(Vidéo ) Depuis des millénaires, le Judaïsme prescrit et applique des règles éthiques pour éviter toute souffrance animale et assurer une traçabilité totale de l’alimentation casher. (Joël Mergui, Président du Consistoire Central).

Document édité par le Consistoire et l’Association B’nai B’rith Hatikva

– Avertissement : ce document relève des missions essentielles et permanentes du Consistoire Central et la Loge Hatikva du Bnaï B’rith, à titre associatif, n’est pas partie prenante de l’actuelle campagne électorale pour le Consistoire de Paris –

Depuis 200 ans, le Consistoire défend la liberté religieuse des Juifs de pouvoir librement exercer leur culte en France au rang duquel figure, bien entendu, la possibilité de manger casher.

Quelles que soient les raisons qui incitent aujourd’hui à vouloir interdire ou limiter des pratiques millénaires du culte juif, il faut avoir à l’esprit que ce qui porte atteinte à un culte porte atteinte à tous les cultes, et par conséquent au principe même de liberté fondamentale qui, si elle ne vaut pour tous, ne vaut pour personne.

Joël Mergui, Président du Consistoire

Si l’on veut véritablement donner des informations aux consommateurs sur le bien-être animal, il faut réfléchir à l’ensemble des étapes qui ont conduit la viande dans notre assiette, et pas seulement à celle de l’abattage.

Bruno Fiszon, Grand Rabbin de Moselle,
Vétérinaire, Membre de l’Académie Vétérinaire de France

On peut espérer qu’une véritable information sur la shehita soit faite. De nombreux consommateurs soucieux du bien-être animal choisiraient alors de consommer de la viande casher.

Alexandre Feigenbaum, Directeur de Recherche, Co-Président de B’nai B’rith Hatikva

1/ Le refus de la souffrance animale :
un principe éthique et une loi juive

Le respect des animaux pendant leur vie et jusqu’à leur mort est un principe constant de la Torah.

La Loi juive impose de respecter et de bien traiter les animaux au point par exemple que leurs propriétaires sont obligés de les nourrir avant de prendre leur propre repas (Talmud Guitine 62a) et que les bêtes de labeur ont droit elles aussi au repos hebdomadaire (Exode XX,10).

La Torah interdit de façon très explicite les mauvais traitements sur les animaux. La chasse, les combats d’animaux sont donc prohibés. Il est aussi proscrit de museler un bœuf et de l’empêcher de se nourrir pendant son travail aux champs (Deutéronome XXV,4).

2/ L’abattage par saignée directe, conçu selon la loi juive
pour limiter la souffrance et le stress des animaux

La consommation de viande étant liée à la mort d’un animal, elle n’est pas anodine et à ce titre la loi juive l’encadre par des règles très rigoureuses. Pendant des siècles, seule la méthode juive, d’abattage par saignée directe, appelée shehita, avait pour but explicite de limiter la douleur et le stress des animaux avant et pendant l’abattage.

Il est arrivé à chacun de nous de se blesser avec une lame très tranchante. La douleur n’est alors ressentie que plus tard. C’est exactement ce principe qu’utilise la shehita, avec un cahier des charges très précis 1″>Article original appliqué avec rigueur. L’incision de la gorge de l’animal est effectuée très rapidement, avec un couteau extrêmement tranchant et sans le moindre défaut, pour atteindre une précision chirurgicale.

La section des artères carotides et des veines jugulaires entraîne aussitôt une hémorragie rapide et massive. Le cerveau n’étant alors plus alimenté en sang et en oxygène, l’animal perd très rapidement conscience sans avoir eu le temps de ressentir de la douleur. Selon le Professeur Temple Grandin de l’Université du Colorado, spécialiste internationale de zootechnie et militante active pour le bien-être des animaux, l’animal ne réalise même pas que sa gorge a été tranchée : « lorsque l’incision est pratiquée correctement, l’animal semble ne pas la ressentir » 2″>Article original.

Lors d’un abattage par saignée directe, si l’observateur peut être impressionné par des mouvements de pattes et par une respiration accélérée de l’animal, il ne s’agit en fait que de mouvements réflexes. Ce ne sont nullement des signes de douleur ou de conscience.

Un cahier des charges rigoureux garantit la méthode d’abattage selon la tradition juive :

(1) Les opérateurs sont des techniciens hautement qualifiés qui doivent avoir suivi une formation complète de trois ans. Un examen final valide à la fois leurs connaissances, leurs compétences pratiques et leurs qualités morales.

(2) S’il y a la moindre déviation par rapport au cahier des charges, l’animal abattu n’est pas considéré comme casher : il est inapte à la consommation selon la loi juive. Il y a par conséquent nécessité à suivre rigoureusement les règles.

Au cours du 20ème siècle, d’autres méthodes ont été mises en place dans les abattoirs pour tenter, elles aussi, de minimiser douleur et stress. Mais sont-elles meilleures ? En 2009, un groupe de chercheurs néozélandais avait conclu que l’égorgement des animaux provoquait une souffrance accrue. A la suite de ces travaux, certains gouvernements ont limité voire interdit l’abattage par saignée directe. Or, le Pr Grandin, spécialiste de renommée mondiale, a prouvé que ces chercheurs néozélandais n’avaient pas suivi le cahier des charges rigoureux de la shehita : par exemple, le couteau qu’ils avaient utilisé aurait été interdit pour la shehita ; il était trop court et insuffisamment affuté. Les conclusions néozélandaises ne peuvent donc pas s’appliquer à l’abattage selon le rite juif 3″>Article original.

3 / La shehita, une méthode encadrée par la loi,
comme toutes les autres

Les législations françaises (Code Rural art 214-70 4″>Article original) et européennes (Règlement 1099/2009 5″>Article original) prévoient un « étourdissement » préalable des animaux destinés à l’abattage. Des dérogations sont acceptées pour les abattages dits « rituels ».

La Cour Européenne des Droits de l’Homme considère dans son arrêt du 27 juin 2000 que « cette dérogation constitue un engagement visant à assurer le respect effectif de la liberté de culte ».

Le Conseil d’État statuant au contentieux (séance du 12 juin 2013) sur une requête de l’OABA souligne que : « la dérogation ainsi encadrée ne peut davantage être regardée comme autorisant « un mauvais traitement » au sens de l’article L. 214-3 du code rural et de la pêche maritime.

Considérant que la disposition contestée a été édictée dans le but de concilier les objectifs de police sanitaire et l’égal respect des croyances et traditions religieuses ; que, s’il résulte du principe de laïcité que celui-ci impose l’égalité de tous les citoyens devant la loi sans distinction de religion et le respect de toutes les croyances, ce même principe impose que la République garantisse le libre exercice des cultes ; que, par suite, la possibilité de déroger à l’obligation d’étourdissement pour la pratique de l’abattage rituel ne porte pas atteinte au principe de laïcité. »

L’encadrement législatif s’est considérablement renforcé ces dernières années. Citons en particulier le décret ministériel du 29/12/2011 assujettissant l’abattage religieux « aux commandes commerciales qui le nécessitent » et soumet tous les opérateurs d’abattage, quel que soit leur mode opératoire à une formation particulière sur le « bien-être » des animaux avant et pendant leur mise à mort.

4/ Les méthodes conventionnelles avec étourdissement

Les méthodes prévoyant un « étourdissement » préalable des animaux visent, elles aussi, à leur manière, à minimiser la souffrance et le stress des animaux avant leur mise à mort. L’étourdissement est prévu pour tenter d’insensibiliser l’animal 6″>Article original qui est ensuite aussitôt égorgé et saigné, comme dans un abattage dans le cadre religieux.

En France l’étourdissement a été introduit dans les abattoirs de Paris en 1942. Aujourd’hui, trois méthodes dites conventionnelles sont pratiquées en Europe :

• les bovins sont étourdis à l’aide d’un pistolet avec tige perforant la boîte crânienne ;

• les ovins et les volailles sont étourdis par une décharge électrique ;

• les porcs sont gazés au dioxyde de carbone.

Mais les échecs des méthodes d’étourdissement sont hélas nombreux et dramatiques. Le rapport de l’INRA sur le bien-être animal fait le point sur ces échecs :

• de 2 à 54 % chez les ovins

• de 6 à 16 % chez les bovins.

Ces animaux, mal ou pas étourdis, entrent directement, encore conscients, dans la chaîne de production, où ils sont saignés sans précaution particulière. Par conséquent, ces animaux subissent une double souffrance : celle de leur étourdissement (jamais mesurée), et celle de leur saignée. Leur agonie peut alors être atroce.

5/ Comparaison des méthodes d’abattage

Un rapport de l’ANSES, publié en juillet 2013, est sévère pour les abattages avec saignée directe et conclut que « l’étourdissement avant l’égorgement reste la méthode minimisant les douleurs » (page 14) 7″>Article original.

Pourtant, on note de nombreuses contradictions dans le rapport. Page 6, on apprend qu’ « il n’existe pas en France de mesure des taux d’échec des étourdissements » ; page 10, que « les passages à l’inconscience et à la mort restent des étapes difficiles à définir de façon précise au plan scientifique ». En outre, le rapport de l’ANSES s’appuie largement sur les travaux du Professeur Temple Grandin, spécialiste internationalement reconnue du bien être animal, citée 59 fois (contre 1 ou 2 fois pour les autres scientifiques). Pourtant ses conclusions sur l’abattage selon des rites religieux sont opposées à l’avis du Professeur Grandin (voir §2 ci-dessus).

En réalité les scientifiques manquent d’éléments pour apprécier l’inconscience et la mort en abattoir et donc pour conclure à la supériorité de l’étourdissement. De telles interrogations ont également été exprimées par le Professeur Le Neindre devant la commission d’enquête sénatoriale sur la filière viande en juillet 2013 8″>Article original. Voir aussi l’encadré ci-dessous.

Le geste de la shehita, exécuté dans les règles de l’art, entraîne une insensibilisation rapide dans la grande majorité des cas. Le rapport de l’INRA mentionne un taux d’échec pour tous les rites religieux confondus de 17% et n’indique pas de chiffres spécifiques pour le rite juif 2″>Article original.

Destinée à l’alimentation de moins de 1% de la population française, la shehita n’est pratiquée que sur un petit nombre d’animaux, peu susceptible d’influencer les statistiques globales. Mais grâce à son cahier des charges rigoureux et à la formation contrôlée de ses abatteurs, le taux d’échecs dans le casher est certainement très inférieur à 17 %. Depuis des siècles, même lorsqu’il n’existait rien ailleurs, la formation des abatteurs casher a toujours visé à minimiser la souffrance de l’animal.

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« Les avis des physiologistes et des vétérinaires sont fréquemment sollicités par les partisans et les adversaires des abattages rituels. Il leur est demandé de se prononcer sur le « vécu » des animaux de boucherie en fonction des différents modes d’abattage. Chacune des parties espère trouver parmi ces avis un argument définitif. Or, les possibilités d’expertise scientifique sont très limitées en ce domaine.

Ainsi, lorsque les animaux arrivent à l’abattoir leur état de stress est tel qu’ils éliminent d’emblée tout recours aux marqueurs biologiques de la douleur. Ne demeurent, alors, que deux espoirs d’évaluation objective du « vécu » des animaux : soit interroger directement l’activité électrique de leur cerveau par électroencéphalographie, soit observer leurs réactions en tentant, dans les deux cas, de les corréler à un état de conscience. L’approche électroencéphalographique se révèle peu utile, même avec d’importants moyens techniques…. Dans le cadre de la seconde approche, il faudrait pouvoir interpréter objectivement les réactions qui précèdent la mort des animaux en les associant à l’évolution de leur état de conscience. A cette fin, il est souvent proposé d’assimiler ces réactions à celles constatées lors de la perte de conscience après administration d’un anesthésique. Ce modèle, a priori satisfaisant, est malheureusement dénué de certitudes physiologiques. L’anesthésie intoxique de façon réversible le cerveau, alors que la jugulation le prive définitivement de ses deux principales ressources métaboliques : l’oxygène et le sucre.

Les deux approches envisagées pour évaluer le « vécu » des animaux lors de leur abattage se révèlent donc sans issue immédiate. Encore trop incertaines dans leurs aspects fondamentaux et de mises en œuvre souvent délicates, elles n’ont fourni que quelques données controversées. Elles ne peuvent, aujourd’hui, garantir une solution objective, fiable et reconnue par tous, à l’évaluation du « vécu » des animaux abattus, soit après étourdissement, soit sans étourdissement préalable. L’état actuel des connaissances en éthologie et psychophysiologie des animaux ne permet pas de trancher scientifiquement ce problème de société. »

Professeur Claude Milhaud, Président de la Commission « Relations Homme-Animaux » de l’Académie Vétérinaire de France, 5 novembre 2013, au Sénat (réunion organisée par Mme Lynda Asmani)

————————————

6/ Une qualité sanitaire optimisée
lors de l’abattage avec saignée directe

En dépit des campagnes de dénigrement, il faut savoir et faire savoir que la qualité sanitaire de la viande produite par shehita est identique aux autres viandes et subit les mêmes contrôles.

Au contraire, lors de la crise de la vache folle, la shehita a apporté une protection supplémentaire au consommateur de viande bovine. En effet le prion pathogène n’est présent que dans le système nerveux.

Or le pistolet à tige perforante utilisé pour l’étourdissement (méthode conventionnelle) est introduit dans la matière cérébrale et peut disséminer l’agent pathogène sur d’autres organes, qui sont alors contaminés. Ce risque évidement n’existe pas avec la shehita, puisque le système nerveux reste intact.

Les détracteurs de la shehita prétendent que la viande serait contaminée suite à une remontée de matières alimentaires provenant du rumen (un des quatre estomacs chez les ruminants). En fait un tel épisode est très rare. Et même s’il survient, il n’a aucune influence sur la qualité de la viande casher : en effet une large zone incluant toutes les parties comestibles autour de la section est systématiquement découpée et éliminée.

De plus, dans un avenir proche, pour empêcher totalement toute remontée, il est prévu que l’œsophage soit immédiatement fermé par un anneau.

7/ Pour une juste information de tous les consommateurs

Certains préconisent aujourd’hui une information sur le mode d’abattage limitée aux modes rituels. Ceci serait stigmatisant et porterait atteinte à la liberté de culte. En outre cela nuirait à une information authentique du consommateur. S’il devenait obligatoire demain de mentionner la méthode d’abattage employée, il faudrait alors communiquer une information complète et véritable. Celle-ci devrait renseigner les consommateurs sur les avantages et les inconvénients de toutes les techniques, sur leur mode opératoire et sur le nombre d’échecs rencontrés avant la perte de conscience effective. Les consommateurs devraient être informés également sur la provenance et la qualité de la viande qu’ils achètent, ainsi que sur les conditions d’élevage et de transport des animaux. 10″>Article original

En 2013, au Royaume Uni, lors de la crise de la viande de cheval introduite frauduleusement dans des aliments, de nombreux consommateurs de toutes confessions ont acheté de la viande casher par mesure de précaution. Ces consommateurs ont fait confiance à la traçabilité de la viande casher et à la shehita, optimisée pour limiter la souffrance et le stress des animaux abattus. La confiance des consommateurs et leur conscience seraient-elles si différentes en France, le pays des Droits de l’Homme et de la promotion des libertés fondamentales ?

Bibliographie

1″>Article original DIALREL reports 2.4, octobre 2010 : améliorer le bien-être animal pendant un abattage selon des rites religieux (en anglais) http://issuu.com/florencebergeaud-blackler/docs/dialrel-recommandations-final-edited?viewMode=magazine&mode=embed Article original

2″>Article original Temple Grandin, « Recommandations pour des abattages selon des rites religieux », http://www.grandin.com/ritual/rec.ritual.slaughter.html et http://en.wikipedia.org/wiki/Shechita Article original

3″>Article original Temple Grandin, février 2010: Recherches sur la souffrance lors d’un abattage casher ou halal (en anglais)
http://www.grandin.com/ritual/slaughter.without.stunning.causes.pain.html Article original

4″>Article original Code Rural et de la Pêche maritime, Partie règlementaire, Chapitre IV, section 4 : l’abattage http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000025078770&cidTexte=LEGITEXT000006071367 Article original

5″>Article original Règlement (CE) n°1099/2009 du Conseil du 24 septembre 2009 sur la protection des animaux au moment de leur mise à mort. JO L 303 du 18.11.2009, http://europa.eu/legislation_summaries/food_safety/animal_welfare/sa0002_fr.htm Article original
6″>Article original Manipulations avant l’abattage, méthodes d’étourdissement et d’abattage ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/009/y5454f/y5454f07.pdf Article original

7″>Article original ANSES, Agence Nationale de Sécurité Sanitaire, juillet 2013: Évaluation du Guide de bonnes pratiques d’abattage des bovins en matière de protection animale, rapport d’expertise collective
http://www.anses.fr/sites/default/files/documents/SANT2012sa0231Ra.pdf Article original

8″>Article original Traçabilité, compétitivité, durabilité : trois défis pour redresser la filière viande, Rapport d’information de Mme Sylvie Goy-Chavent, au nom de la mission commune d’information sur la filière viande, n° 784 tome II, 17 juillet 2013. Audition de M. Pierre Le Neindre, ancien chercheur.

9″>Article original INRA 2009 : Douleurs animales, Synthèse du Rapport d’expertise pp 74 et 75

10″>Article original Intervention du Grand Rabbin Fiszon, 5 novembre 2013, réunion organisée par Lynda Asmani au Sénat, http://www.youtube.com/watch?v=sxJEkTyPHP4&feature=yout Article original

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MarcBRZ

Le problème que vous refusez de voir c’est que les critiques des aléas de l’étourdissement sont mentionnés par d’autres vétérinaires, Juifs ou non, dans des proportions bien plus considérables que l’abattage par saignée.

Mais quand quelqu’un suit une ligne bien définie, programmée, moutonnière, il devient évident qu’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut ni lire ni entendre.

Bonnes oeillères et ne quittez pas ligne, vous tenez le bon bout, la sortie du tunnel de « l’obscurantisme » casher est pour bientôt. Et le Judaïsme ne vous em-bêtera bientôt plus! On ne prêche pas à un convaincu. Et d’ailleurs, on ne fait pas de prosélytisme, contrairement à vous, monsieur Normal 2.

Jean

J’ai toujours appris ,en tant que juif, que les règles d’abattage de la Shrita répondaient à un critère : ne pas faire souffrir l’animal comme si les concepteurs de la loi étaient parvenus ,dans leur sagesse très juive, à l’idée que si on se permet d’autorité ,parce qu’on est LE PLUS FORT, de façon arbitraire ,de supprimer la vie d’un être vivant, en l’occurrence animal ,

On ne pouvait EN PLUS lui occasionner la moindre souffrance .

Or qui est autorisé à parler de souffrance , de façon plus crédible que d’autres sinon la profession des vétérinaires ,les gens les plus proches des animaux , puisque leur vocation est quand même de les soigner ?

Or ces gens disent :

« Du point de vue de la protection des animaux et par respect pour l’animal en tant qu’être sensible, la pratique consistant à abattre les animaux sans étourdissement préalable est inacceptable, quelles que soient les circonstances ».

Le fait que le conseil de l’ordre ait été mis en place par Vichy ne suffit pas à le mettre en cause car dans ce cas , il faudrait mettre en cause tous les conseils de l’ordre , à commencer par celui des médecins .

Certes , on peut comprendre , et admettre pour différentes raisons , que la bête soit saignée , vidée de son sang ; mais

1°)Inutile de lui sectionner à vif, la tête , ce que font de façon barbare les musulmans (en plus lors de fêtes en présence de jeunes enfants …..)

2°)Il est possible de la saigner après l’avoir abattue de la façon la « plus légère  » la plus « humaine  » comme cela se pratique , en principe, dans les abattoirs européens par TOUT MOYEN pour l’étourdir avant bien sûr , que ce soit par l’usage d’une tige ou de tout accessoire possible .

Il est bien sûr cynique de dire que… la bête ne pourrait pas mourir par l’effet… d’une caresse.

Et le fait , par ailleurs qu’on fasse souffrir des bêtes, qu’on les chasse, qu’il y ait des corridas ou des combats de coqs ,ne peut pas servir d’argument pour laisser perdurer ces pratiques quand même barbares car ,en tant que juifs, nous devons rejeter la rhétorique et le sophisme qui sont un déni de l’esprit du Judaïsme

Brigitte.flochlay

Cher Monsieur Jean, vous avez tout dit, espérons une évolution. J’en profite vous dire que je vous lis beaucoup sur JFORUM et apprécie vos réflexions et commentaires sur d’autres sujet. Bravo à vous pour votre courage et votre grand talent.

Armand Maruani

{{Je suis certain que même le cochon préfère mourir Casher , il souffrirait moins .}}

{{Peut être faudrait il lui raconter une histoire ou lui chanter :  » une chanson douce  » d’Henri Salvador, pour qu’il puisse s’endormir ……….. …………… définitivement .}}

{{Une chose est sûre Hitler ne mangeait pas Casher , il aimait le porc , on a vu les résultats .}}
{{Par la suite il ne refusait pas le Hallal . Surtout aprés avoir serré la main d’El Husseini le mufti de Jérusalem .}}

{{Maintenant on attaque les Juifs à travers le Cacher . Ils ont attendu 5000 ans pour nous la sortir celle la .}}

Jean

J’ai toujours appris ,en tant que juif, que les règles d’abattage de la Shrita répondaient à un critère : ne pas faire souffrir l’animal comme si les concepteurs de la loi étaient parvenus ,dans leur sagesse très juive, à l’idée que si on se permet d’autorité ,parce qu’on est LE PLUS FORT, de façon arbitraire ,de supprimer la vie d’un être vivant, en l’occurrence animal ,

On ne pouvait EN PLUS lui occasionner la moindre souffrance .

Or qui est autorisé à parler de souffrance , de façon plus crédible que d’autres sinon la profession des vétérinaires ,les gens les plus proches des animaux , puisque leur vocation est quand même de les soigner ?

Or ces gens disent :

« Du point de vue de la protection des animaux et par respect pour l’animal en tant qu’être sensible, la pratique consistant à abattre les animaux sans étourdissement préalable est inacceptable, quelles que soient les circonstances ».

Le fait que le conseil de l’ordre ait été mis en place par Vichy ne suffit pas à le mettre en cause car dans ce cas , il faudrait mettre en cause tous les conseils de l’ordre , à commencer par celui des médecins; et puis si gens forment une corporation liée à des intérêts privés ,ils ont , tout de même , plus d’autorité sur le sujet de la souffrance animale qu’une autre corporation , elle aussi ,peut être liée à des intérêts privés et commerciaux , celle des rabbins . Ne le voyons nous pas avec les prix élevés des produits et des vins cacher refoulant certains Juifs bien intentionnés de la sphère des magasins cacher ? Ce niveau des prix , telle une statue en marbre , ne bougera pas avec l’indifférence des….. rabbins traditionalistes ou orthodoxes se querellant parfois sur le sexe des anges alors que certains des nôtres , pour différentes raisons , fuient les milieux juifs et brisent cette indispensable unité des Bne Israel

Revenons au sujet central : Certes , on peut comprendre , et admettre pour différentes raisons , que la bête soit saignée , vidée de son sang ; mais

1°)Inutile de lui sectionner à vif, la tête , ce que font de façon barbare les musulmans (en plus lors de fêtes en présence de jeunes enfants …..)

2°)Il est possible de la saigner après l’avoir abattue de la façon la « plus légère  » la plus « humaine  » comme cela se pratique , en principe, dans les abattoirs européens par TOUT MOYEN pour l’étourdir avant bien sûr , que ce soit par l’usage d’une tige ou de tout accessoire possible .

Il est bien sûr cynique de dire que… la bête ne pourrait pas mourir par l’effet… d’une caresse.

Et le fait , par ailleurs qu’on fasse souffrir des bêtes, qu’on les chasse, qu’il y ait des corridas ou des combats de coqs ,ne peut pas servir d’argument pour laisser perdurer ces pratiques quand même barbares car ,en tant que juifs, nous devons rejeter la rhétorique et le sophisme qui sont un déni de l’esprit du Judaïsme

Brigitte.flochlay

Et lorsque l’on enlève un petit veau à sa mère, pensez vous que l’animal ne souffre pas ? et l’appréhension de l’animal avant la mise à mort, il n’y a pas de souffrance non plus ?

Ratfucker

Interdit pour les Catholiques de manger du sang? Le boudin, on ne connaît sans doute pas, au fond de votre banquise. Quant à faire de la psychologie vétérinaire en citant la fabrication du foie gras comme référence de la souffrance animale, avez-vous interrogé une oie ou un canard allongés sur votre canapé? Certainement pas, car ils vous auraient répondu que tous les oiseaux migrateurs stockent de l’énergie sous forme de graisse dans leur foie avant d’entreprendre leur voyage de 10.000km sans ravitaillement, et dans la nature, se gavent volontairement. C’est comme si vous évoquiez la souffrance des poules lorsqu’on arrache à leur instinct maternel les oeufs qu’elle viennent de pondre.

Rail

C’est une manière détournée pour s’attaquer au judaïsme , les juifs le savent tous , nous connaissons les pratiques faites par certains , il ne faut rien céder ils peuvent faire leur pseudos discours pour justifier le fait de vouloir interdire , ces goys ( certains sont des vrais antisémites ) parce qu’ils n’acceptent pas les autres religions , une forte concurrence et ça depuis des siècles , l’ignorance est toujours très active .

Donc pour reconfirmer les choses de mon point de vu , la souffrance animal dans la pratique juive n’existe pas , leur argumentation est le reflet de leur méconnaissance sur le judaïsme en général !

Restons souder la loi juive vient directement de HACHEM pas des hommes que cela en déplaise à certains , je suis croyante et je sais pourquoi je suis juive et eux savent -ils vraiment où est leur foi ? La foi appelle à la tolérance des autres et à la diversité religieuse , et non des michougas qui pensent détenir la vérité , ceux sont les tyrans qui sont ainsi , l’histoire est là pour nous le rappeler , quand des individus veulent et croient avoir la bonne parole , la bonne croyance etc.. l’ignorance est bien trop active . Enfin on ne peut pas dire aux fous de réfléchir , parce que pour avoir du bon sens , il faut de la raison qui amène à l’intelligence et la réflexion .

Gerard.marx123

La personne qui salue ce  » remarquable travail » sans en indiquer la date aurait pu préciser qu’il s’agit d’un travail remontant à 1995 !
Cette personne ignore-t-elle que le B’nai B’rith France n’est plus partenaire de l’ADL depuis des années.

Mais cela ne ferait-il pas partie d’un argumentaire destiné à valoriser à peu de frais un candidat aux élections du consistoire ? peut-être y a-t-il un lien avec la photo qui précède l’article ? je n’en sais rien.
Une nouvelle étude qui vient d’être terminée, avec des avis autorisés de personnalités vétérinaires, sera mise en ligne demain

Guylaine

Et J’oublias que ce que on donne aux animaux à manger c’est du sang séché avec autres chimiques. Ce que vous ne pouvez pas manger. Juifs, Musulmans ou catolique c’est interdit de manger du sang. (surtout pour les catholiques les viandes vidées de leur sang et sacrifier à une idole est interdit)

Les musulmans qui eux ne veulent plus en manger aussi a cause de leur religion qui interdit cette méthode car c’est illicite. Ils n’ont pas droi au troupeau et ne veulent pas consommer des viandes qui sont de la Charogne ! Alors si l’animal est étroudit et meurt, combien de seconde un animal est délcaré charogne ?

Faut quand même pas rire de nous.

Les Indsutriels le savent (les industriels Juifs en passant) le Vrai débat ici c’est pourquoi on nous bourre de mensonges. Nous refuserons de conscommer des viandes qui sont infectés. Et nous allons y voir.

Ignorer que les gens sont de plus en plus informé aussi est une erreur de votre part.

G.

Guylaine

Bonjour,

Je vous écris de Montréal.

Mon mari est Juif et nous sommes marié depuis plus de 30 ans. Je vie dans la communauté Juive, je fais du bénévolat et autres… Nous partageons des moments de plaisirs tous ensemble et nous nous parlons.

J’ai plusiers amies Juives et des amis Juifs qui sont contre les abattages lorsque l’animal n’est pas étourdit. Nous avons discuter et on en a conclus que le monde peuvent manger selon leur rituel mais que les aniamux ont des droits. La terre a des droits et personne n’est au dessus des animaux. Nous sommes conscient du problème mais nous vous demandons pourquoi d’une part vous vous battez pour en pas avoir d’Oies qui sont Gavées et que vous refuser de prendre des produits dont les aniamaux ont été testés avec des produits chimique.

Je tiens a vous rappeller que c’est une contradiction entre nous.

Nous devons et c’est un devoir RESPECTER les ANIAMUX. Nous avons autant de scientifiques pour prouver que les animaux souffrent.

Tout ce que je peux constater avec désolation c’est l’acharnement avec la quelle les industriels autant HALAL que KASHER peuvent faire del’argent sur le dos des animaux.

Nous au Québec, nous désirons savoir ce que nous avons dans notre assiète car nous ne voulons pas de cette viande (autant que ces interdits dans les religions a propos de l’idolâtrie ) car égorger et faire un sacrifice c’est en réalité une Idolâtrie évidemment.

Ces viandes qui se retrouvent dans le circuit des abattages et vendus a des bouchers qui eux se fichent de la provenance et qui paye moins cher a cause du coût qui reviens moins cher. (ça coûte moins cher aux non croyants hein ? mais cher si le Rabbin bénis la viande) et parlant de cette Taxe religieuse qui est imposée a tout le reste de la population.

Pouvez vous m’expliquer en quoi nous sommes obligé de payer cette redevance$$ et fiancer les lieux de cultes des autres religions, Parce que les industriels Juifs, font le Halal aussi.

Les Industriels qui se croît au dessus de la science tout commes ceux comme on peut lire ici., qui se disent détenir la vérité ? Nous savons que les animaux souffrent énormément.

Nous avons le droit de REFUSER ces viandes religieuses, même si mon mari est Juif, il est contre ces méthodes qui font souffrir un animal. de plus qu’il refuse de payer une taxe HALAL, c’est comme financer le Hamas ou le Hezbollah.

Cessez de nous tirez dans le pied , financer le Halal c’est cela ( et les mosquées ) Jamais que on veut cela.

Lorsque on voit les animaux en souffrance et faire semblant ou dire que non c’est innacceptable !

Nous sommes en 2013 et nous évoluons.

Étrourdir les animaux c’est le seul moyen pour les empêcher de sentir la douleur, que vous aimiex ça ou pas. Nous avons des lois et on va y voir ici au Québec.

Bien a vous !

G.

Ratfucker

Les clowneries des « amis des animaux »(qui par une proximité inattendue sont aussi des « amis de la Palestine ») représentés par la sénatrice Goy Chavent, s’en prennent à l’abattage casher, mais pas à l’abattage halal, on se demande bien pourquoi. Serait-ce la crainte d’attaquer de front le lobby de la viande, qui exporte 25% des carcasses abattues en France vers les pays musulmans?

Quant à la supposée souffrance des animaux, se soucient-ils que boeufs, moutons et cochons soient castrés sans anesthésie? S’ils tiennent à payer de leur personne pour comparer la douleur de l’égorgement avec celle de la castration, un séjour touristique dans les zones de combat en Syrie leur donnerait une idée précise.

Schönberg

L’article est excellent;mais il serait judicieux de transmettre au Grand-Rabbin Gugenheim de faire interdire la consommation de viande provenant d’élevage intensif (idem pour volailles et œufs), qui fait souffrir terriblement les animaux, non pas 10 secondes,mais des jours et des mois,les bourrant d’antibiotiques,hormones,vaccins,pesticides et autres poisons,qui devraient rendre ces animaux impropres à la consommation CASHER et plus grave encore, qui mettent en danger la santé et la vie des consommateurs;actuellement,à la télévision française(voir émission de jeudi dernier, »envoyer spécial » sur le poisson ou à la TV israélienne,la semaine dernière, sur les œufs et volailles),entre autre,montrent les conséquences graves pour la santé de ce genre de nourriture!
Je ne comprends pas,alors que cela fait un an qu’on met en garde contre le saumon d’élevage de Norvège(et la situation actuelle est la même pour tout poisson de Norvège),que tout tampon casher pour du saumon est actuellement mis en vente sur ce type de saumon de Norvège exclusivement,alors qu’on devrait le retirer du marché!!!idem pour les œufs n°3 ,provenant de poules en batterie,qui sont un cocktail de poisons cités plus haut,bouillon de culture de cancer et autres « horreurs »,obésité,diabète,etc…(voir les émissions qui traitent de cela! on attend avec impatience une liste conséquente de produits cashers BIO!…

Rail

Et comme je suis croyante , ils auront le sort qu’ils mérite c’est inévitable si les hommes ne changent pas , enfin ça c’est des illusions immatures . La juive que je suis le sais bien !

Rail

Et dans mon cas je ne fait jamais confiance en un humain qui de par nature est manipulateur , je préfère largement la compagnie des animaux qui elle n’est pas opportuniste et je finirai ma vie entouré d’animaux , j’assume pleinement ce choix , j’ai fait intellectuellement le tour de cette nature humaine perfide et opportuniste , seul les moins intelligent ne font pas le même constat que les hommes ne changeront jamais ce sont les pires prédateurs , qui se vante d’intelligence alors qu’ils sont à mon sens inférieur et trop limité pour changer .

Rail

Parce que si je me lance sur le sujet au sujet de se que les hommes font subir aux animaux , la liste sera très longue , dans ce que j’ai pu y voir dans la cruauté de certains , à côté un abattage où l’animal chez les juif est tout de suite étourdie , donc il ne souffre pas , c’est une bénédiction se sont ces animaux des chanceux , depuis des années je vois de telles horreurs que cela ne donne un regard juste sur la nature humaine dans son sadisme et sa cruauté parce que certains considère les animaux inférieur à eux bien sûr ,l’humain la race supérieur , tiens j’ai déjà entendu ça quelque part ! L’humain est immature et à force de toujours vouloir dominer il finira par sa propre destruction , Ah j’exagère peut être ? Aller savoir vu comment les hommes en 2013 se comportent .Guerres de religions , opportunisme à tout va , manipulation , corruption , la liste est tellement longue que je fais partie de ceux qui n’aime pas les humains en général . Ils font des juifs des boucs émissaires parce qu’ils sont lâches , immature et ne veulent pas voir qu’ils sont les propres acteur de cette destruction futur , là ou les hommes passent et ça qu’importe l’origine , la religion , la culture il y a destruction , pour le coup cela mets les hommes à égalité dans leur folie destructrice .

Rail

Après pour la souffrance animal , Palme d’or pour beaucoup de pays , avant de donné des leçons aux juifs ils devraient regarder comme certains pays traite les animaux en général , par opportunisme financière etc.. les humains sont de vrais faux cul !

Rail

En France je sais que chez les juifs pour l’avoir vu , que les animaux ne souffre pas , je pense que pour les Musulmans cela doit être pareil , contrairement à se que j’ai pu voir dans certains pays Musulmans certaines pratiques qui m’ont juste donné envie des les égorger à mon tour pour leur montrer se qu’ils infligent aux animaux ,mais la France est un pays évoluée c’est pas le cas partout , certains reste des barbares sanguinaire sans morale , ça c’est une réalité .

Rail

Ce sont les antisémites qui essaient , j’ai déjà participé a un abattage ou plutôt vu , les animaux sont pas mal traiter et ne souffre pas , et pourtant je suis une militante de la cause animal contre la souffrance et le sadisme fait envers les animaux , c’est un prétexte , je signale que chez les Musulmans dans leur religions le chien est impure c’est pas une attaque gratuite envers eux , heureusement certains ne suivent pas cette loi stupide , Non c’est bien le jeu des vrais antisémites , la Pologne est un pays extrêmement antisémite et je ne citerai pas les autres , Pourquoi encore le histoire de leur jésus christ ils ne nous pardonneront jamais , quant à d’autres ces pour des raisons politiques évidente on peut voir les alliances se faire , même les plus improbables , comme quoi l’humain est viscéralement manipulateur . Après nous avons la concurrence entres les religions , parce que la stupidité règne dans ce monde depuis des siècles et que les juifs les déranges , ce sont des sont fous pathologique et le pire ils se retransmettre ces ignorances , la foi demande une très grande maturité , les juifs le savent et font les frais de certains depuis des siècles dans leur immaturité . Il n’y a pas une bonne religion , il y a des gens qui font leur religion différemment voilà tout , mais les intégristes religieux gagnent du terrain , comme cette antisémitisme qui refait surface en Europe , ils aiment nous prendre comme boucs émissaire de leur lâcheté pour certains d’entres eux , se sont des immondes ignorants . Tant pis pour eux les juifs cette fois ci ne se laisseront pas aussi facilement détruire , se qu’ils voudraient c’est que nous abandonnions notre religion , notre culture , ils peuvent pour cela aller droit en enfer cela n’arrivera jamais , et nous continuons à rester juif encore pendant les prochains siècles avenir . Prédiction , et mauvaise nouvelle pour eux !

marman68

L’abattage rituel des animaux n’est pas que pour les Juifs, je voudrais rappeler sans être raciste que les musulmans aussi le pratique, alors pourquoi n’essayer à s’en prendre qu’aux Juifs, je ne sais pas mais moi si j’étais Juifs, je me sentirai très très blessé.
Le reste est du bla bla bla politiciens, et sur ce bla bla bla politiciens certains à ce jeu là sont beaucoup plus fort que moi.
Parce que bla bla bla ça y savent faire …….
Y’en aurait trop à dire : Alors je prefère m’arrêter là POUR LE MOMENT……