« La pensée n’est pas le fait d’un homme isolé. Les découvertes de tous entraînent l’évolution de chacun. » Louis Aragon

Il est de bon ton aujourd’hui de s’indigner. Et je ne ferai pas exception, mais mes motifs d’indignation sont tout à fait à l’opposé de ceux de Hessel. Je suis indignée de constater que, si j’ose affirmer ma position en faveur d’Israël, je me fais des ennemis. Même parmi mes amis juifs, si je parle d’Israël en présence de non-juifs, il en est qui me demandent de me taire ou qui s’éloignent de moi.

Je suis lasse de cette campagne antiisraélienne, orchestrée par les medias, les milieux politiques – qu’ils soient d’extrême gauche ou d’extrême droite – et par de nombreux intellectuels, parfois juifs et israéliens de surcroît ; lasse de devoir quémander un traitement plus équitable dans les medias et de me battre contre des moulins à vent ; lasse d’entendre dire qu’Israël est un État d’apartheid, qu’il est le pays le plus dangereux pour la paix mondiale ou encore qu’il présente des similitudes avec l’Allemagne des années 30. Non seulement lasse, mais en colère parce que l’on remet en question jusqu’à son droit à l’existence et que l’on lance des appels à sa destruction sans que cela puisse choquer les nations.

Face à tous les mensonges propagés par des gens qui font pourtant partie de l’élite, il faut que des voix s’élèvent, non seulement pour détruire les accusations perfides portées contre Israël, mais aussi, et je dirai même surtout pour diffuser d’Israël une image à l’opposé de celle que véhiculent les medias, une image valorisante parce qu’Israël a tout pour susciter l’admiration, parce qu’Israël est un joyau dont nous pouvons être fiers. Or, comme il n’existe que peu ou pas d’ouvrages présentant de façon objective la réalité israélienne, c’est à nous qu’il revient de rétablir les faits, d’informer, et ce en dépit de la réticence que nous éprouvons, nous les Juifs, à parler de la réussite d’Israël.

Et c’est à vous, vous mes « amis » non-juifs qui faites partie de l’élite intellectuelle que je voudrais m’adresser. À vous qui me reprochez à-demi-mots mes prises de position très tranchées en faveur d’Israël, mon manque de compassion envers les Palestiniens, mon manque d’objectivité quand je traite du conflit.

Permettez-moi de vous dire que je ne comprends pas que des intellectuels puissent se laisser berner et adhérer à des mythes comme celui qui veut que les Israéliens aient volé la terre des Palestiniens quand des documents d’historiens attestent de la présence juive en Palestine depuis des millénaires. Dois-je vous rappeler qu’avant de jeter l’opprobre sur Israël, vous feriez bien de regarder votre passé ? Vous savez mieux que quiconque que les Israéliens ne sont pas des colons, qu’ils n’ont rien en commun avec les Français, les Belges, les Anglais ou les Portugais.

Vous qui formez les hommes de demain, vous vous dites pour la paix et animés de valeurs humanistes. Sans doute ne donnons-nous pas à ces mots la même acception. Sinon comment pouvez-vous, en même temps, défendre la création d’un État palestinien et remettre en question le droit à l’existence de l’État d’Israël ? Sinon, comment expliquer votre silence face à l’appel de détresse lancé par les Syriens ? Pourquoi cette politique de deux poids deux mesures ? J’ai du mal à croire que vous, si prompts à condamner Israël pour le moindre geste d’auto-défense qu’il pose, restiez silencieux face à la tragédie du peuple syrien et, devrais-je ajouter, face aux menaces d’anéantissement d’Israël que brandit l’Iran ? Sont-ce là les valeurs que vous défendez ?

Une conclusion s’impose : ni la vie d’un Syrien ni celle d’un Palestinien n’a d’importance à vos yeux. Ce qui vous anime, ce n’est pas la compassion pour les Palestiniens, ce qui vous anime c’est une haine inextinguible pour le peuple juif au complet, haine que vous avez transférée sur Israël, et non sur son gouvernement que vous n’êtes pas à même de juger.

LA HAINE DES JUIFS ET D’ISRAËL

« La jalousie est le signe du manque de fatuité, du sens critique, de l’intelligence. » Paul Léautaud

Pourquoi cette haine ? Évidemment, elle ne date pas d’hier. De tout temps, depuis l’époque des pharaons, partout où ils allaient, partout où ils tentaient de s’installer, les Juifs suscitaient la haine.

On les accusait de tous les maux, surtout quand un pays traversait une crise économique ou politique. Ils étaient le souffre-douleur des populations, leur bouc émissaire. Comme les chrétiens craignaient de voir leur doctrine -le christianisme- détruite par les Juifs, ils les présentaient comme des gens dangereux, des gens à mettre au ban de la société.

On leur en voulait également parce qu’ils étaient différents des autres peuples, on les voyait comme « le corps étranger » à extirper. Proscrits, les Juifs l’étaient parce que Juifs comme d’autres l’étaient – dans une moindre mesure – parce que communistes.

Incapables de comprendre les causes de cette haine, les Juifs ont développé un sentiment de culpabilité et ils ont choisi de se fondre dans la masse, de cesser d’exister en tant que Juifs, de rejeter leur identité ontologique. Tentative vaine : l’antisémitisme était là, et même si les Juifs se voulaient pareils aux autres, on leur rappelait sans cesse qu’ils ne l’étaient pas.

Alors, dans l’espoir d’être mieux acceptés, ils ont choisi de se distinguer dans tous les domaines : scientifique, artistique, économique, etc., à une exception près peut-être : le sport. Erreur ! Leur situation n’a fait qu’empirer, la haine des autres n’a fait que croître et, portée à son paroxysme, elle a conduit à l’extermination de 6 millions de Juifs.

Très tôt, bien avant la Shoah, beaucoup de Juifs se sont dit que pour échapper à cette bête immonde qui les pourchassait, il n’y avait qu’une solution : fonder leur propre État.

Mais l’antisémitisme a la vie dure. Et la création de l’État juif n’a fait que le renforcer, un peu comme une tempête gagne en puissance et se renforce en ouragan.

Bien sûr, je vous entends déjà me répondre que vous n’êtes pas antisémites, que vous n’êtes qu’antisionistes, que c’est Israël qui suscite la haine.

En fait, la haine du juif s’est focalisée sur Israël, sur le sionisme.
L’antisémitisme, qui est répréhensible, a pris un autre nom qu’on juge « politiquement correct » : il s’appelle l’antisionisme. Il a pris à un autre visage : Israël. Et « la question juive » dont parlait Sartre est devenue « la question israélienne ».

Mais vous savez aussi bien que moi que l’on ne peut dissocier Israël du peuple juif. Exception faite des Neturei Karta et des Juifs qui souffrent de « la haine de soi » (les self-hating jews), tout juif se reconnaît en Israël.

Par ailleurs, ne nous y méprenons pas: l’antisionisme est en réalité infiniment plus dangereux que l’antisémitisme puisqu’il ajoute à l’antisémitisme conventionnel une opposition farouche au sionisme, donc au droit de tout Juif de pouvoir vivre sur sa terre , même s’il s’agit là d’un droit inaliénable accordé à tous les peuples. C’est ce qui me permet de dire que l’antisionisme est l’antisémitisme porté à son paroxysme. Et comme il vise l’élimination d’Israël, l’antisionisme est la pire forme de racisme qui puisse exister.

Donc, soyons clairs : quelle que soit la terminologie que vous adoptiez sous les pressions du « politiquement correct », quand vous haïssez Israël, c’est son peuple, et l’ensemble du peuple juif que vous haïssez.
En fait, vous les antisionistes pouvez tolérer le Juif – je dis bien « tolérer » – dans le statut de victime, de Juif errant et, quand vous le croyez voué à disparaître, il peut même vous inspirer de la sympathie. En revanche, quand il se distingue, il suscite la jalousie, et la jalousie a pour corollaire la haine.

– Pourquoi serait-on jaloux d’Israël ? Jaloux de ce petit pays ! me direz-vous.

La cause ? Je devrais dire les causes, car la jalousie d’élection n’explique pas tout. Peut-être en veut-on d’abord aux Juifs d’avoir résisté à toutes les tentatives d’éradication. La survie du peuple juif, ses victoires contre les 200 millions d’ennemis, tout cela ne vous semble-t-il pas tenir du miracle? En fait, vous devez bien admettre que la seule résurrection incontestable, ce n’est pas celle de Jésus, la Résurrection, c’est celle de ce pays dont le peuple presque anéanti a réussi à renaître de ses cendres.

« L’État d’Israël a cumulé plus d’histoire au cours de ses 62 années que de nombreux autres pays de la planète n’ont eu en six cents ans. Il y a beaucoup de choses surprenantes à propos de cette minuscule, héroïque, courageuse nation de la taille du Pays de Galles, mais le plus étonnant, c’est qu’elle a survécu à tout. » Ces propos, ce n’est pas moi qui les tiens, mais Andrew Roberts, un membre du Parlement du Royaume Uni, lors d’un discours qu’il a prononcé à la Chambre des communes.

Mais surtout on en veut aux Juifs et on calomnie Israël parce que l’on est jaloux de la réussite de ce pays. Dans la vie individuelle, on dénigre celui qui a du succès et on l’isole pour lui préférer celui qui souffre. Il en est de même entre les peuples, entre les États. Israël aussi est isolé et dénigré par ceux qui sont jaloux de sa réussite, du potentiel de son peuple qui a changé un désert en un jardin d’Éden et qui, en un demi-siècle, a bâti un pays dont le développement a été phénoménal, un pays qui est une « success-story ».

Ce peuple qui rayonne cause à tous les antisionistes un malaise certain : Israël, « start-up », dérange, il faut bien en convenir. Pendant que les pays européens se débattent avec une crise économique sans précédent, pendant que les pays arabes sont en proie à des révolutions, Israël continue son petit bonhomme de chemin et surprend tout le monde en affichant des résultats qui font pâlir d’envie non seulement ses voisins, mais bien des pays européens.

Alors, nombreux sont ceux qui voient en Israël un rival qu’il faut combattre, qu’il faut éliminer, un peu comme si le succès d’Israël se faisait à leurs dépens.

Que les masses adoptent un tel raisonnement, cela se conçoit aisément. Il ne s’agit pas de les excuser, mais de justifier. En revanche, je suis littéralement scandalisée quand des gens intelligents et cultivés, qui appartiennent à des pays au coefficient éducatif élevé, laissent libre cours à leur haine des Juifs. Car ces universitaires sont à même de comprendre ce qui peut échapper au peuple, à savoir que la réussite israélienne profite à toute l’humanité, sans distinction de race ni de religion.

LA RÉUSSITE ISRAÉLIENNE

Avant de vous dire ce que les medias occultent, c’est-à-dire la vérité sur Israël, vérité que vous, antisionistes de tout acabit, ne voulez pas entendre, je vous demande de garder à l’esprit ce qui suit : 6 millions de Juifs environ vivent en Israël (l’équivalent, grosso modo, de la Suisse) et un peu moins de 9 millions en diaspora. Les Juifs, vous en conviendrez, représentent à peine 0,2% de la population mondiale, alors que les musulmans représentent 20%. Il y a donc 1 Juif pour 100 musulmans.

Je ne vous apprendrai rien en vous disant que ce pays que vous abhorrez est d’abord une démocratie exemplaire, un État où toutes les religions, incluant celle qui prône son éradication, jouissent d’une totale liberté de culte.

Ce pays, s’il domine, ce n’est pas comme vous le laissez entendre uniquement grâce à sa puissance militaire – pour ne pas être jeté à la mer, il a dû se doter d’une des meilleures armées du monde, sinon la meilleure- ce pays est une puissance médicale, scientifique, technologique, etc. à laquelle l’humanité tout entière doit une fière chandelle.

Je sais que mes propos ne peuvent qu’attiser la haine que vous inspirent les Juifs, mais peut-être quelques uns parmi vous ouvriront-ils les yeux et réaliseront-ils que je dis vrai, que la supériorité intellectuelle et pragmatique des Juifs n’est pas un mythe, mais une réalité incontestable.

1. LE NOBEL : Les Juifs semblent avoir jeté leur dévolu sur ce prix si prestigieux qui récompense l’effort. En effet, sur un total de 740 prix, 180 – soit environ 23%- ont été attribués aux Juifs, donc à 0,2% de la population mondiale. Juste pour l’année 2011, 5 des 7 prix Nobel sont juifs. À titre de comparaison, 1 milliard 500 millions de musulmans ont obtenu 3 Prix Nobel sur 747.

Il est donc facile de constater que les Juifs ont raflé

– 41% des Prix Nobel en économie
– 28% des Prix Nobel en physique
– 28% des Prix Nobel en médecine
– 18% des Prix Nobel en chimie
– 13% des Prix Nobel en littérature
– 9% des Prix Nobel de la paix sont Juifs .

Et tout porte à croire qu’Israël sera le champion du Nobel au 21ème siècle !
Si nous faisons un classement équitable, donc per capita, voici le nombre de prix Nobel obtenus depuis 2000 par les nationalités récipiendaires du Nobel si leurs pays respectifs étaient peuplés de 10 millions d’habitants :

(1) Israéliens (7 prix)
(2) Américains (2,5 prix)
(3) Britanniques (2,3 prix)
(4) Français (1 prix)
(5) Australiens (1 prix)
(6) Allemand (0,8 prix)
(7) Japonais (0,64 prix)
(8) Russes (0,35 prix)

C’est vrai qu’il y a de quoi faire des jaloux ! Mais en même temps, pour ceux qui sont ambitieux et intelligents, il devrait y avoir là matière à émulation. Or, ce n’est pas le cas.

« Trop de Juifs ont reçu le Nobel! » a-t-on entendu dire. Voudrait-on laisser entendre qu’ils l’achètent ? À moins qu’on ne veuille suggérer d’imposer des quotas aux Juifs. Non, mieux : on veut interdire aux Juifs le Prix Nobel ! C’est du moins ce que suggèrent deux scientifiques, un Suédois et un Américain.

Dans une lettre ouverte datée du 31 mars 2011, qui est un véritable pamphlet, Jan C Biro, professeur honoraire à l’Institut Karolinska de Stockholm, et Kevin B. MacDonald, professeur américain, dénoncent ce qu’ils appellent « le parti pris juif » du prix Nobel.

Ils se lancent dans des calculs qui leur font dire que l’attribution de ce prix n’a pas lieu de façon équitable puisque les Juifs récompensés sont 137 fois plus nombreux que les non-juifs. Qui plus est, ils lancent un appel à leurs collègues juifs pour qu’ils adhèrent à cette prise de position. Incroyable, mais vrai ! Ne serait-on pas face à de nouveaux révisionnistes comme il existe de nouveaux historiens?

Au lieu de voir partout l’intervention du « lobby juif / sioniste», les antisionistes devraient plutôt s’interroger sur la signification à attribuer à ces résultats. Tout comme ils devraient se demander comment en 2010, année où il a accédé à l’OCDE, l’État juif a réussi à occuper le cinquième rang avec un taux de croissance moyenne de 4,5% alors que les 34 autres pays de cette organisation atteignaient tout juste 2,8% (1,7% pour l’Europe).

Il est vrai que le gouvernement israélien a été le premier surpris par de tels chiffres. « Cette forte croissance témoigne de la hausse du niveau de vie des Israéliens », a déclaré le Premier Ministre Netanyahu, ajoutant que cette croissance « est le résultat d’une politique responsable ».

Ce ne sont certainement pas les ressources naturelles d’Israël qui expliquent ces résultats. Si ressource il y a, la seule dont jouisse Israël est la matière grise. Mais une intelligence exceptionnelle que confirme un QI qu’on dit au-dessus de la moyenne ne suffit pas à expliquer à elle seule la réussite des Juifs. Il faut y ajouter leur volonté, leur capacité de résilience, leur foi, et surtout l’importance qu’ils accordent à la R&D et à l’éducation, n’en déplaise à tous les antisionistes.

Dora Marrache

Chroniqueuse, Radio-Shalom, Montréal

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23bixente23

désolé mais je ne suis pas d’accord avec vous. vous n’êtes pas chrétien, ce qui explique que pour vous les Évangiles et tout le Nouveau testament ne soient qu’une « fable »… ça me rappelle les « arguments » des antisémites et autres islamistes concernant le Talmud (Ancien testament) et plus généralement toute l’histoire d’Israël, de l’antiquité à nos jours… si si je vous assure, vos « arguments » sont du même ordre !! remplacez « Yehochoua » et « chrétienté » par « judaïsme » et « Israël », par exemple, vous comprendrez mieux où je veux en venir.

de plus, concernant « la contrainte par l’épée » du christianisme, ne faites pas l’erreur grossière des masses en confondant « chrétiens » et « église » catholique, ça a autant à voir que le Talmud et le coran…!!!! nous chrétiens, du moins Protestants (surtout Évangéliques), ne considérons même pas la dite « église » catholique comme étant chrétienne ! mieux, pour beaucoup d’entre nous, elle n’est autre que « la grande prostituée de Babylone » annoncée et dénoncée dans l’Apocalypse de Jean…

en espérant que ces quelques précisions vous auront un tant soit peu ouvert les yeux et contribué à modérer vos attaques contre notre Messie… amicalement

yacotito

Merci Dora pour cet article, que je qualifierais comme encore meilleur que d’habitude.
il apporte du baume au cœur à ceux qui sont écœurés comme vous par la calomnie incessante dont notre peuple souffre aujourd’hui comme jadis.

Car, je suis d’accord avec vous: calomnier Israël c’est calomnier notre peuple tout entier:
Nous sommes tous Israéliens: Israel, c’est notre minuscule paradis sur cette terre, c’est le pays que D. nous a donné :

haadamah acher nichba’ hachem laaboteikhem latet lahem, kimé hachamayim ‘al haarets.
Amen

choasef

YEHOCHOUA, EST UN FABLE, INVENTE POUR PERMETTRE A L’EMPIRE ROMAIN DE SURVIVRE APRES SON SCHISME.

ISRAEL ET SON PEUPLE EST UN PROJET POUR L’HUMANITE ENTIERE.

DE PLUS ISRAEL N’A JAMAIS CHERCHER A CONTRAINDRE LES AUTRES A VENIR A LUI, PAR CONTRE L’ISLAM ET LA CHRTIENTE, L’ONT FAIT ET CONTINUENT A LA FORCE DE L’EPEE.

CE QUI FAIT UNE GRANDE DIFFERENCE.

Derekhkatan

Belle mise au point. Merci.

J’adhère à ce qui est dit sauf pour un point. En effet, en tant que chrétien, je ne peux pas être d’accord que le miracle de la résurection d’Israël est plus réel que celui de la résurection de Yéshoua. Il est vrai que l’État d’Israël est un miracle du XXème siècle mais il s’inscrit dans le projet de D.ieu qui l’a prévu depuis sa création à la sortie d’Egypte, il y a plus de 3500 ans. Ceci étant dit, il ne peut y avoir aucune puissance qui puisse empêcher cela. Israël est et demeure. Que cela plaise ou pas.

Shalom