Un ultra-orthodoxe israélien accusé d’avoir espionné pour l’Iran;
Selon le Shin Beth, l’homme aurait reçu des instructions de l’ambassade iranienne à Berlin;
Un israélien de Jérusalem, membre de la secte ultra-orthodoxe antisioniste Neturei Karta, a été arrêté par les services de renseignement israéliens et accusé d’avoir voulu espionner Israël pour le compte de l’Iran.Prêt à tuer « un sioniste » pour l’Iran
Le Shin Beth (les services de renseignement intérieurs israélien) a appréhendé l’individu, qui aurait été en contact avec l’ambassade iranienne à Berlin en 2011. Après une rencontre avec trois responsables iraniens, un officier du renseignement lui aurait ouvert une adresse email à laquelle le nouvel agent devait recevoir ses instructions. L’homme aurait offert de tuer un « sioniste » et aurait indiqué son intention de renverser le gouvernement israélien en place.
L’homme aurait vérifié les messages de cette adresse deux fois dans un hôtel de Jérusalem, et aurait utilisé des cabines téléphoniques pour parler avec l’ambassade iranienne de Berlin puis demandé à parler avec « Haji Baba », le surnom de son contact iranien. Le Shin Beth entend le traduire en justice pour collusion avec l’ennemi et trahison.
Selon son avocat, Me Yair Nehorai, aucun dommage n’a été causé à la sécurité nationale israélienne.
« Il est important de rappeller qu’aucun mal n’a été fait à la sécurité nationale. Les évènements dont nous parlons ont eu lieu il y a environ deux ans. Nous étudierons les preuves et nous répondrons à ces accusations », a-t-il déclaré au site d’information israélien Ynet.
Qui sont les Neturei Karta?
Les Neturei Karta sont les plus connus parmi les groupes antisionistes radicaux. Estimés à 15 000 personnes, ils représentent environ 2% de la population ultra-orthodoxe d’Israël et sont basés à Jérusalem. Ils rejettent la création de l’Etat israélien, ne relevant pas d’une volonté divine et qu’ils estiment de nature à retarder le retour du Messie Lequel???? »>Article original.
Ses fondateurs, issus d’une autre communauté ultra-orthodoxe antisioniste mais à leurs yeux trop complaisante avec l’administration israélienne, ont formé la secte Neturei Karta sur la base de la non-reconnaissance d’Israël et de ses institutions. L’un de ses rabbins les plus influents a même occupé des fonctions symboliques dans l’un des gouvernements de Yasser Arafat et justifié les attentats terroristes de la deuxième intifada.
Un groupe de 7 membres de la secte a également participé à une conférence niant la Shoah organisée en décembre 2006 par le gouvernement iranien, et justifié cette décision par « antisionisme ». Accusée d’antisémitisme par la presse israélienne pour son soutien aux thèses révisionistes iraniennes, la secte défend ses relations avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et s’est régulièrement affichée aux côtés d’officiels iraniens.
Le groupe entretient également des liens cordiaux avec le Hamas à Gaza, et ses membres se sont plusieurs fois rendus dans le territoire palestinien pour y soutenir l’organisation, considérée comme terroriste par Israël, l’Europe et les Etats-Unis.
i24news.tv/fr Article original
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dehors cette infecte secte .Dehors ces collabos Dehors ces negationistes dehors ces ennemis d Israel dehors dehors dehors …………………………………………………………………………………..dehors ces fils de collabos dehors ces apostats
{{Israêl n’est pas un pays comme les autres .
C’est un pays révolutionnaire en permanence .
Il faut être trés fort et n’avoir peur de personne pour accepter les Netourei Karta .
C’est çà la force d’Israël .}}
{{Qui sont-ils?}} : L groupe est apparu en {{1938}} (veille de Seconde Guerre M.), lors d’une {{scission}} avec le parti religieux Agoudat Israel, considéré comme {{devenu trop tolérant vis-à-vis du sionisme}}.
Les Neturei Karta se sont structurés principalement autour de deux anciennes communautés {{présionistes}} de l’ancien Yishouv (communauté juive) de Palestine : un groupe hongrois ayant émigré en Palestine au début du xixe siècle et un groupe lituanien de disciples du Gaon de Vilna ayant émigré plus tardivement au cours du xixe siècle.
Aujourd’hui Neturei Karta se compose {{de deux branches}} : la {{faction principale et plus modérée}} dirigée par le rabbin Reuven Zelig Katzenellenbogen, et une {{faction radicale et plus petite conduite par le rabbin Moshe Hirsch}} -le fmaeux « ministre d’Arafat »- à Jérusalem, par le rabbin Yisroel Dovid Weiss et le rabbin Moshe Ber Beck à New York. La seconde branche est appelée communément Sicaires. Même si elle est {{nettement plus petite que la branche la plus modérée}}, elle est plus l{argement connue, et souvent citée comme « Neturei Karta »}, entrainant des critiques de l’organisation dans son ensemble.
Un groupe de 7 membres d’une faction minoritaire des Neturei Karta (celle du rabbin Moshe Hirsch) a en effet décidé de participer par antisionisme à une conférence négationniste de la Shoah, entrainant la c{{ondamnation de la direction de la Edah Haredit, traditionnellement dirigée par la direction des Hassidim de Satmar}}. Un {{Herem (excommunication)}} a même été envisagé, sans passage à l’acte
La majorité des membres vit à Jérusalem (en particulier dans leur bastion de Mea Sharim), à New York et à Beit Shemesh, près de Jérusalem. Leur nombre est estimé en Israël entre 2 000 et {{moins de 1 000 au début du xxie siècle}}.
D’autres groupes, associés aux Neturei Karta mais n’en faisant pas partie officiellement se trouvent à Londres, Vienne, Anvers, New York et d’autres parties de l’État de New York. Il existe aussi une communauté à Montréal, qui a pris part à une manifestation contre la Guerre du Liban en 2006.
La {{direction Neturei Karta, qui défendait historiquement des relations avec le président iranien Ahmadinejad, a cette fois suivi la Edah Haredit}}. Lors de cet incident, la {{fracture est donc passée plus au sein des Neturei qu’entre ceux-ci et la Edah}}.
Moralité : plus ils sont dans le clivage entre eux-mêmes et avec les autres, plus ils tendent à l’auto-dissolution ou, pour les autres, à une attitude plus « classique », moins hors-normes, et plus, à la limite, on peut considérer que les incidents isolés risquent d’être d’une portée grave à très grave, comme dans ce cas d’espionnage pour l’Iran.
Ce sont des sectaires ou des sicaires. Ils se veulent les « gardiens », jusqu’à l’arrivée de Macchi’ah et le Sionisme est, {de facto} un péché contre la volonté D.ivine.
Le vrai problème est qu’au lieu d’attendre Macchia’h en se consacrant à l’étude- qu’ils soient non-Sionistes, comme beaucoup de Haredim-, ils ont adopté une (im-)posture politique de destruction de l’existant. Comme ils reprochent au Sionisme d’agir sur le monde pour le changer, ils agissent en contrepartie, pour l’empêcher de changer. Ils sont dans l’antinomie permanente, la course à rebours contre l’Histoire. Ou la folie,c’est selon. Le Talmud préconise la modération et l’équilibre, il n’y a, a priori, aucun Judaïsme qui puisse enseigner le radicalisme contre le peuple juif, en soi.
Bref, ça relève de l’HP, ni de l’étude ni du politique… Cela dit, en poussant le raisonnement jusqu’au bout et la Techouva restant toujours possible jusqu’à l’instant de la mort, on peut condamner leurs positions et leurs actes, pas nier leur Judéïté, même si elle semble aux antipodes de tout ce qu’on croit juste et bon…
Au fait d’où viennent ils?
Pourquoi le gouvernement ne les expulse pas.
Les nourrir pour rien les entretenir des ennemis d’Israel
C’est une honte,notre peuple qui a tant souffert,des antisémite juifs.
Hors du pays qu’ils ne reconnaissent pas
Poldek
Ces gens sont complètement dans l’erreur, mais ne pèsent pas lourd : 2 % des ultras orthodoxes, ca fait quoi au final, environ 0,5% de la population israelienne ?
Certains diront – à raison – que c’est déjà beaucoup trop, mais d’un autre côté si on considère la tolérance qui leur est accordée et leur exposition médiatique, ils nous donnent – contre leur gré certes- une chance immense : c’est la preuve vivante et indéniable qu’AUCUN autre peuple au monde n’est aussi tolérant qu’Israël.
une seule solution s’impose : les expulser vers l’Iran ou un autre pays arabe plus accueillant.
En attendant une telle décision, certainement longue à prendre et à venir, supprimer toutes les aides et subventions gouvernementales.
Inadmissible que le Premier Ministre et son gouvernement acceptent que soit brûlé un drapeau israélien sur le territoire national.
La démocratie ( comme la langue -Esope dixit ) est la meilleure des choses mais également la pire.
De toute manière Israel est détesté, honni par une grande majorité des états membres de l’ONU, alors, un peu plus ou un peu moins, faire le ménage chez lui avec ses pseudo nationaux.
Sont-ils vraiment Juifs, allez chercher l’ascendance ?
Je n’ai jamais compris, s’ils refusent l’Etat d’Israël actuel alors pourquoi vivent-ils ici ?
Mais le comble c’est qu’ils soutiennent nos ennemis, je pense que c’est une autoflagellation.
j’ai écrit dernièrement le danger de leur donner accès a l’intégration obligatoire dans le STAHAL
car beaucoup sont anti-sionistes , la preuve est la mort de M.Rabin car beaucoup d’entre eux
était ravie de sa mort….. ils sont des ennemies des juifs… juste des ennemies de plus
mais au moins moi je suis un ami d’israel
foutez cette racaille a la poubelle .Que les rats les bouffent etc etc etc
Mais qu’est-ce que le gouvernement Israélien attend pour les enfermer en HP. En attendant ce jour, les flics pourraient sans doute leur coller une méga amende à ces tarés.