Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme vient d’être informé de la présence de tags de nature antisémite : LA MAFIA JUIVE, sur les murs du boulevard périphérique et dans d`autres secteurs de la capitale. Les correspondants qui ont alerté le BNVCA ont été choqués de découvrir sur les murs de leur ville, des graffitis publicitaires pour le livre « La Mafia Juive d’Hervé Ryssen ; Les grands prédateurs internationaux ».« Racket, trafic d’armes , Meurtres sous contrat, Trafic de drogue, Blanchiment, Proxénétisme, Casinos et Discothèques, Pornographie, Traite des Blanches, Trafic de diamants, Pillage du tiers monde, Trafic d’œuvres d’art, Escroqueries ».

Le BNVCA rappelle que Hervé Ryssen, de son vrai nom Hervé Lallin est récidiviste. Il a déjà été condamné pour des faits similaires par le Tribunal de Grande Instance de Nanterre et poursuivi pour avoir accolé des affiches sur des murs de Paris 16 et 15 ème, ainsi qu`à Levallois, Boulogne et Concarneau. dénonçant une soi-disant « MAFIA JUIVE »


Hervé Lallin, dit Ryssen.

Une audience est prévue le 24 septembre à 14 h devant la cour d’appel de Rennes. Boris LELAY avait été condamné au T. G. I de Quimper à payer la somme de 5 000 € et 1 500 € au BNVCA et en répression à 18 mois d’emprisonnement avec sursis.


Boris Lelay, de Rosporden -29140

Nous demandons à la police d’identifier les auteurs de ces graffitis.

Nous demandons au service de la voirie de la Ville de Paris de faire effacer ces tags à caractère antisémite.

Nous demandons au Procureur de la République de Paris d’engager d’initiative l’action publique contre Hervé Ryssen.

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L`ANTISEMITISME

8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 0663883029 /0668563029
Le Président
Sammy Ghozlan

Drancy le 5/8/13
.

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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Tobar

Ryssen est une sale vermine qu’on devrait crucifier sur une croix gammée. Ensuite il faudrait le gazer et l’enfourner. Et s’il en reste encore on file sa carcasse au porc, salut. (port-salut)

Tobar

Cassons la gueule a ryssen la lopette nazie. Je dirai même maintenant qu’Israël a des ressources naturelles: Gazons la gueule a ryssen la truie nazie.

Armand Maruani

{{ {{Toujours ces méthodes lâches , tordues et insidieuses pour s’exprimer

Je comprends pourquoi les nazis vous méprisaient}} }}

Armand Maruani

{{ {{@GUIRAUD

Sur le moment je n’ai pas saisi , je n’avais pas pris mon café quand j’ai lu votre post sur la mafia israelienne . J’aurai dû m’en douter que vous étiez un provocateur . Je vous ai répondu naïvement car c’est vrai qu’il existe une mafia en Israêl , comme dans tous les pays du monde . Et alors ? Vous n’avez trouver qu’Israêl et les Juifs , comme votre collègue H. Ryssen , pour vomir votre haine ?

Je vais vous dire une chose : toutes les mafias Juives qu’elles soient des E.U, d’Israêl , de France ou de Navarre n’arriveront jamais à la cheville de la pourriture que vous défendez . Je pense à ceux qui s’en prenaient à des femmes et des enfants . Je pense aux tapettes zélées à la solde des nazis , méprisées par ces derniers car ils n’avaient aucun honneur . Ils vendaient leur pays à l’ennemi . C’est cela que vous défendez ?

Je comprends mieux maintenant vos messages de haine dignes de la pourriture nazie .
}} }}

Armand Maruani

{{ {{ {{ {{@GUIRAUD

 » H. Ryssen n’est pas ma tasse de thé, je ne me souvient même pas d’avoir vu ou lu un de ses trochons .  »

La faute d’orthographe ( trochons ) est elle volontaire pour ne pas prononcer le mot  » torchon  » ?

Quant à Salomon Morel je le découvre grâce à vous .

Je n’ai pas besoin de lire sa  » très belle biographie  » , vous le décrivez tellement bien qu’on a l’impression que vous êtes proche de lui .

Une question : L’histoire des Bonny , Lafond and C° est elle exacte ou je raconte des bobards ? ces pourritures n’ont elles pas été des collabos à la botte des nazis pour dépouiller les Juifs ?

Il vous reste une chose : Allez faire connaissance avec H.Ryssen que vous insinuez ne pas connaître , pour lui rafraîchir la mémoire et lui rappeler  » la carlingue  » .

Lui , doit connaître , mais il s’en est bien gardé d’en parler dans sur son site nauséabond .}} }} }} }}

GUIRAUD

aAArmand maruani : H. Ryssen n’est pas ma tasse de thé, je ne me souvient même pas d’avoir vu ou lu un de ses trochons .

Mais c’est vrai qu’il ne doit pas non plus parler de Salomon Morel dont je vous incite à lire la très belle la biographie :
Vous n’êtes pas sans savoir le passé caché de ce : merveilleux humaniste ; personnage mort en février 2007 en Israel .
Ce monsieur qui avait osé se présenter comme une victime déportée à Auschwitz par les Nazis.
C’est vrai qu’il y a été sur place mais à Zgoda (ex section d’Auschwitz) , mais comme chef de camp de l’après guerre ,pour y martyriser des hommes des femmes y compris enceintes , des vieillards , des handicapés , de très jeunes enfants dont des bébés .
En quelques mois sous la torture, sous les coups de Morel nombres de femmes et d’enfants périrent d’épuisement de brimades, de maladies ; de malnutrition,de coups .
Chef de camp, après la fin des combats en 1945, il avait déclaré qu’il était capable d’accomplir en cinq mois ce que les Nazis n’avaient su faire en cinq ans. Recours massif aux tortures, privation de nourriture, brimades physiques. sur ordre de Morel ou du personnel du camp les prisonniers devaient se frapper les uns les autres,
Plus d’un tiers des 5000 détenus (femmes, enfants, vieillards) de Swietochlowice-Zgoda étaient morts lorsque le camp fut fermé en novembre 1945 par le service de sécurité publique de Katowice, sur ordre du NKVD qui n’était pourtant pas composé de tendres .
Une caractéristique notable du système des camps d’après guerre est l’importance des agressions sexuelles ainsi que des humiliations et punitions sexuelles ritualisées qui étaient infligées aux détenues. Les femmes servaient de « bêtes »

Ecoutez les paroles d’un véritable survivant d’Auschwitz qui se rappelait :  » comment, face aux pires brutalités commises par les Allemands , nous nous consolions en nous disant : « seuls les Allemands sont capables de choses pareilles » pour rien au monde je ne voudrais qu’on pût parler ainsi de nous .

« Au diable les Allemands ! Pendant la guerre , ils ont décimé notre nation et maintenant, à cause d’eux, voilà qu’éclate un nouveau scandale . Que personne n’ait le recours à l’excuse selon laquelle les Allemands en ont fait autant . Soit nous sommes aptes à être leurs juges, auquel cas nous ne pouvons nous conduire comme eux, soit nous ne sommes pas différents d’eux, auquel cas nous renonçons au droit de les juger  » .

Armand Maruani

{{ {{ {{ {{( pourriture suite )

Toute cette pourriture de la rue Lauriston , les Bonny , Lafont and C° étaient des lâches , rien à voir avec la mafia traditionnelle .

Mais avec les nazis derrières et tout leur attirail ils se prenaient pour des hommes face à des personnes souvent âgées et désarmées .

Alors que si on leur mettait un calibre sur la tempe ils se seraient chier dessus .

De la pourriture :

Voilà les  » amis  » de H. Ryssen .

}} }} }} }}

Armand Maruani

{{Pourquoi ce triste sire de H. Ryssen ne parle t il pas …………..

de ce groupe qui rassemblait des membres du milieu, comme les truands Henri Lafont (leur chef) ainsi que Pierre Loutrel (alias Pierrot le fou), et d’autres ayant un passé trouble comme Pierre Bonny , qui fut révoqué de la police pour détournement de fonds et trafic d’influence qui  » travaillaient  » à la Carlingue, ……………………………………
le nom donné aux auxiliaires français de la Gestapo installés au 93, rue Lauriston dans le 16e arrondissement de Paris, et actifs entre 1941 et 1944 ?

Pour ce triste personnage il y a les  » bons  » et les mauvais  » truands « .

Les  » bons  » sont la pourriture et les collabos qui ont mangé dans la gamelle nazie et qui torturaient des Juifs pour leur voler tous leurs biens .

A gerber .}}

Armand Maruani

{{ {{ {{@GUIRAUD

{{Ce n’est pas nouveau . Déja dans les années 20 et 30 aux USA certains Juifs avaient fait parti de la mafia .
Dont pour ne citer que les principaux : Arnold Rothstein , c’est lui qui a inspiré l’écrivain F. Scott Fitzgerald pour le personnage de Meyer Wolfshiem dans « Gatsby le Magnifique » et Meyer Lansky .

A l’époque Luciano est un jeune du Lower East Side. Avec son gang de Siciliens, il taxe les Juifs qui doivent passer dans le quartier pour aller à l’école. Un Juif de 5 pieds 4 pouces ose le défier et gagne son respect. Meyer Lansky est intelligent, a la bosse des mathématiques et vient de finir sa huitième année. Il travaille dans un tripot de jeu, toujours accompagné de Benjamin «Bugsy» Siegel, nettement moins intelligent mais explosif. Il fut la tête pensante de la mafia et le  » comptable  » . Trés difficile à coincer car doué d’une intelligence remarquable et respecté de tous .
Lansky aurait aimé finir ses jours en israêl mais ce dernier sous la pression des E.U lui a refusé l’asile .

Quant à Baiza père que vous citez je l’ai trés bien connu à Tunis , il était notre boucher avenue de Paris , ainsi que ses enfants dont Khamous le petit dernier . Nous avons continuer à nous servir chez lui quand il s’était installé à Paris . Par la suite il a quitté la France pour Israêl aprés une grosse carambouille qui avait fait la une des journaux . J’avais appris à une époque que ses enfants avaient tenu le haut du pavé à Nathanya et qu’ils se sont fait  » descendre  » . Je n’en sais pas plus .}} }} }}

Comme vous dites si bien nous sommes  » un Peuple comme les autres  » .

Je rajouterai :  » Pas tout à fait quand même  » .}}

GUIRAUD

Israël Connection

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vendredi 5 avril 2013, par Jacques Benillouche
Chaque semaine, on annonce les règlements de compte entre petites mains et seconds couteaux, et parfois, des tentatives d’élimination de certains caïds.
Israël est un pays comme les autres, avec ses bandits, ses voleurs et ses génies du high-tech.
L’attentat perpétré, jeudi 10 janvier 2013, dans une rue passante en plein centre de Tel-Aviv, par un inconnu en moto qui a lancé un explosif contre les passagers d’une voiture n’a pas fait les gros titres de la presse internationale.
Pour cause, même s’il a fait neuf blessés et détruit un bus, il n’est pas lié aux attaques d’une faction terroriste palestinienne.
La cible visée, Nissim Alperon, qui a réussi à s’extraire à temps du véhicule et à disparaître avant l’arrivée de la police, est le chef de l’une des familles du crime organisé israélien.
L’homme est un rescapé : c’est le neuvième attentat auquel il réchappe.
Son frère Yaacov a eu moins de chance puisqu’il a été tué le 17 novembre 2008 dans l’explosion d’une bombe dans sa voiture, en plein centre de Tel-Aviv.
Ses funérailles, le 18 novembre 2008 à Raanana au nord de Tel-Aviv, avaient été suivies par des milliers de personnes, dont plusieurs membres connus de la pègre israélienne, dans une mise en scène rappelant « le Parrain ».
Ces deux épisodes sont des symboles de la guerre des gangs qui fait rage entre les groupes mafieux israéliens.
Chaque semaine, on annonce les règlements de compte entre petites mains et seconds couteaux, et parfois, des tentatives d’élimination de certains caïds.
Israël est un pays comme les autres, avec ses bandits, ses voleurs et ses génies du high-tech.

Forte croissance du crime
Comme partout, les gangs mafieux exploitent des casinos, clandestins en Israël et légaux à l’étranger, ainsi que d’autres formes de jeux de hasard.
Ils gèrent la prostitution, le blanchiment d’argent, le racket et les extorsions de fonds, le prêt usuraire, la drogue et le trafic d’armes, le recel de biens volés, la contrebande des diamants…
L’arrivée massive des juifs d’ex-URSS à partir de 1989 a drainé de nombreux mafieux russes dans le pays, qui ont vu Israël comme un endroit idéal pour blanchir de l’argent grâce à la libre circulation des capitaux et à un système bancaire favorable aux nouveaux immigrants juifs exemptés de taxes.
Le crime organisé russe s’est donc cherché une place dans un environnement déjà encombré par les Israéliens « de souche » et les juifs d’Afrique du nord arrivés après l’indépendance d’Israël dans les années 1955-62 de Tunisie et du Maroc en particulier.
Il a été l’occasion d’une guerre de gangs qui a éliminé beaucoup de mafieux délogés par les nouveaux venus.
Ses développements en multinationales axées surtout vers les Etats-Unis et l’Europe ont été considérés comme suffisamment préoccupants pour faire l’objet de câbles diplomatiques.
WikiLeaks ainsi a révélé que l’ambassadeur américain à Tel-Aviv James Cunningham avait adressé en 2009 un câble au FBI et au département d’Etat pour les informer que de nombreux agents des familles étaient détenteurs de passeports étrangers, non israéliens, leur permettant de se déplacer librement, sans visa, vers les Etats-Unis.
Il a constaté que les tentatives de l’ambassade pour empêcher ces suspects, délégués par les chefs mafieux pour agir en leur nom à l’étranger, n’ont pas été couronnées de succès.
Il a demandé aux autorités américaines d’exiger une limitation des déplacements de ces suspects un fois arrivés aux Etats-Unis.
Il y expliquait que « le crime organisé avait des racines de longue date en Israël, mais que ces dernières années il y a eu une forte augmentation de la portée et l’impact des réseaux de ce crime ».
James Cunningham avait été impressionné par l’audace des assassins qui avaient abattu Yaakov Alperon à quelques centaines de mètres de son ambassade.
Ces groupes criminels n’hésitaient pas à user de tous les moyens pour parvenir à leurs fins, même s’ils devaient faire des victimes collatérales parmi des innocents, comme cette femme de 31 ans tuée par une balle perdue à la plage de Bat-Yam, mitoyenne de la ville de Jaffa.
On croirait revivre l’épopée des gangsters de Chicago qui ne reculaient devant rien parce que les tribunaux « semblent incapables de faire face à l’ampleur du problème », selon le rapport de James Cunningham.

Six familles
En Israël, six familles règnent sur les syndicats du crime.
Les plus connues ont fait les manchettes des grands journaux : Abergel, Abitbol, Alperon et Rosenstein.
La famille Abitbol, plus connue sous le surnom du grand-père Baïza, est francophone et disposait de nombreuses boucheries casher de gros et de détail à Paris, avant de s’installer définitivement à Netanya et à Montréal.
Elle a été pratiquement décimée par les assassinats et neutralisée par les emprisonnements de longue durée.
Mais les éliminations ont créé un vide, vite comblé par des nouveaux venus qui ont cherché, souvent par la violence et le meurtre, à s’imposer en successeurs.
Les clans Mulner, Shirazi, Cohen, Harari, Ohana, Kdoshim et Domrani sont donc entrés dans le monde du crime à l’occasion de règlements de compte sanglants.
Ainsi François Abitbol, 45 ans, réputé pour être l’un des patrons de la mafia en Israël, avait été abattu en juillet 2011 dans sa voiture, au moment où il faisait le plein à une station-service, près de la ville de Netanya où il résidait.
Son père, Félix, avait été assassiné en 2002 par un rival à l’intérieur du casino de Prague que sa famille contrôlait.
Son frère, Assi, est en sécurité en prison où il purge une longue peine pour blanchiment d’argent et pour appartenance à une organisation criminelle.
Les arabes commencent à s’imposer aussi dans leurs quartiers, Adjami à Jaffa par exemple qui a d’ailleurs fait l’objet d’un film éponyme réaliste et violent.
Ils étaient aussi les grands pourvoyeurs de prostituées en provenance de l’Est qui étaient acheminées, avec la complicité des bédouins du Sinaï, à travers la frontière égyptienne dans des conditions d’inhumanité dramatiques.
La barrière de sécurité érigée contre les terroristes islamistes et les clandestins africains risque de tarir la source de l’Est.
En s’inspirant des méthodes américaines, la mafia israélienne est arrivée à corrompre des personnalités politiques ou du showbiz.
L’ancien ministre de l’Energie Gonen Segev a ainsi été arrêté en tentant d’introduire en Israël des milliers de pilules d’ecstasy.
Depuis le rapport de leur ambassadeur, les Américains suivent de près les activités aux Etats-Unis des membres liés au grand banditisme et Israël n’hésite plus à extrader ses ressortissants membres du syndicat du crime.
Zeev Rosenstein a été extradé aux Etats-Unis en 2006 pour y être condamné à douze ans de prison.
Yitzik et Meir Abergel ont été extradés en janvier 2011 avec trois autres suspects accusés d’assassinat, de détournement de fonds et de racket à Los Angeles.
Les sommes générées par le crime en Israël, avec ses ramifications à l’étranger, sont tellement importantes que les convoitises se font de plus en plus visibles.
Les méthodes expéditives deviennent courantes pour éliminer les concurrents, avec tous les risques pour la population des villes.
Mais, autant la police est efficace dans le combat contre le terrorisme palestinien, autant elle semble désarmée face à un crime structuré militairement, peut-être trop enraciné dans la population juive.
Jacques Benillouche/Slate.fr
TAGS : Criminalité Maffia Israel Abitbol Rozenstein Sinaï Ajami
Abergel Shirazi

GUIRAUD

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vendredi 5 avril 2013, par Jacques Benillouche
Chaque semaine, on annonce les règlements de compte entre petites mains et seconds couteaux, et parfois, des tentatives d’élimination de certains caïds.
Israël est un pays comme les autres, avec ses bandits, ses voleurs et ses génies du high-tech.
L’attentat perpétré, jeudi 10 janvier 2013, dans une rue passante en plein centre de Tel-Aviv, par un inconnu en moto qui a lancé un explosif contre les passagers d’une voiture n’a pas fait les gros titres de la presse internationale.
Pour cause, même s’il a fait neuf blessés et détruit un bus, il n’est pas lié aux attaques d’une faction terroriste palestinienne.
La cible visée, Nissim Alperon, qui a réussi à s’extraire à temps du véhicule et à disparaître avant l’arrivée de la police, est le chef de l’une des familles du crime organisé israélien.
L’homme est un rescapé : c’est le neuvième attentat auquel il réchappe.
Son frère Yaacov a eu moins de chance puisqu’il a été tué le 17 novembre 2008 dans l’explosion d’une bombe dans sa voiture, en plein centre de Tel-Aviv.
Ses funérailles, le 18 novembre 2008 à Raanana au nord de Tel-Aviv, avaient été suivies par des milliers de personnes, dont plusieurs membres connus de la pègre israélienne, dans une mise en scène rappelant « le Parrain ».
Ces deux épisodes sont des symboles de la guerre des gangs qui fait rage entre les groupes mafieux israéliens.
Chaque semaine, on annonce les règlements de compte entre petites mains et seconds couteaux, et parfois, des tentatives d’élimination de certains caïds.
Israël est un pays comme les autres, avec ses bandits, ses voleurs et ses génies du high-tech.

Tobar

Il faut que l’on commence a se regrouper comme avant par quartier ou par ville même, pour faire la peau a ces petites racailles ss. Quand a ce ryssen il faut le tondre au chalumeau et le gazer ça le rapprochera davantage de ses idées de race supérieurement pourrie.

meller1

jettez ce type a la poubelle pour que les rats le bouffent

Armand Maruani

{{Les affiches collées sur les murs de Paris sont inspirées de son site nauséabond de nazillon qu’il est .

Une poubelle pour malades mentaux et nostalgiques du 3ième Reich ou
Internet contaminé par le virus de la pourriture .

http://herveryssen.over-blog.com/}}