Le think tank belge Vigilance musulmane a adressé une plainte au Centre pour l’Egalité des Chances et le Lutte contre le Racisme (CECLR) contre le sociologue Mark Elchardus. Des propos que le chercheur a tenu lors d’une interview, le 12 mai dernier, avec l’agence de presse Belga inciteraient l’opinion publique « à la haine envers l’ensemble des citoyens de confession musulmane, indistinctement et nécessairement visés, sur la base de leur conviction religieuse ». 
Dans l’entretien portant sur une étude de la jeunesse bruxelloise, Mark Elchardus de la Vrije Universiteit Brussel avait notamment déclaré : « L’antisémitisme chez les élèves a une inspiration théologique et il y a un lien direct entre le fait d’être musulman et celui d’éprouver des sentiments antisémites. Les catholiques ont aussi des sentiments antisémites, mais ils sont loin d’être aussi forts ».
L’étude publiée dans « De Morgen » montrait que la moitié des élèves bruxellois de confession musulmane est antisémite.
Etude « Jong in Brussel »
Dans un communiqué publié le 25 mai, Mehmet Saygin de Vigilance musulmane explique en quoi ces propos sont contraires à plusieurs textes de loi sur la discrimination : ils inciteraient à la discrimination en raison du critère protégé de la conviction religieuse.
Vigilance musulmane demande au CECLR « d’enregistrer cette plainte, d’apprécier la nature de la déclaration publique effectuée par Monsieur Mark Elchardus au regard de notre arsenal juridique et, le cas échéant, d’engager les actions qui s’imposent. »
Ce comité de vigilance musulmane pense effectivement que ces données ainsi révélées peuvent « inciter à la haine envers les musulmans » , mais n’est-ce-pas une façon d’éluder les conclusions abasourdissantes de cette étude?
L’antisémitisme des tenant d’une certaine religion de paix et d’amour est-il encore à prouver?
La moitié des élèves bruxellois de confession musulmane sont antisémites. C’est ce qui ressort d’une étude intitulée « Jong in Brussel » (jeunes à Bruxelles) de la plate-forme Onderzoek Jeugd (Recherche sur la jeunesse), dont les résultats sont publiés jeudi dans le journal flamand De Morgen. « Un chiffre très élevé et inquiétant » selon le sociologue Mark Elchardus de l’Université libre de Bruxelles (ULB). « Ce qui est grave, c’est que ces sentiments anti-juifs n’ont rien avoir avec un niveau social ou culturel peu élevé, ce qui est le cas parmi les autochtones racistes. Chez les élèves bruxellois autochtones, 10% sont antisémites.
« L’antisémitisme chez les élèves à une inspiration théologique et il y a un lien direct entre le fait d’être musulman et celui d’éprouver des sentiments antisémites », selon le scientifique
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Une étude très sérieuse et fouillée, commanditée par le gourvernement allemand en décembre 2010, a déjà démontré le rapport direct entre la violence et la ferveur islamique chez les jeunes musulmans. http://www.dw-world.de/dw/article/0,,5655554,00.html Arrêtons de jouer à l’autruche et de ne pas oser reconnaître un problème lorsqu’il y en a un. Je vous défie de mettre une kippa et d’aller faire un tour dans un quartier musulman de Bruxelles… Des élèves juifs se font attaquer à la sortie de leur école par des jeunes musulmans à Anvers. Même des magasins, simplement non-musulmans, se font attaquer et doivent fermer (cfr boucherie familiale à Roubaix). La violence de élèves musulmans à l’égard de leurs profs (surtout féminins) dans les écoles de Laeken (commune de Bruxelles) est devenue légendaire. Malgré le silence de nos médias, le citoyen lambda, qui comprend aussi des musulmans, commence a en avoir marre et votera en conséquence, aux grands cris d’orfraie de la gauche qui jouera à la pleureuse en clamant la perte de démocratie, alors que c’est justement le peuple qui s’exprime, mais pas dans le « bon » sens du « politiquement correct » ! Les accusations d’extrémisme ou d’extrême droite commencent d’ailleurs à perdre leur effet tellement elles deviennent éculées. Le changement s’est déjà amorcé dans certains pays européens comme la Finlande, la Hollande, le Danemark, l’Autriche, et tant que le problème ne sera pas traîté de face et courageusement, ira en grandissant.
La moitié des élèves bruxellois de confession musulmane est antisémite.
Et l’autre…..n’aime pas les Juifs.
Quand on sort une phrase de son contexte, on peut lui faire dire n’importe quoi. C’est à quoi s’emploient ce genre de « plaignants » qui montrent bien ainsi leur antisiomitisme tout en protestant du contraire (cf. les dérives du MRAP, cf. aussi le procès exemplaire contre Charlie-hebdo après la publication des caricatures de Mahomet). Il faudrait soutenir ce sociologue d’une façon ou d’une autre.
Bien et alors ? En quoi Mark Elchardus est-il coupable de mensonge ou même de simple exagération ? Il ne fait que décrire une aveuglante réalité. C’est tout. Dire la vérité est-il condamnable ?