Qu’y a-t-il de commun entre Daniel Pearl, Nick Berg, les Juifs des pogroms de Hébron et les membres de la famille Fogel ?

Ils ont été tués à l’arme blanche.

Pas seulement tués à coups de couteau, mais tués par une action délibérée visant à leur couper la tête ou provoquer une hémorragie mortelle dans la carotide.

Encore un petit détail qui est commun à tous : ils ont été abattus par des musulmans. On peut ajouter à cette liste les innombrables filles et femmes musulmanes partout dans le monde tuées d’une manière similaire, par leurs frères, pères ou autres parents parce qu’elles auraient déshonoré leurs familles.

La question qui vient à l’esprit est : d’où vient cette tendance des Musulmans à tuer leurs victimes en les égorgeant ?

La réponse est simple: l’abattage est une pratique courante et de routine dans les familles musulmanes.

Beaucoup d’enfants musulmans observent comment leurs pères égorgent un mouton pour célébrer un événement important et pour célébrer la fête de l’Aid Aladha, la fête du sacrifice, cela fait partie des commandements de la fête.

En revanche, dans les sociétés modernes, l’abattage des animaux pour la consommation de viande se fait dans les abattoirs, à l’abri du regard du public, en particulier des enfants.

Les gens recoivent une viande nettoyée, sans poils ni sang, en morceaux prêts à être cuisinés ou consommés.

Cette viande stérile protège le public de la vue de l’abbatage, du sang et des sons qui l’accompagnent.

Beaucoup d’occidentaux qui assistent à l’abattage d’un animal deviennent végétariens.

Mais dans les sociétés musulmanes, l’abattage se fait généralement à la maison, devant les petits garçons et les petites filles pour qui cela devient une routine de la vie quotidienne.

Ils en prennent l’habitude et ne sont ni impressionnés par la vue du sang qui coule de la gorge de l’animal, ni terrifiés par ses cris, ni par la vue de l’animal mort.

Très souvent ce sont les enfants qui tiennent les pieds de l’animal alors qu’il est égorgé pour le maintenir en place et ils sentent très bien l’animal se débattre dans des souffrances terribles alors qu’on plonge le couteau dans sa gorge.

La présence des enfants et leur implication dans l’abattage des animaux les rendent mentalement insensibles à cet acte et quand ils deviennent adultes, à leur tour ils pratiquent la coutume de l’abattage de leurs propres mains et en présence de leurs propres enfants.

L’immunité mentale provoquée par l’abattage permet à un musulman d’adopter cette méthode à tout moment quand il sent qu’il doit se débarrasser définitivement de quelqu’un.

L’abattage de l’agneau au cours de la fête du sacrifice est accompagné d’une récitation :

« au nom d’Allah le miséricordieux et compatissant », tuer une fille dont le comportement n’est pas conforme est aussi une sorte de rituel d’exécution.

Celui qui l’effectue estime qu’il fait un devoir important et utilise un moyen de routine auquel il est habitué dès la petite enfance.

Dans les sociétés occidentales, l’acte d’égorger un animal est perçu comme barbare alors que les sociétés musulmanes considèrent que c’est un acte adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est fait.

Ainsi le fait d’égorger des Juifs, des Chrétiens ou tout autre ennemi, n’est pas considérée par la société musulmane traditionnelle comme une manière de tuer inacceptable.

C’est ce qu’on appelle dans un langage professionnel : la « différence culturelle ».

Mordechai Kedar

Adapté de l’hébreu par Danilette Article original

Mordechaï Kedar a raison : égorger a bien une dimension « culturelle »

Le blog de Danilette vient de publier l’adaptation en français, répercutée par le site desinfos.com d’une réflexion de l’universitaire israélien, spécialiste de littérature arabe et de groupes islamistes, ancien des renseignements israéliens, Mordechai Kedar.

Il pose et répond à cette question : « pourquoi égorgent-ils ? ». Réponse qu’il convient de lire, évoquant le choc traumatique initial de tout enfant musulman, lors de l’Aïd elkebir.

Réponse que l’on peut étayer en apportant, hélas, d’autres exemples.

Une appétence démesurée pour un geste barbare : le choc initial de la fête de l’ Aïd Elkebir ou Aid Aladha

Cette question que pose Mordechaï Kedar, spécialiste de littérature arabe et de groupes islamistes, ancien du renseignement israélien, au lendemain de la mise à mort barbare d’un soldat britannique à Woolwich, est des plus pertinentes et plus d’un se la sera posée sans nul doute devant la fréquence des égorgements pratiqués par des assassins islamistes, même si d’autres, mais beaucoup moins nombreux, égorgent aussi leur victime, : « Pourquoi égorgent-ils ? ».

Et il faut remercier Danilette d’avoir adapté en français et mis en ligne la réponse et à desinfos.com (et JForum), de l’avoir reprise.

En effet, Mordechaï Kedar a on ne peut plus raison.

Il voit à l’origine de cette appétence pour ce geste barbare au choc initial formateur de – pratiquement – tout enfant musulman lors de la
« fête de l’Aïd Elkebir » – grande fête en arabe – ou Aid Aladha, la fête du sacrifice. –

En référence au sacrifice auquel Abraham allait consentir en sacrifiant son fils pour Dieu.

Son fils Isaac, dans la Bible, son fils Ismaël dans le Coran, écrit plusieurs siècles plus tard…-.

Cet enfant voit son père, qu’il admire forcément et prend pour modèle, aiguiser un couteau et égorger un mouton entravé.

Animal pacifique, sans défense, être vivant dont le sang coule aussitôt abondamment.

Motif de grande réjouissance et de grand excitation festive puisque les hommes présents découpent aussitôt l’animal, le vident de ses entrailles, et les femmes cuisent les morceaux et préparent les accompagnements.

Dans une ambiance des plus festives qui durera sur plusieurs jours.

Égorger et dépecer répondant également à un commandement religieux.

Des égorgements de victimes juives, mais pas seulement, au nom de l’Islam

C’est sans doute effectivement ce traumatisme initial infligé aux enfants musulmans qui explique une fascination très présente pour l’égorgement mais aussi le sang versé.

Mordechaï Kedar cite l’égorgement de Daniel Pearl, Nick Berg, les Juifs des pogroms de Hébron et les membres de la famille Fogel.

On peut, hélas ajouter maint autre exemple d’égorgements ou de barbarie extrême, de ce goût du sang à cette liste abominable.

Il faut se souvenir de l’égorgement de Théo Van Gogh, en novembre 2004, peu après la diffusion de son film « Submission » à la télévision néerlandaise – traitant de la maltraitance des femmes au nom de l’islam – par un individu portant djellaba.

Ou, plus récemment, celui de trois jeunes gens qui auraient été assassinés avec la complicité ou la participation de l’un des terroristes présumés de l’attentat de Boston, Tamerlan Tsarnaev – dont la mère a loué Allah depuis, on le sait – , et un autre Tchétchène, Ibragim Todashev.

Personnage interrogé à Orlando dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Boston.

Alors qu’il était sur le point de signer une confession, reconnaissant les meurtres et impliquant, semble-t-il, Tsarnaev, il a attaqué un policier qui a dû l’abattre.

Les trois victimes tuées en 2011, peu après l’anniversaire des attentats du 11 Septembre, et dont le meurtre n’avait pas été élucidé, ont été poignardés à multiples reprises et eurent aussi la gorge tranchée.

Ils étaient juifs..

Des soldats israéliens assassinés, dépecés et égorgés dans la Bande de Gaza en 2004, torturés à mort dans un commissariat de Ramallah en octobre 2000

En mai 2004 six soldats israéliens ont été assassinés et dépecés dans la Bande de Gaza, alors encore sous contrôle israélien.

Des morceaux de leurs corps furent exhibés en ville.

Il est diffcile, voire impossible, de trouver aujourd’hui la vidéo de ce macabre spectacle.

La BBC Article original rapportait l’incident précisant qu’Al Jazeera avait montré deux
« militants » exhibant une tête humaine »..

L’homme avait donc été égorgé et décapité

Quant aux images où l’on voit l’assassin du soldat britannique, les mains rouges du sang de sa victime qui vient d’être dépecée, elles renvoient immanquablement à celles du Palestinien exhibant les siennes à la fenêtre du commissariat de Ramallah où deux réservistes israéliens, d’une unité bon combattante, qui s’étaient perdus avaient été livrés à la foule qui les avait torturés à mort.

Alors qu’ils étaient sous la responsabilité de la police de l’Autorité palestinienne.

La foule qui se pressait au pied du commissariat avait applaudi ce spectacle barbare.

Les images de leur corps, que l’on trouve sur d’autres sites, sont insoutenables.

Une obsession palestinienne entretenue par l’Autorité palestinienne

Ce goût du sang versé, cette obsession de voir le sang couler, de se féliciter qu’il « irrigue la terre », quand c’est le sien, de le boire, lorsque c’est celui de son ennemi, etc. on les retrouve des dizaines de fois dans ce que publie à divers titres et en interne l’Autorité palestinienne.

Palestinian Media Watch Article original en dresse une liste qui donne la nausée…

Hélène Keller-Lind/ Désinfos.com Article original

TAGS : Musulmans égorgement Rituel Culture Violence

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Fogel Itamar

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Tobar

C’est vrai qu’ils jouissent de la lâcheté de leurs actions, mais ce sont aussi des sodomites n’oublions pas qu’ils aiment aussi empaler leurs victimes : attentat de Bombay, de l’ambassade américaine en lybie, le lynchage de kaddafi, etc, etc.

Armand Maruani

Correction , il faut lire :  » la masse des moutons subit la loi des plus fanatiques , paralysée et muette  » etc …… Scusi .

Armand Maruani

Egorger , assassiner , trahir , voler , violer et leur lâcheté légendaire sont considérées comme leurs armes favorites . Ces méthodes ont été utilisées pour envahir , dominer et convertir depuis la naissance de leur secte . A cela rajouter la pédophilie et vous obtiendrez le profil de ces barbares Hallal à la sauce nazie , les pires ennemis et la lie de l’Humanité .
Les crimes barbares et odieux cités en exemple dans l’article de JForum ne sont qu’un échantillon dans le palmarès très fourni de leurs exploits criminels depuis leur existence . Hitler ne s’était pas trompé en allant serrer la main du mufti de Jérusalem El Husseini . L’héritage avait été scellé .

PS : Dans cette secte , les plus violents dominent et les brebis s’écrasent de peur de subir le même sort que leurs malheureuses victimes . Nous le voyons encore chez nous en France en 2013 , la masse des moutons subit la loi des plus fanatiques , paralysés et muets , sans aucune manifestation ni critique à leur égard .

marman68

Ce sont des assassins ce sont des meurtriers,( ils ne faut pas confondre un animal d’avec un être humain ) et ils sont en train de chercher des excuses pour dire qu’ils n’en sont pas, ( des assassins )et là je suis encore désolé de le dire mais ce sont les musulmans qui déclarent la guerre à tout ceux qui ne le sont pas ( tuer tout ce qui n’est pas musulmans ) c’est pas moi qui le dit c’est le coran
le seul tord qu’on a eu ca a été de les accepter en france
Tous ses meurtriers tous ses assassins il faut les virer de notre pays, car moi j’aimerai que la france reste française et libre car avec la religion musulmanne on deviendra esclave de la religion et ne deviennent terre musulmane,ne devienne pas unr terre ou règne l’assassinat la corruption et le meurtre d’abord c’est le quartier, ensuite c’est la ville et ensuite c’est le pays ( a quand la charia en france )mais de répondre à la violence par la violence on pourrait penser que l’idée vient de la religion musulmanne hi ! hi ! hi ! et je continue toujours de penser que la religion musulmanne est une religion Violante Meutrière et Assassine, et que dans les mosquées on éduque les jeunes à être Violent et Assassins en deux mots : Des Meurtriers? ET JE PENSE ENCORE QUE LES MUSULMANS ENGENDRENT LA HAINE, ET QUE DANS LES MOSQUEES FRANCAISES ON LEURS INCULQUE CETTE HAINE, D’ABORD LA HAINE DES JUIFS, ET ENSUITE LA HAINE DE TOUT CE QUI N’EST PAS MUSULMANS.
Et tout ça bien sur avec la bénédiction de la gauche qui disons le à peur des musulmans

Constantine

Bonjour.

« Il n’est pas inscrit en tant que tel dans le Coran et la Sunna »

Désolé de vous contredire,mais je lis dans le Coran, sourate 22 (pélerinage), verset 36: « De chamelles ventrue nous vous prescrivons l’immlation au titre d’observance d’Allah,elles vous seront bénéfiques,rappelez sur elles,quand elles sont en rangs,le nom d’Allah,une fois affalées sur le côté,mangez-en,donnez-en à manger au suppliants et au quémendeur »

Par ailleurs je vous invite à lire dans la Sunna,tome 1,pages 716 à 722, le capitre « L’OFFRANDE. »

DANIELLE

La barbarie finalement c’est le manque de civilisation.

N’oubliez pas que dans les pays musulmans les pistolets n’existaient pas, seul le couteau était leur arme de guerre, mais on peut poignarder sans égorger, là est la question, pourquoi l’égorgement ?
D’ailleurs lorsque l’on voit Mahomet sur son cheval, il tient bien un sabre à la main !

Quand au sacrifice animal, sachez que dans les campagnes françaises on égorge aussi les animaux de ferme devant les enfants aussi et ça ne fait pour cela des égorgeurs, donc, c’est une culture ancestrale qui ne pourra disparaitre chez les musulmans qu’avec le consentement de leurs gouvernements de les rééduquer.

Mais cela est une autre question ?

Henricanan

J’interviens moi-même souvent sur des forums fréquentés par des « antisionistes » afin d’éclairer le grand public sur des pratiques barbares dont ils ne connaissent pas les tenants et aboutissants.
Sur Libération, j’avais émis un post, le 24 mai dernier, dont voici des extraits :

« La barbarie qui leur est familière, celle qui vivent dans leurs gourbis d’origine et qui ne les émeut guère, ils la déversent dans nos artères, et avec quelle fierté de primates !
Il y a eu l’égorgement du cinéaste Van Gogh dans une rue d’Amsterdam. Assumé. Puis virent les égorgements filmés du journaliste Daniel Pearl du Wall Street Journal au Pakistan par Mohamed Sheikh, le lieutenant de Ben Laden, à sa suite, l’égorgement filmé et assumé d’un jeune américain en Irak en 2003. Enfin, le meurtre à bout touchant de trois enfants à Toulouse. A bout touchant, comme un égorgement.

En fait, des égorgements de ce type, il en arrive des centaines chaque mois dans les pays musulmans En Syrie, bien sûr, mais aussi dans tout le Proche-Orient contre les femmes et les filles prises en faute de parler à un étranger ou simplement soupçonnées d’entretenir des relations interdites par leurs bourreaux. Et puis s’ajoutent à elles désormais toutes les jeunes filles et femmes victimes des viols de guerre. Égorgées pour laver « l’honneur de leur famille » souillé par les racontars ou par la malchance de tomber sur un prédateur.
Ces femmes sont égorgées par leurs pères, frères ou oncles qui s’en font un devoir.
Ces tueurs n’encourent jamais aucune sanction. Tous les tribunaux là-bas les relaxent ; parfois même, comme à Gaza, avec les félicitations des juges ! Seul Israël les met à croupir dans des cages pour le restant de leurs jours. »

La pratique de l’égorgement n’est pas due seulement l’imprégnation durant l’enfance, celle-ci ne fait que sanctionner un « acquis cultuel qui, s’il n’est pas inscrit en tant que tel dans le Coran et la Sunna, n’en a pas moins sanctifié comme un héritage religieux.

Sa déclinaison se retrouve à peu près dans toute les étapes de l’histoire arabo-musulmane.
Les soldats français en Algérie qui retrouvaient leurs camarades ou des partisans de la France égorgés d’une oreille à l’autre, l’avaient nommée « le sourire Kabyle » l’attribuant par inculture à l’ethnie berbère.
On se souvient des cris d’enthousiasme lancés par Saouto’l’Arab, la Voix des arabes, depuis Le Caire à la veille de la guerre des 6 jours : « Idbah, Idbah, Idbah El Yahoud ! » (Égorges, égorges, égorges les juifs !), au demeurant quand ils veulent qualifier un massacre, les arabes utilisent la formule : « al Kattal Oua’dabbah », (littéralement les meurtres et les égorgements). Abou Mazen, lui-même, en prise avec la rébellion du Hamas à Gaza avant qu’il ne perde ce territoire, avait clamé dans une vidéo célèbre à l’endroit du général commandant de la place : « Dabhou, dabhou Lila Houdoud » (égorgez, égorgez sans discontinuer). Hamas avait publié cette vidéo après avoir triomphé pour justifier le massacre de près de 140 hommes du Fatah.

Si bien qu’en ajoutant religion et pratique -par exemple, les Talibans, permettent aux familles victimes d’un meurtre, de pratiquer elles-mêmes l’égorgement sur son auteur- cette barbarie ordinaire constitue en quelque sorte un acquis culturel qui nécessitera des siècles pour le déraciner.