens, à l’entrée des cinémas, désormais interdits de projection des film de Ken Loach, s’ils ne veulent pas que leur argent soit détourné afin de soutenir l’antisémitisme de BDS -puisque ce boycott ne vise exclusivement qu’un seul pays au monde-.

« Moi, Daniel Blake » est sorti l’an dernier et a remporté la Plame d’Or au Festival de Cannes et le prix du Meilleur Film de l’Académie Britannique du Film (BAFTA), ainsi que la nomination en tant que meilleur film dans bien d’autres festivals prestigieux.

Ce film raconte l’histoire de Daniel Blake, un homme de la classe ouvrière, écrasé sous le poids de la bureaucratie, après avoir subi une attaque cardiaque et s’être vu refusé des compensations financières, à cause de son inaptitude à l’emploi, qui finit par nouer une amitié unique avec une mère célibataire, au cours de l’histoire. Bref, tous les clichés de « l’Angleterre Insoumise » sont mis en valeur dans le récit.

Ce qui n’empêche pas les mondains des cercles culturels favorisés de classer ce cinéaste, Ken Loach, comme l’un des meilleurs travaillant en Grande-Bretagne actuellement. Aux côtés du Pink Floyd sur le retour,  Roger Waters, Loach est l’un des piliers et  partisan de BDS qui usent de leur notoriété pour faire un procès inique à Israël, chez l’ancien colonisateur, la Grande-Bretagne.

Loach a signé de très nombreuses lettres ouvertes appelant au boycott exclusif d’Israël et il a même tenté d’approcher des artistes comme Radiohead pour exiger d’eux qu’il annulent leurs tournées prévues en Israël, par le passé. Ses efforts se sont, cependant, avérés vains,alors que le spectacle prévu s’est déroulé à plein régime, en rencontrant un immense succès pour le groupe comme pour le public ravi.

BDS

BDS

« Ne vous produisez pas dans un pays où règne un régime d’Apartheid » ne cesse t-il de répéter à divers artistes.

Loach a provoqué un véritable tollé contre lui, l’été dernier, après que des reportages ont révélé que, bien que lui-même appelle au boycott exclusif d’Israël, cet antisémite profitait lui-même grassement de l’argent des Juifs en produisant son film dans les cinémas de l’Etat Juif.

Loach a alors bafouillé, par l’intermédiaire de sa productrice Rebecca O’Brien, que la compagnie de distribution de « Moi, Daniel Blake », avait signé un accord de distribution avec Israël, par « accident » et sans qu’il ne le sache…

« Nous n’avons pas demandé à ce qu’on vende le film en Israël, mais au cours du Festival de Cannes -sans doute troublés par la robe de Miri Regev – des représentants juniors de la production ont furtivement vendu le film à Israël, oubliant que Ken avait bien spécifié de ne jamais vendre ce film à des Israéliens pour qu’ils le projettent », a péniblement expliqué O’Brien au Guardian.

 

La conséquence de cette erreur auto-proclamée telle est que le film a bien été projeté en Israël, malgré le fait que beaucoup des spectateurs qui l’ont visionné n’ont eu aucune connaissance de ce que leur argent finirait par contribuer aux travail de sape des hors-la-loi internationale de libre circulation des œuvres et produits à travers le monde, membres de BDS, qui poursuit, malgré et grâce à eux, ses efforts visant à diffamer Israël à l’étranger. Si Ken Loach était honnête, soit il mettait une annonce explicitant le don qu’il allait faire, soit il remboursait les billets sur sa même base discriminatoire.

Shani Film, qui a distribué le film en Israël et, par conséquent, participe de cette escroquerie manifeste à visée politique discriminatoire, doit encore rendre compte de ces reportages sur cette malfaçon.

ynetnews.com

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Paul06

Heureusement Ken l’antisioniste primaire va bientôt passer l’arme à gauche sans me faire verser de larmes

Macronyme-Crimeur-Contre-L'Humanité

L’argent n’a pas d’odeur.
Ken Lèche (-cul pro-nazislamiste) en sait quelque chose.
Il n’y a qu’en Israel qu’on peut voir ça.

Imaginez un film bosniaque réalisé par un bosniaque anti-serbe faire projeter un film « Moi, Mohamerde massacreur de serbes » dans un cinéma de Belgrade.
je vous laisse deviner ce qui se passerait.