Parallèlement au sondage de JFORUM.FR (voir la rubrique SONDAGE en page d’accueil sur la droite) voici une étude récente sur le sujet du vote juif en France. À ce jour M. Sarkozy semblerait être largement préféré aux autres candidats, et sensiblement par rapport à M. François Hollande.

Doit-on s’en réjouir? Certainement pas. Car il ne serait pas bon qu’il y ait une « rupture » avec le parti socialiste qui longtemps a été un parti proche des idées humanistes et généreuses qui fondent la sensibilité profonde de la Communauté.

Nous connaissons en partie les raisons de ce désamour.

Mais force est de constater que de moins en moins de juifs militent aussi bien à l’intérieur de la Communauté qu’à l’extérieur dans l’espace de la politique. Cette question aussi doit nous interpeller. Pas de relève communautaire ou si peu, et peu de volontaires pour assurer l’audibilité d’une voix juive en dehors. Le temps où aussi bien au parti socialiste, qu’à l’ex-UDF, voire au parti communiste, les juifs y étaient actifs, semble être révolu. D’autres y sont maintenant mieux représentés. C’est notre part de responsabilité. Nous nous exprimons maintenant qu’entre nous.

Il faut que nous prenions dans cette affaire notre part de responsabilité, et qu’une génération nouvelle prenne en charge les affaires communautaires, et s’engage dans le combat politique. Il appartient aux dirigeants communautaires de favoriser cette transition, faute de quoi c’est l’avenir de la communauté qui serait menacé.

JForum.fr

—————–

Différents travaux de recherche ont montré le soutien marqué de l’électorat juif pour la gauche à la fin des années 70 et lors de la présidentielle de 1981.

Depuis, un déplacement progressif s’est opéré vers la droite.

En 2007, la droite a bénéficié d’une large assise, même si toutes les familles politiques étaient représentées au sein de cet électorat.

Ainsi, loin d’un vote juif, existe-t-il des votes juifs.

À quelques mois de l’élection présidentielle, le rendez-vous politico-médiatique
qu’est le dîner annuel du CRIF a relancé le débat et suscité nombre de commentaires autour de l’orientation politique de la communauté juive.
Alors qu’il existe de nombreux fantasmes à propos du « vote juif », il n’est pas inutile de poser le sujet en des termes dépassionnés et sur la base de données chiffrées et objectives.

La part de la population se déclarant juive étant statistiquement très faible, cette analyse a été menée à partir d’une agrégation à grande échelle d’enquêtes effectuées par l’Ifop auprès d’échantillons nationaux représentatifs sur une période de 10 ans (de 2002 à 2012) et au sein desquelles la question de l’appartenance religieuse était posée.

Une fois ce cumul effectué, on dispose d’un échantillon global de pas moins
de 173 000 interviewés.

Ce volume, plus que conséquent, a permis d’évaluer d’une part le
poids et le profil de la population se déclarant juive et d’autre part d’observer son comportement électoral lors des dernières élections.

1/ Les Juifs représentent moins d’1% de la population

Premier enseignement de cette analyse, à la question : « Êtes-vous catholique, protestant, musulman, juif, d’une autre religion ou sans religion ? », 0,6% des personnes interrogées répondent « juif ».

Cela correspond à 1 095 individus dans l’échantillon cumulé et, ramené à
un corps électoral de 43 millions de personnes, cela représente 260 000 électeurs.

Même en postulant que l’appartenance à la religion juive (mesurée et appréhendée à l’aune de notre question assez basique et qui n’opère pas de distinguo entre les personnes juives pratiquantes et celles qui sont nées dans des familles de culture et de tradition juives sans pour autant pratiquer aujourd’hui) est peut-être un peu sous-déclarée aux enquêteurs, il apparaît que le poids statistique de la population juive dans le corps électoral est tout à fait minime et n’a guère varié depuis 20 ou 30 ans.

L’avantage de travailler à partir de gros échantillons est qu’il est possible de disposer de bases statistiques suffisamment solides même pour les segments les plus étroits comme c’est le cas ici.

Avec un sous-échantillon de 1095 individus se déclarant de confession juive, il a été possible de dresser un portrait sociodémographique de cette population.

Même si les cadres supérieurs, les professions libérales, les commerçants,
artisans et chefs d’entreprise sont sur-représentés (19% contre 11% dans la population totale), la communauté juive apparaît sociologiquement assez diverse, ce qui vient démentir bon nombre de clichés et de préjugés. On compte ainsi 24% d’ouvriers et d’employés (contre 31% dans l’ensemble de la population) et 12% de professions intermédiaires (contre 14%).

Si cette population n’est donc pas sociologiquement très typée, son implantation sur le territoire est en revanche très spécifique.

50% des personnes se déclarant juives résident en effet dans l’agglomération parisienne alors que ce territoire n’abrite que 16% de la population française
totale.

Cette sur-représentation de la région parisienne dans la population juive
s’accompagne également d’une implantation un peu plus marquée dans l’ensemble PACA / Languedoc-Roussillon (17% contre 12% dans l’ensemble de la population française) au détriment des régions du grand ouest (3% des
Juifs y habitant contre 14% de la population totale) et de manière plus générale des zones rurales (5% contre 25% en moyenne).

On notera que même en Île-de-France, région où la population juive est la plus nombreuse, le poids de cette communauté ne représente que 2% de la
population locale.

2/ Des votes juifs

Certains commentateurs ou acteurs politiques évoquent parfois un « vote juif ». Les premières conclusions de l’analyse réalisée permettent déjà de relativiser fortement son importance dans la mesure où il ne représenterait que 0,6% du corps électoral.

De surcroît, parler d’un « vote juif » sous-entend que le comportement électoral de cette population serait très homogène et monocolore.

Or, les données dont on dispose montrent que, si la droite bénéficie d’une large assise dans cet électorat, les autres familles politiques y sont également représentées, le « vote juif » n’est donc pas univoque, loin s’en faut, comme le
montre le tableau suivant par exemple :

2012 – Les électorats sociologiques

Le vote au 1er tour de l’élection présidentielle de 2007

Au premier tour de l’élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy l’emporte dans la communauté juive et rate de peu la barre des 50%. Cet attrait très puissant pour Nicolas Sarkozy ne s’accompagne pas pour autant d’un rejet de la gauche dans cette partie de l’électorat.

En effet, si l’audience des 2 candidats d’extrême-gauche y est inférieure à la
moyenne (sans doute peut-être en partie en raison des positions pro-palestiniennes de ces formations politiques mais aussi d’une certaine
distance vis-à-vis des formations extrémistes déjà constatée dans les travaux de Chantal Bordes-Benayoun par exemple), Ségolène Royal recueille 28,8% des voix des personnes se déclarant juives, soit 3 points de plus que son
score national.

Le sur-vote en faveur de Nicolas Sarkozy se traduit en revanche par une contre-performance de François Bayrou (13,9% contre 18,6% en moyenne) et surtout de Jean-Marie Le Pen (4,3% contre 10,6%), la communauté juive demeurant en 2007 ultra-majoritairement réfractaire au vote frontiste.

L’analyse du vote au premier tour de l’élection présidentielle de 2002 fait ressortir des constats relativement similaires.

Comme le montre le tableau suivant, le vote des personnes de confession juive se caractérisa à l’époque également par :

-une sur-représentation très nette de la droite parlementaire,
-un léger sur-vote en faveur du candidat socialiste, cela s’accompagnant d’une moindre audience de l’extrême-gauche,

– un très faible écho du tandem Le Pen / Mégret.

Le vote au 1er tour de l’élection présidentielle de 2002

Dans le détail, on notera qu’à droite, c’est Alain Madelin qui bénéficie en 2002 d’une très forte présence dans cet électorat (plus de 21% contre à peine 4% en moyenne).

Les valeurs portées par le candidat de Démocratie libérale, sa défense constante et revendiquée d’Israël et des États-Unis peuvent expliquer cette audience spectaculaire quand Jacques Chirac, réputé plus pro-arabe, bénéficie d’un moindre soutien.

Le succès rencontré par Nicolas Sarkozy en 2007 dans cette population tient sans doute au fait, qu’hormis des liens tissés de longue date avec cette communauté, notamment en Île-de-France, il ait su tenir un message s’inspirant
davantage de la tradition et de l’héritage atlantiste et pro-Israël du Parti républicain et de Démocratie libérale que de la filiation gaulliste chiraquienne moins efficace, on l’a vu, dans ce milieu.

Quoiqu’il en soit des différences de sensibilités politiques, le sur-vote en faveur de la droite parlementaire apparaît aujourd’hui comme une vraie singularité de l’électorat juif même si une part significative de cette catégorie de la population se reconnaît dans la gauche et principalement dans le PS.

Ce fort tropisme droitier s’expliquerait-il par la composition sociologique de cet électorat, où les CSP réputés plus favorables à la droite sont sur-représentées ?

L’analyse invalide cette hypothèse puisqu’une fois l’effet CSP neutralisé, on constate en effet une forte prime pour la droite UMP de l’ordre de 15 points parmi les cadres supérieurs et les professions libérales de confession juive par
rapport à leurs homologues non juifs et de 14 points parmi les ouvriers/employés de confession juive versus les catégories populaires non juives.

Alors que différents travaux de recherche avaient montré un soutien assez marqué de l’électorat juif envers la gauche à la fin des années 70 et lors de l’élection de François Mitterrand en 1981, un déplacement du centre de gravité politique de la population juive au profit de la droite semble s’être produit depuis.

Sans qu’il soit facile de le dater précisément, on peut émettre l’hypothèse que cette droitisation d’une partie de cette communauté soit consécutive au déclenchement de la seconde intifada qui s’est accompagnée en France d’un
regain d’antisémitisme.

Certains observateurs ont également évoqué le fort impact de certaines
agressions dont ont été victimes des membres de la communauté juive en Île-de-France notamment.

Dans ce contexte, le ferme discours du ministre de l’Intérieur de l’époque a sans doute rencontré un écho, Nicolas Sarkozy ne manquant jamais l’occasion, de surcroît, d’afficher sa proximité avec Israël et la communauté juive.

Comme le montre le tableau suivant, ce lien particulier à Nicolas Sarkozy semble avoir perduré après l’élection de 2007.

Évolution de la popularité de Nicolas Sarkozy

Durant la première partie de son mandat (jusqu’aux élections européennes de
2009), le président bénéficie dans cette catégorie d’un niveau de popularité quasi-identique à celui observé parmi les catholiques pratiquants – soutiens traditionnels et constants de la droite – et l’écart de popularité est de 16
points avec la moyenne nationale.

Mais si la communauté juive demeure, derrière les catholiques pratiquants, la seconde catégorie la plus en soutien de Nicolas Sarkozy durant la seconde partie de son mandat, c’est parmi les Juifs que sa popularité recule le plus : -19 points (contre -14 points en moyenne et parmi les catholiques pratiquants).

À la veille de l’élection présidentielle, une majorité de personne se déclarant de confession juive se dit donc aujourd’hui mécontente de Nicolas Sarkozy, rendant le jeu électoral plus ouvert qu’en 2007 dans cette catégorie de la
population.

Pour aller plus loin :

>
SCHNAPPER (Dominique) et STRUDEL (Sylvie), « Le « vote juif » en France », Revue française de science politique, 33 (6), décembre 1983, pp. 933-961.
ISSNe 1950-6686″>Article original

http://www.persee.fr/web/revues/home/ prescrip t/article/ rfsp_0035 2950_1983_num_33_6_394100 Article original

>
LÉVY (Michel-Louis), Réflexions sur les évaluations du nombre de Juifs en France, INED, 1982.

http://www.erudit.org/livre/aidelf/ 1981/000706co.pdf Article original

>
STRUDEL (Sylvie), Votes juifs : itinéraires migratoires, religieux et politiques, Paris, Presses de Sciences Po, 1996, 373 p. ISBN 978-2-7246-0681-2″>Article original

>
SCHNAPPER (Dominique), BORDES-BENAYOUN (Chantal) et RAPHAËL (Freddy), La Condition juive : a tentation de l’entre-soi, Paris, Presses
universitaires de France, 2009, 140 p. ISBN 978-2-13-056707-3″>Article original

Jérôme Fourquet

Directeur du département Opinion et Stratégie d’Entreprise, IFOP
www.cevipof.com

N°15

Mars 2012

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Persifleur

{{Mais de quoi se mêle-t-il,
Il avait déjà tout déclaré dans son discours à la Knesset, sur le retour aux frontières indéfendables
d’avant 1967.}}

Par Guy Millière

J’ai déjà rendu compte pour la Ména du discours prononcé sur le Proche-Orient par Nicolas Sarkozy lors du dîner du Crif. Je n’ai dès lors aucune raison d’être surpris par les propos qu’il a tenus depuis sur le même sujet. Pour une fois, l’actuel président français est fidèle à une ligne et se tient à celle-ci.

Lors d’une émission de télévision, le 6 mars, Nicolas Sarkozy a déclaré vouloir obliger les Israéliens et les Palestiniens à se parler et à conclure un accord de paix. D’autres que lui auraient employé une périphrase ou une circonlocution : pas lui. Obliger ? Autrement dit, forcer ? Pour qui se prend-il ? Imagine-t-il pouvoir « obliger » Mahmoud Abbas ?

Dès lors que j’en doute, je ne vois qu’une seule cible dans les mots du président français. Pense-t-il que le peuple israélien est à sa botte, et que Binyamin Netanyahou est un domestique de la France ? Tant qu’à faire, je préférais les propos dans lesquels Nicolas Sarkozy traitait Binyamin Netanyahou de menteur, c’était moins insultant. Qui a dit, déjà, que Nicolas Sarkozy était un « ami d’Israël » ?

Lors de la même émission, Nicolas Sarkozy est allé un peu plus loin encore dans l’insulte vis-à-vis du peuple juif. Je cite : « S’il y a un peuple au monde qui doit pouvoir comprendre l’aspiration des Palestiniens à avoir un Etat, c’est le peuple israélien… Le peuple juif a attendu tellement longtemps son Etat, qu’il peut comprendre l’aspiration des Palestiniens qui est exactement la même. Cela fait des siècles qu’ils vivent à côté les uns des autres ».

Quelque chose (ou quelqu’un) influence Nicolas Sarkozy
à propos d’Israël

En quelques mots, Nicolas Sarkozy dit, donc, que le peuple juif n’a pas eu d’Etat dans le passé, ce qui constitue une négation totale de l’histoire juive ; il ajoute qu’un peuple palestinien existe depuis aussi longtemps que le peuple juif, qui doit donc être lui-même né dans les officines du KGB au milieu des années 1960…

Le président sortant précise que Juifs et Arabes palestiniens vivent les uns à côté des autres depuis des siècles, ce qui efface, d’un seul geste, la conquête de la région par l’islam, sabre à la main, les pogroms anti-juifs menés sur les ordres d’Amin al Husseini, les multiples tentatives de destruction d’Israël par le monde musulman depuis 1948-49, des milliers d’actes terroristes meurtriers contre des Juifs israéliens, et les discours infects de Yasser Arafat, Mahmoud Abbas et des dirigeants du Hamas.

Pour trouver une affirmation aussi pernicieuse dans la bouche d’un dirigeant occidental, il faut mener une recherche approfondie : même Barack Obama n’aurait pas osé.

Comme si cela ne suffisait pas, Nicolas Sarkozy, dans son élan, a rajouté que la Shoah, « ça a été fait en Europe, et non pas au Proche-Orient ». Et s’il est exact que la Shoah est un crime européen, il n’en reste pas moins qu’Amin al Husseini, quand il ne s’essayait pas à exterminer les Juifs au Proche-Orient, parlait sur Radio Berlin, se faisait le chantre de la « solution finale », s’intéressait beaucoup à ce qui se faisait à Auschwitz, et fondait une légion Waffen SS musulmane.

Il demeure que nombre d’anciens nazis génocidaires ont continué leurs activités en Syrie et en Egypte après la Seconde Guerre Mondiale, et que, tout en niant la réalité de la Shoah, de nombreux dirigeants du monde musulman rêvent de perpétrer un deuxième Holocauste, tout en lisant « Mein Kampf » à leurs heures perdues.

Cette façon d’exonérer le monde musulman de ses crimes et de ses intentions criminelles recèle une dimension odieuse. La Shoah, Monsieur Sarkozy, ça a été réalisé en Europe, avec la complicité du premier chef de ceux que vous appelez aujourd’hui les Palestiniens, et c’est un génocide que ceux que vous voulez excuser nient tout espérant le répéter.

Prononcée aux Etats-Unis, une phrase de ce genre aurait fait scandale ; en France, non. Hélas.

Je pourrais en déduire que Nicolas Sarkozy entend aller à la pêche aux voix musulmanes, et je pourrais ne voir en tout cela que cet objectif. Mais, dès lors que le même Nicolas Sarkozy a repris au répertoire du Front National des insinuations contre l’immigration et s’en est pris à la viande hallal, sur un mode qui a fini par concerner aussi la viande cachère, je dois constater que, tout en cherchant à séduire les musulmans, d’une part, il suscite chez eux un élan répulsif de l’autre. Ce, tout en provoquant des doutes pesants chez les Juifs. Si c’est ce qu’on appelle l’habileté politique, je préfère les politiciens malhabiles. Si c’est de la franchise, j’ai du mal à voir où celle-ci se situe exactement.

Je considère plutôt que Nicolas Sarkozy n’a aucune idée de ce qu’il dit et, en fait, qu’il ne maîtrise pas sa faconde. Je considère qu’il s’agit d’un irresponsable, qui, à force d’aller de coup politique en coup politique, et d’opportunisme en opportunisme, n’a plus la moindre cohérence. Comme un Culbuto, il finit toujours, au bout de ses oscillations multiples, par retrouver une semblance de politique arabe de la France.

ABEL

Ce n’est pas les Juifs qui se sont éloignés du PS, mais bien le PS qui s’est éloigné des Juifs depuis 1967, qui a été marquée par la guerre des six jours ! Depuis, le PS est antisioniste, et qui dit antisioniste, dit antisémite, car il faut bien appeler un chat, un chat ! Guy MOLLET, socialiste digne de ce nom a tout fait, à son époque, pour aider ISRAEL, jusque et y compris en aidant le jeune Etat juif à se doter de l’arme nucléaire : Echange de technologies contre le premier essai atomique israélien dans le Sahara, près de COLOMBECHAR !
Aujourd’hui, les socialistes en sont à lêcher le derrière des Arabes (ils ne sont pas les seuls à nettoyer la partie basse de ces derniers), mais passons ! Le parti socialiste est en état de dhimmitude ! Partout où LES SOCIALISTES sont élus, c’est la viande hallal dans les écoles, les piscines avec des horaires aménagées pour femmes musulmanes, des enseignes commerciales en arabe classique, des ouvertures de commerce en Zones Urbaines à Revitaliser (soi-disant) pour exonérer les exploitants de ces commerces, pendant cinq ans,de tous impôts directs, le temps de faire du gras ! Et sur qui ? Sur le dos des pauvres François qui vont au boulot, pendant que des immigrés de la même espèce arrivent de partout pour mettre les régimes sociaux de la France parterre, en attandant l’agonie de cette ancienne belle France !
Si HOLLANDE passe, c’est la banqueroute de la France assurée, et ce, de façon irrémédiable ! HOLLANDE sort de l’ENA, a été contrôleur à la Cour des Comptes, certes ! Mais il me semble qu’il ait un poil dans la main droite, et surtout qu’il soit incapable de prendre une décision, bonne ou mauvaise ! Rien à voir avec SARKOZY, même si l’on peut reprocher à celui-ci de n’avoir pas tenu ses engagements et de s’être rapproché de certains gauchistes, genre KOUCHNER, Eric BESSON et tant d’autres ! Ne perdons pas de vue que le quai d’Orsay (Ministère des Affaires Etrangères) est un état dans l’Etat ! Il serait grand temps de virer ces aristocrates de la partie-cul (plutôt que de la partie tête) le plus vite possible, pour le plus grand bien de la France, et surtout des Juifs français !!!
ABEL

MD545

Votre entrée en matière est intéressante mais je ne vois pas où est le problème. pour la communauté et son existence future. Chaque groupe socio-culturel ou religieux ou tout autre groupe socio-professionnel etc.. vote et agi au sein de partis qui corresponds à leurs visions et qui leurs apportent ce qu’ils estiment être bon pour leur groupe;Le parti socialiste a répondu ou a semblé répondre à l’attente des Juifs de France ce n’est plus la cas aujourd’hui ; Et les Illustres ancêtres du parti socialiste (zola, Jaures,Mendes France….. )ont certes écrit l’histoire en lettre d’or pour les juifs ce n’est plus la cas aujourd’hui;Quant à Sarkosy dire qu’il est l’homme providentiel serait évidemment faux mais il représente le moins mauvais choix pour les Juifs français et les non juifs aussi d’ailleurs.

Armand Maruani

Je ne fais confiance à aucun candidat . Même le pape en personne . Surtout lui . Notre destin est scellé , un pays nous attend depuis 1948 : Notre Pays . Tout le reste c’est du baratin .

kadosh

Pourquoi la communauté nous influence de voter pour SARKOZY, avez vous obulier que c’est lui qui a :
– Pousser à la création et financement des MOSQUES en France(il était ministre de l’intérieur)
– C’est lui qui a toujours cherché la création d’un état Palestinien, ce qui sera un danger pour les israéliens.
– C’est lui qui a dit que JERUSALEM soit diviser pour soi-disant la paix vienne en Israël et Palestinien
– C’est lui qui autiorisé que les Palestiniens aient une voie à l’ONU
– C’est lui qui a dit oui à la place des Palestiniens à l’UNESCO
ALors est-ce que ceux qui le soutiennent son tils réellement pour ISRAEL ou sont des traites acquis pour diviser Israël.
Notons par tous qui se disent JUIFS aiment ISraël, d’uatant plus qu’ils habitent en déhors d’Israël !!!!

SARKOZY fait la politique des riches et de ses poches, politique égoïste, ce qui croise un peu les idées soutenues par JForum !
Il utilise toujours les votes juifs pour s’asseoir et en profiter.
A bon entendeur !!

Jlt

Vous semblez regretter que les juifs s’éloignent du PS. Mais les socialistes se sont-ils jamais nettement désolidarisés de toutes les manoeuvres hostiles à Israel ? boycott, accusations sans fondement, mensonges dans la presse et les medias audiovisuels. Notre presse majoritairement de gauche n’a pas jugé utile de parler à son public abruti de propagande du bébé égorgé dans son berceau à Itamar par un héros palestinien. Si vous n’êtes pas encore dégoûtés de la gauche, toute la gauche, que vous faudra-t-il ?

tehila

votre article n’est que du bla bla bla.aucun candidat n’est bon pour les juifs et pour israel .
francais juifs restez chez vous!!

Albert.guerchoun1

N’oublions pas que tous ces socialos et gauchistes sont toujours au premier rang des manifestations anti-israéliennes!

Albert.guerchoun1

Quand on voit avec qui gouvernerait le capitaine de pédalos c.a.d. tous ces écolos, bruns et noirs, heureusement que la communauté préfère Sarkozy! De plus il est très loin d’être l’homme qui va redresser la France! Oui je conseille tous mes frères et soeurs de faire comme moi