Pour sa dernière intervention, la journaliste et directrice de la publication de CauseurÉlisabeth Lévy, a frappé fort: attaquer le mouvement Metoo au beau milieu de la première Université d’été 2018 du féminisme organisée par Marlène Schiappa ce 13 septembre, c’était s’exposer à l’indignation des spectatrices.

Quelques minutes auparavant, les propos de la polémiste, exprimés avec son habituelle verve, recueillaient les huées et les désaccords exaspérés de l’assistance.

« Aujourd’hui la condition des femmes n’a strictement rien à voir avec le récit victimaire qui est délivré par #Metoo », a exposé Élisabeth Lévy face à un public déjà tendu par ses positions et en réponse à la professeure de philosophie et journaliste Martine Storti. « Je connais plein de femmes qui ne vivent pas ce sentiment de domination, de souffrance et d’humiliation. Ce [#Metoo] n’est tout simplement pas un bon récit », a-t-elle conclu.

« Tu vis sur quelle planète? » s’est alors écriée une femme dans l’assistance avant que la table ronde ne prenne fin.

 

Arièle Bonte

@arielebonte

Elisabeth Lévy : « La condition des femmes n’a rien à voir avec le discours victimaire véhiculé par « 
Une femme dans la salle hurle : « Tu vis sur quelle planète ?! »

Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo ci-dessus, la créatrice de Causeuravait été huée quelques minutes plus tôt: « Les huées, c’est le signal faible de la barbarie », s’était-elle alors insurgée à son micro. Elle était en train de défendre l’idée que, selon elle, l’intimidation que ressentent certaines femmes face aux hommes n’est en réalité qu’une difficulté à entendre un avis différent du leur.

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Rosa SAHSAN

C’est depuis qu’il y a la Schiappa au gouvernement que ces femmes se sont posées en victime.
Elles en sont devenues ridicules.
ROSA

Ajj

C’est ce fameux monde du « grand remplacement » ???… Je les comprends dans ce cas.

alexandra

Qu’est-ce qu’elle leur a mis dans les dents aux pimbêches victimistes !
E. L. au moins à la gnak et ne joue pas les pleureuses, en quoi je suis totalement d’accord avec elle. D’ailleurs, je ne sais pas dans quel triste monde vivent ces femmes, mais on ne doit pas vivre dans le même car dans le mien les hommes savent se tenir avec civilité et dialoguer avec les femmes d’égal à égal.