Danielle Simonnet avec Éric Coquerel, co-coordinateur du Parti de gauche, Michel Stoupak/Citizenside
“A-t-on désormais le droit de crier mort aux blancs ?”

Par Gilles-William Goldnadel

Source : Valeurs Actuelles
Pendant que les opposants à l’islam politique ou radical sont pourchassés, de Bensoussan à Zemmour, jusque dans le tribunal, pendant que l’antisémitisme islamique est protégé jusqu’à devoir obliger Arte à diffuser des sujets qu’elle voulait enterrer, pendant que le dossier d’assassinat de Sarah Halimi fait l’objet du même enterrement médiatique, pour les mêmes islamiques raisons.

Pendant tout cela, une autre détestation peut librement s’épanouir sans résistance judiciaire, morale, intellectuelle et encore moins médiatique.

Cette semaine, une députée prétendument insoumise du nom de OBONO, refusait devant un micro, au nom d’une prétendue liberté , de condamner l’expression “nique la France !”

La tartuferie était à son sommet, puisque précisément la dame était proche de ce parti racialiste  qui avaient édité un livre du même titre agrémenté d’une photographie d’une femme portant  coiffe, faisant un doigt d’honneur. Le journaliste l’invita dans ce cas à lui demander si elle trouvait harmonieux de dire vive la France. L’insoumise mis des secondes interminables pour y souscrire du bout de ses lèvres pincées.

Que croyez-vous qu’il arriva ? Ce ne fut pas l’insoumise qui fut morigénée par une bonne partie de la presse soumise, mais le journaliste taxé pratiquement de racisme pour avoir osé soumettre une question pertinente à une femme de couleur impertinente envers le pays qui lui faisait l’honneur de lui faire confiance.

À ce stade, un esprit superficiel croyait avoir touché le fond de l’indignité nationale. Le crédule pensait que ce nouvel avatar des problèmes migratoires n’étaient que la résultante des ratés de l’intégration.

Que par l’effet pervers d’un antiracisme devenu fou, les populations de couleur, en cas d’infraction, bénéficiaient d’une indulgence excessive interdite à la population autochtone. C’est effectivement ce que l’on pourrait superficiellement penser. Mais, comme je ne cesse de l’écrire, l’origine du mal est encore plus profonde.


“Vive la France ? Oui, sauf celle des vieux cons blancs qui exigent d’une jeune députée noire de le dire !…”

On avait en effet pas encore tout lu : C’est ainsi qu’une autre représentante melenchoniste et parisienne, Madame Danielle Simonnet, à la suite de l’incident précité trouvait le moyen tranquillement de twitter :

“Vive la France ? Oui, sauf celle des vieux cons blancs qui exigent d’une jeune députée noire de le dire !…”

Ainsi, en France, la haine du mâle blanc peut-être aujourd’hui tranquillement assumée. Flatulences sonores de l’insoumise bénéficiant de la surdité d’une classe médiatique encore largement soumise. Mon imagination est impuissante à décrire la réaction judiciaire, intellectuelle et politique au cas où, par exemple, Nadine Morano avait gazouillé : “Vive la France ? Oui sauf celle des jeunes noirs…”

Cette différence de traitement ne peut s’expliquer que par une seule et unique raison : le racisme anti blanc, le racisme anti occidental, a aujourd’hui droit de cité dans les quartiers. Et défense de s’en plaindre sous peine de racisme.

Ce ne sont pas les derniers résultats politiques qui risquent de nous faire sortir de ce sinistre psychodrame pervers et névrotique.

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

1 Commentaire
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Madredios

Mélenchon : le Muzz-olini à la sauce française.
Sans les 70% d’arabo-africo-musulmaniens, le mouvement de la F.I serait caduque….rien….nada
C’est peut-être pour cette raison que ce bouffon ne finit jamais ses plaies-doiries par un « Vive la France »….de peur que ces 70% d’anti-français ne quitte son mouvement.