Sarkozy serait-il l’homme à abattre ? C’est bien là une question que l’on peut se poser quand on voit se succéder les procédures qui tendent à le discréditer et qui reposent sur rien ou presque, comme l’affaire Kadhafi, ou l’affaire Bettencourt qui s’est finie par un non-lieu.

Petit résumé des dernières informations.
Sarkozy, l’homme à abattre

Nicolas Sarkozy est une nouvelle fois la cible des juges. Qui n’ont pas hésité à le mettre sur écoute téléphonique comme son avocat, Me Thierry ­Herzog. Les proches de l’ancien président sont persuadés que François ­Hollande n’est pas étranger à toute cette agitation. Enquête sur l’obsession du Président.

Sarkozy, je le surveille, je sais tout ce qu’il fait.» Anodine en apparence, quand François Hollande la prononce le 17 février à l’Elysée, devant la petite ­dizaine de jeunes députés PS réunis autour de lui, cette petite phrase a pris ces derniers jours une importance considérable. Depuis la révélation par Le Monde que Nicolas Sarkozy et son avocat, Me Thierry Herzog, étaient placés depuis près d’un an sur écoute téléphonique par deux juges d’instruction, ce qui pouvait apparaître comme une boutade ou une forfanterie risque désormais de passer pour la preuve d’une manipulation, voire d’une surveillance de l’ancien président.

Bien sûr, rien ne permet aujourd’hui d’assurer que le contenu des écoutes est parvenu sur le bureau du chef de l’Etat. Mais cette phrase sème le trouble. Malgré les démentis officiels, peu nombreux sont ceux qui croient que le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, son homologue de la Justice, Christiane Taubira, n’ont pas été informés de l’existence de ces écoutes. Même un ancien magistrat comme Bruno Thouzellier a reconnu lundi dernier, sur France 5: «Il paraît difficile d’imaginer qu’ils n’aient pas été au courant.» Dans ce contexte, il semble logique que le président de la République ait pu être informé lui aussi que son prédécesseur était écouté.

L’antisarkozysme, une obsession

L’obsession Sarkozy chez François Hollande n’est pas nouvelle. Il avait centré sa campagne présidentielle sur l’antisarkozysme. Une campagne qui s’est achevée le 2 mai 2012, lors du débat télévisé de l’entre-deux-tours, par la fameuse anaphore: «Moi, président de la République…» En décrivant quel président il voulait être, le candidat ­socialiste avait pris ce soir-là le contre-pied systématique de Sarkozy. À l’Elysée, les premiers mois de son mandat se sont inscrits dans cette lignée. «C’est l’antisarkozysme qui a conduit à certains choix du Président, ­décrypte un dirigeant socialiste. Cette obsession l’a empêché de comprendre que la pratique sarkozyste du pouvoir n’était pas uniquement liée à la personnalité de ce dernier, mais aussi aux bouleversements liés au quinquennat.»

Seuls les proches du chef de l’État nient qu’il soit obsédé par son prédécesseur:«Je n’ai jamais parlé une seule fois de Nicolas Sarkozy avec lui depuis qu’il est à l’Élysée», affirme Bruno Le Roux, patron des députés PS à l’Assemblée. «C’est un non-sujet, jure Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture. Même au plus fort de la campagne présidentielle, je lui disais d’oublier Sarkozy. Aujourd’hui, il faut recommencer. Ce n’est pas à nous de désigner un adversaire.»

Peut-être. Mais visiblement, François Hollande a recommencé à se préoccuper de celui qui sera peut-être son futur adversaire en 2017. «Pendant un temps, décrypte un élu socialiste, il a pu considérer que le ­retour de Sarkozy serait la meilleure chose pour lui, parce que l’ancien président fait peur et ­remobiliserait immédiatement l’électorat de gauche. Mais depuis qu’il est au plus bas dans les sondages, Hollande a changé d’avis. Sa crainte est que Sarkozy revienne. Pour Hollande, ça va être très dur d’accéder au second tour.»

Guerre des images et des séquences

Alors le chef de l’Etat ne lâche pas d’une semelle son ancien adversaire. «Il a un œil en permanence sur Sarkozy», estime un député qui a vu récemment Hollande. Ses ­récents interlocuteurs en ont eu également la confirmation en l’entendant raconter le ­télescopage, sur les chaînes d’info en continu, des images de son arrivée pour sa visite d’Etat à Washington et celles de ­Nicolas Sarkozy au meeting parisien de Nathalie Kosciusko-Morizet. «Vous avez vu son opération pour parasiter ma séquence?» leur demande-t-il. Eux n’en sont toujours pas revenus de constater que rien ne lui avait échappé, alors même qu’il se trouvait avec Barack Obama! Les proches du ­Président peuvent bien minimiser l’impact de ces images: «Le Président était avec Obama, tandis que Sarkozy s’affichait avec NKM, celle qui va se prendre un râteau aux municipales. Si c’est ça le retour, c’est ridicule! Ce n’est même pas professionnel!»

N’empêche, les images de l’ancien président acclamé à chacune de ses sorties, lundi dernier à Nice, mardi soir à l’Olympia pour le concert de son épouse Carla Bruni, ne peuvent qu’agacer un homme contrarié par les sifflets du 11 Novembre sur les Champs-Élysées et à Oyonnax. De la même façon, l’année dernière, il n’avait pu s’empêcher de répondre à l’ancien président qui avait, selon un «confidentiel» paru dans la presse, critiqué l’intervention française au Mali: «On ne va jamais dans un pays qui n’a pas de gouvernement.» «Si certains s’interrogent pour savoir pourquoi la France est au Mali, c’est parce qu’il y avait des femmes qui étaient victimes de l’oppression et de la barbarie», avait publiquement répondu le Président, bien décidé à ne plus rien laisser passer.

Théorie du complot

L’obsession Sarkozy est également alimentée par l’entourage du chef de l’Etat. Certains conseillers n’étaient pas loin de penser que les amis de Sarkozy n’étaient pas étrangers à la publication dans Closer des photographies de François Hollande casqué sortant d’un immeuble de la rue du Cirque après avoir passé la nuit avec l’actrice Julie Gayet! Les mêmes journalistes qui ont révélé l’affaire des écoutes téléphoniques, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, ont écrit dans Le Monde que le magazine people aurait pu être informé par «des relais sarkozystes de premier plan», et que François Hollande et Valérie ­Trierweiler avaient déjà vu «l’action de réseaux sarkozystes souterrains» dans la révélation par le même hebdomadaire de l’interpellation de l’un des fils de sa compagne de l’époque pour l’achat de cannabis. «Hollande pense que Sarkozy est capable de tout», assure un proche du Président.

Dans le camp d’en face, la même théorie du complot ressort à chaque nouvelle affaire dans laquelle le nom de Sarkozy est cité ou mêlé. Me Thierry Her­zog, soupçonné de trafic d’influence et de violation du secret de l’instruction, estime qu’«il s’agit d’une affaire politique» et qu’il «le ­démontrera le moment venu». La réaction des élus socialistes laisse penser à des éléments de langage distillés au plus haut niveau. Rue de Miromesnil, quartier général de l’ancien chef de l’État, personne ne veut être dupe! «Imaginez si la justice avait fait écouter l’avocat de Hollande quand j’étais à l’Élysée», a lancé Nicolas Sarkozy à ses visiteurs en début de semaine. Et comment comprendre que les gens de gauche défendent ce qu’ils dénonceraient si l’un des leurs en était la victime?

Brice Hortefeux, lundi sur RTL, n’a pas dit autre chose quand il s’est interrogé: «Est-ce un hasard quand la garde des Sceaux réunit l’ensemble des procureurs pour leur ordonner de faire directement remonter à elle tous les dossiers sensibles? Est-ce un hasard quand on convoque le procureur général de Paris pour le remplacer par un socialiste? Est-ce un hasard quand, à 15 jours d’un scrutin lourd et difficile pour la majorité, on ­envoie autant de boules puantes dans la même direction? Est-ce un hasard quand François Hollande, recevant des députés et évoquant Nicolas Sarkozy, dit: «“Je sais très exactement ce qu’il fait”»?

Donner le change

Il est loin le temps où François Hollande minimisait devant les journalistes la tension perceptible le jour de la passation de pouvoir entre les deux hommes à l’Elysée. Le nouveau président, qui n’avait pas daigné raccompagner son prédécesseur au bas des marches du perron, avait tourné les talons avant même son départ et omis de citer son nom dans la liste des présidents de la Ve République! En marge d’un déplacement en Guyane, le chef de l’État avait expliqué qu’il regrettait cette interprétation de la cérémonie de mai 2012: «Ce n’est pas du tout le sentiment qui existait quand on a fait cette passation de pouvoir. La discussion entre nous a été apaisée, responsable. Ce n’était pas froid.»

Loin aussi, le temps de la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela en Afrique du Sud, où les deux hommes se sont retrouvés assis côte à côte dans les tribunes du stade de Soweto. Soucieux de donner le change devant les photographes et les caméras, ils simulent sourires et amabilités. «Nous avons évoqué la situation internationale, ce que Sarkozy a fait en son temps, ce que je fais aujourd’hui», éludera plus tard le Président.
Mais aujourd’hui, le climat a changé. Quand il raconte cet épisode à un de ses proches, François Hollande s’esclaffe: «C’est incroyable, Sarkozy ne m’a parlé que d’argent! Combien il gagnait, le fait que les présidents de la République étaient mal payés, et qu’il était plus simple pour lui d’en gagner aujourd’hui… Tu te rends compte?» Entre les deux hommes la guerre est de nouveau déclarée. Terminé les sourires et les amabilités, place aux missiles et autres armes de guerre. Retour au «sale mec» et au «nul», qualificatifs dont Hollande et Sarkozy usaient devant les médias pendant la campagne présidentielle pour évoquer leur adversaire.

Surtout, le Président a fini par comprendre que son obsession antisarkozyste l’avait conduit à faire des erreurs. Aujourd’hui, il tente de faire marche ­arrière. Il en va ainsi de ses liens avec les élus socialistes. Hollande, qui avait promis de ne pas recevoir de parlementaires de la majorité à l’Élysée, comme son prédécesseur le faisait en grande pompe avec les députés UMP, s’est ainsi longtemps fait prier quand ses conseillers lui parlaient de la nécessité de voir les députés socialistes. Le chef de l’État a finalement plié. Depuis le mois d’avril, il reçoit discrètement mais régulièrement une dizaine de parlementaires PS.

«Mais comment faisait Sarkozy?»

Avec Jean-Marc Ayrault, François Hollande, qui avait lancé «Moi, Président, je ne traiterai pas mon Premier ministre de collaborateur», a d’abord voulu retrouver un fonctionnement institutionnel plus classique, avec une meilleure ­répartition des rôles entre l’Élysée et Matignon et un espace dévolu au Premier ministre. Mais au fil des mois et des «couacs» gouvernementaux, le Président a finalement recentré le pouvoir à l’Élysée. Lors de ses derniers vœux aux Français, il a même annoncé qu’il suivrait «personnellement» un certain nombre de dossiers, notamment celui des réductions budgétaires (50 milliards d’euros). Les réunions du comité stratégique de la dépense publique se tiennent désormais à l’Élysée.
Même au sujet de sa communication, Hollande a dû se résoudre à changer. Il s’est longtemps refusé à organiser son action en séquences, selon le principe du «story-telling» cher à Nicolas Sarkozy. Mais les critiques sur la communication de l’Élysée n’ont cessé de s’aggraver. Au point que de nombreux socialistes en ­devenaient presque nostalgiques du fonctionnement de Sarkozy. Un comble! «Sarkozy envoyait une carte postale par jour aux Français, rappelle un conseiller élyséen. Notre problème, c’est qu’on veut faire trop sérieux.» Du coup, rien n’imprime. «Sarkozy parlait aux Français, c’était sa force, ajoute un hollandais historique. Hollande doit raconter une histoire aux Français.»

Hollande «a accepté de faire du story-telling»

Dans son livre Jusqu’ici, tout va mal, la journaliste Cécile Amar raconte une scène surprenante: devant des journalistes réunis discrètement par le Président pour évoquer les problèmes de communication de l’Élysée, il a soudain lancé: «Mais comment faisait Sarkozy?» Depuis sa conférence de presse du 14 janvier, Hollande – qui a ­demandé à son conseiller politique Aquilino Morelle de reprendre en main la communication de l’Élysée -, a décidé de changer les choses. «Il a accepté de faire du story-telling», confirme un proche.

Le 14 janvier, date clé dans l’affrontement qu’il prépare. Le jour où il abat ses cartes afin de compliquer le retour de son adversaire. «Hollande a vu que Sarkozy avait bougé en novembre dans son discours sur Chaban-Delmas, assure un élu socialiste. Le 14 janvier, il se met au centre en vantant la politique de l’offre pour lui fermer la porte.» En novembre, Nicolas Sarkozy surprend effectivement avec un hommage à l’ancien Premier ministre qui voulait construire une «nouvelle société»: «Le dialogue, la participation, l’allégement de l’État, l’ouverture, l’absence de sectarisme ­doivent permettre à une vieille nation de se réformer dès lors qu’elle prend collectivement conscience du poids de ses archaïsmes et du danger de ses conservatismes», ­rappelait Nicolas Sarkozy avant d’ajouter: «J’aime chez Chaban cette ambition généreuse de s’ouvrir à toutes les compétences et à toutes les volontés, de quelque bord qu’elles viennent.»
Ce jour-là, François Hollande comprend que son ancien adversaire ne recommencera pas sa campagne à droite toute de 2012 et qu’il se prépare à occuper le centre. Impossible de lui laisser cet espace décisif pour gagner en 2017. Il anticipe donc le mouvement dès le 14 janvier. «2017 se jouera à trois, veut croire un socialiste spécialiste des élections présidentielles. Le ticket d’entrée pour le second tour se jouera à 20 %.» Il est donc vital pour le président sortant d’avoir face à lui un adversaire affaibli.

Par Carl Meeus, Solenn de Royer – Le Figaro.fr Article original

Hollande tente-t-il d’éliminer Sarkozy?

JEUDY POLITIQUE – Bruno Jeudy, rédacteur en chef du service « Politique » du JDD, analyse chaque jeudi l’actualité politique. Cette semaine, il revient sur l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy et les explications ambiguës du gouvernement.

Quatre policiers à temps plein pour écouter Nicolas Sarkozy 24 heures sur 24. Quarante policiers pour perquisitionner aux domiciles de Me Herzog, l’avocat de Nicolas Sarkozy ainsi que chez un magistrat susceptible d’avoir informé l’ex-chef de l’Etat sur le contenu d’une procédure judiciaire. Pas moins d’une dizaine de juges enquêtant sur des affaires où le nom de Nicolas Sarkozy serait cité. La justice voit les choses en grand pour Nicolas Sarkozy. Et le pouvoir socialiste ne la décourage sûrement pas.


Après l’avoir nié, l’exécutif a dû reconnaître qu’il avait bien été informé fin février. Difficile de croire que François Hollande n’était au courant de rien. La vérité c’est qu’Ayrault et ses ministres servent dans cette histoire de fusibles à Hollande. Un Hollande à la manœuvre et bien déterminé à discréditer Sarkozy.

Bruno Jeudy – Le Journal du Dimanche Article original

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poid lourd

Bonjour, connaissez vous monsieur « Z »et ses amis, monsieur « Z » parce que monsieur « X » pourrait passer pour un pervers lubrique ou pour un pornocrate fan inconditionnel de Marc Dorcel.
Revenons donc a ce monsieur « Z » qui se rêve en Zorro du « droit » comme de la justice, simplement dans la réalité le problème c’est que monsieur « Z » n’a aucune véritable qualité a force de refouler toutes ses frustrations; donc pour tenter de briller en société, comme pour usurper l’authentique lumière son exercice favori consiste a vomir sur le dos des absents comme sur celles et ceux qui aiment plus le silence que la parole.
Nicolas est ce qu’il est, il n’est pas coupable de la tête qu’il a en étant responsable de la gueule qu’il fait, celles et ceux qui veulent la « peau » de Nicolas en seront pour leurs frais et pour les deniers du CONtribuable Français. Cordialement.

Maguid

La vraie question est: « Qui veut sauver la peau de Sarko, et qui a intérêt à le faire malgré tout ce que l’on sait?

Titou

C’est du n’importe quoi cet aveuglement envers Sarko !
Regardez les municipales françaises : quel est le maire ou mairesse français (e) qui affiche sur son tract son appartenance à l’UMP ?
Comme c’est bizarre.
Avouons-le tranquillement : ce fut comme l’écrivent certains, un très mauvais président, qui a ruiné la droite aujourd’hui, enrichi les banques qui n’auraient quand même jamais fait faillite…
Il n’a eu aucune vision…
Pourquoi le défendre ? Vous défendrez, vous, un ami qui vous reçoit « en grande pompe » et vous assassine quelques années plus tard ? parlez-en à l’âme de KIaddafi…
Il a même invité Assad au 14 juillet. Et la France ne fait rien. Pourquoi ? lui aussi avait payé sa campagne ????

Gebe

@Sam75

Alors là, c’est la meilleure de l’année ; on ne nous l’avait jamais faite celle-là : « Voter Sarko n’est pas Casher !!! ». Et s’appuyer sur la Torah pour essayer péniblement de le démontrer est encore plus fort ; là, on a dépassé le mur du con, comme dit « Le Canard ».

Si la Torah préconise la solidarité envers les plus démunis (ce qui est tout à fait respectable), elle impose le travail à tous afin de subvenir aux besoins de sa famille, et pas l’assistanat comme vous semblez le revendiquer (c’est à cela que Sarko voulait s’attaquer, car il semble que vous ne sachiez pas entendre les choses au-delà d’une lecture primaire, pourtant un adepte de la Loi comme vous devriez savoir le faire…..).

Si la Torah préconise le partage envers les plus pauvres, elle respecte aussi le bien individuel gagné honnêtement, et le salaire juste pour le travail fourni (au passage 20 k€ pour un Président qui travaille 7 jours sur 7, 365 jours par an, c’est pas cher payé !!).

Quant aux « chômeurs qui étaient dans la rue » sous Sarko, malgré plus de solidarité et les emplois aidés de Hollande (c’est-à-dire des emplois inutiles créés artificiellement dans les collectivités locales et payés par nos impôts), et bien le chômage continue d’augmenter…Bizarre, bizarre…..

Tous les pauvres (et pas seulement les 40 000 juifs pauvres) sont dans une situation pire aujourd’hui qu’hier et ça va continuer encore…..grâce à Hollande : ceci est un fait ; libre à vous de continuer à croire les balivernes qu’on vous a racontées pendant la campagne de 2012, mais 2 années d’une autre politique nous a conduit à une situation encore pire !!

Après vous essayez de démontrer que si le mariage pour tous a été voté, c’est quelque part la conséquence et la faute de Sarko et de sa femme : alors là, on atteint les sommets !! On ne peut faire mieux dans la mauvaise foi et la bêtise !!

Quant à votre tirade sur Kippour : là on est en plein délire mystique….Je vous y laisse seul.

Enfin, et ne vous en déplaise, de tous les Présidents de la 5ème République, Sarko aura été celui qui a le mieux défendu Israël ; ceci est un fait incontestable ; pourquoi croyez-vous que 86 % des français musulmans (arabes et africains principalement) ont voté Hollande et donc contre Sarko au 2nd tour de 2012, alors que pour l’ensemble des français, on était à 52 contre 48 % ? Qui en France combat le plus violemment Israël et le peuple juif ? L’extrême gauche alliée à la gauche au pouvoir. En ce jour de Pourim, vous qui vous prétendez pratiquant, ce n’est pas 2 fois qu’il vous faut lire la Méguila, c’est 5 ou 10 fois au moins ; et puis essayer d’en tirer ses préceptes au 2nd voire au 3ème degré, comme toujours avec les textes symboliques de notre Loi. Peut-être que la lumière jaillira ?

Alors un conseil, allez vous laver l’esprit avec de l’eau propre et cessez de jeter l’opprobre sur probablement le « moins mauvais des Présidents » de ces 30 dernières années.

Pourim sameah.

Armand Maruani

{{Merci yacotito , tout est dit et bien dit .}}

{{Amitiés}}

{{Armand}}

yacotito

Il semble que cela soit la tactique préférée de la gauche: salir ses adversaires et caresser dans le sens du poil des émigrés qui vivent sur notre sol sans travailler et donc aux dépens d’une population laborieuse toujours plus faible: Sarkozy (que je n’apprécie pas non plus) comme l’ancien président du FMI tous les adversaires y passent.

Tout cela n’est que rideau de fumée pour que les électeurs qui se foutent de ces querelles, ne voient pas que la France va dans le mur avec la politique d’un autre temps que la gauche s’obstine à pratiquer: le nivellement par la bas. c’est tellement plus facile de donner un os à ronger à la populace plutot que d’agir efficacement !

Juifs de gauche, avec tout le respect que je vous dois pour votre grandeur d’âme, vous vous leurrez:
La gauche est contre nous et pro arabe, la gauche n’a pas été tendre avec nous pendant la guerre (je vous fournirai des données sur ce sujet). Le combat gauche droite de la France n’est pas notre combat:

c’est bonnet blanc et blanc bonnet !

marman68

c’est bien d’avoir enquéter sur sacko, et je vous rappelle qu’il y à eu un un non lieu
Mais maintenant pour rester honnête ET CE QUI SERAIT BIEN ce serait d’enquéter sur hollande
ce serrage de mains montrent une fois de plus l’ypocrisie du gouvernement de gauche
On lui serre la mains devant les journalistes, et par derrière on veut l’assassiner, alors je crois que la aussi ce sont des hypocrites, mais venant de la gauche et du gouvernement cela ne m’étonne pas du tout

MarcBRZ

Et il n’y a que le gauchiste Oxomars pour ne pas lire les liens d’articles parus dans le Figaro et le JDD, avec des analystes qui valent quand même que les gauchistes obsessionnels relèvent leurs œillères et s’interrogent sur le genre de pouvoir, contraire à toute éthique et à toute compétition loyale en démocratie, dont ils font la promotion. Après, on verra qui se présentera ou pas aux prochaines élections.

Le droit de la défense c’est commencer par une justice équitable et aux juges de trancher. Par contre surveiller un ex-Président plus que les terroristes, qui, pourtant pullulent en faisant le détour par la Syrie, l’Irak, etc., actuellement, et au lieu de se relever les manches pour combattre tant de fléaux sociaux et raciaux (dont l’antisémitisme), c’est se servir de la Justice comme d’une arme politique.

Richard

Avant en politique, pour être élu ou réélu il ne fallait rien faire. Aujourd’hui pour être élu il ne faut rien dire…..

Marguerite

Tout le monde connait la réponse à cette question, ça saute aux yeux:

François Hollande et sa bande d’incompétants socialistes.

sam75

Nous entrons dans pourim et nous allons parler de Amalek, ce peuple qui s’est attaqué aux plus faibles du peuple juif…
N.Sarkozy a promis lors de sa campagne présidentielle de 2012 (interview du figaro) de s’attaquer aux faibles les chômeurs et chômeurs de longue durée et non au chômage (la croissance avec les dents…
Il a fait le contraire de ce que la morale minimale et Dieu dans sa sainte Torah Devarim nous commande, à savoir : ouvrir sa main aux pauvres, aux exclus et autres pauvres et les secourir…
Non, Sarkozy a ouvert sa main aux aisés, super aisés, riches et super riches : bouclier fiscal, la milliardaire Mme Béthencourt…
Il s’est mis à 20 mille euros d’argent public par mois quand le pôle emploi c’est à dire les chômeurs et chômeurs de longue durée était à la rue, quand le financement de la formation des chômeurs, il n’y avait plus…
Et les 410 milles euros d’argent public pour le site internet de carla bruni sarkozy…

Les 40 milles juifs/juives, descendant d’Avraham, Itshak, Yaakov, sarah, Rivka, Rahel et Lea vivant en France sous le seuil de pauvreté (et combien entre le seuil de pauvreté et le smic obtenu grâce aux aides + un emploi précaire…) savent oh combien ce à quoi ils/elles ont échappé par la victoire de la gauche en 2012 et ce qu’ils/elles risquent avec le (has vé chalom !!!) retour du non cacher (à mes yeux au moins) Sarkozy…

Honte !!!!!!! Sur la communauté juive de France, une bonne parti des juifs Français qui nous traînent dans la boue et l’eau probe, envers et contre toute minimale morale, éthique, et cacherout, et Torah, défendent Sarko et le modèle sociétal qu’il nous propose : hédonisme (L’UMP et Sarko ont accepté la Gender Théorie et le mariage pour tous, la morale, la torah et moi non et je suis un manifestant pour tous de la première heure !!!) + matérialisme + loi du plus fort + clémence pour les fautes du salaud (délinquance en col blanc…) mais pas pour celle du faible…
Si le mariage pour tous n’a trouvé qu’une toute petite opposition c’est bien l’œuvre du capitalisme qui depuis mai 68 a hédonisé/érotisé/sexualisé les esprits par le biais de films, de séries TV, d’émissions TV, de magazines, de personnalités médiatiques comme carla bruni sarkozy qui n’a cessé de poser dénudée dans des magazines grand public, l’hédonisme lui doit beaucoup !!!!!!

Il y a des juifs pratiquants, en porte à faux évident de chez évident avec la Torah qu’ils/elles pratiquent !!!
J’irais voir chaque juif et chaque juive pratiquant/très pratiquant le jour de kippour et planterais mes yeux dans leurs yeux et leur demanderais, « alors, Sarkozy, clean de chez clean ??? Cacher de chez cacher ??? et le modèle sociétal qu’il nous propose, en Adéquation avec notre Sainte Torah ??? Répond moi en ce jour de Kippour » et l’on verra s’ils/elles ont encore la force de cracher sur la Torah (parole de Dieu) qu’ils/elles disent (soit disant) pratiquer ???
Je ferais la même chose avec chaque juif/juive non pratiquant sur son lit de mort…

Je suis un juif pratiquant et soutenir Sarko/UMP, n’en déplaise, est on ne peut plus et sans appel, incompatible avec la morale de notre sainte Torah et le modèle sociétal (Hessed, Guemilout Hassadim, Tsedaka-tsedek-Justice-état providence…) de notre sainte Torah !!!

Pour qui pratique sincérement et pense que derrière chaque événement du plus petit au plus grand il y a Dieu, soutenir Sarko/UMP nous promet encore bien des épreuves/Clalot douloureuses, lisez les Clalot au nombre de 98, Kitavo-Chapitre 28…

Je suis écœuré que certains de mes « frères et sœurs » juifs/juives soutiennent sans foi ni loi sarko/ump, passant par pertes et profits les 40 milles juifs Français sous le seuil de pauvreté…

oxomars

Honnêtement, défendre un ex-président de la République qui à lui seul a créé un gouffre de quelques centaines de milliards d’€, il n’y a que JForum pour le faire.

Il y a plus de gens qui actuellement subissent les décisions aventureuses de Nicolas Sarkosy, que le contraire. L’incidence d’une légèreté quinquennale se répand sur toute la population laborieuse.

Vouloir sa « peau », c’est inutile car il ne sert plus la nation et le risque de se représenter pour ramasser une tôle mémorable ne regarde que lui. Néanmoins, sa stature d’ex-Président ne l’exonère d’aucune responsabilité relative à ses activités passées. La trahison et le mensonge sont des armes avec lesquelles Nicolas Sarkozy aime se mesurer, donc pas besoin de prendre sa défense. Il a passé des années à souffler le chaud et le froid sur des fonctionnaires arrogants et susceptibles, vous ne croyez tout de même pas qu’ils l’ont oublié ?