L’anti-jeu palestinien, faisant de toute rencontre, culturelle ou sportive, un grand moment de propagande raciste, que le monde feint, ensuite, d’ignorer voire : accueille en grande pompe, comme l’exposition à la gloire du terrorisme, du Musée français du Jeu de Paume »>Article original.

Jibril Rajoub a utilisé la visite festive du FC « Barça » Barcelone pour étriller et blâmer Israël, à cause de son supposé mauvais traitement des athlètes palestiniens. La remarque est d’une ironie amère, quand on se souvient de l’implication décisive de Rajoub dans les attentats de Munich en 1972, et le massacre de 11 athlètes israéliens. Mais, ne serait-ce que pour l’occasion, il aurait pu, au moins, se camoufler derrière le masque du « modéré »… Se démarquant violemment des messages de paix et de coexistence exprimés par le Président israélien Shimon Peres, alors qu’il accueillait l’équipe de football du FC Barcelone, dimanche, le responsable du Fatah et chef de l’Association de Football palestinien Jibril Rajoub considéré, dans les pays arabes, comme le « Saddam Hussein des territoires » »>Article original a tiré parti de « l’évènement le plus important de toute l’histoire des sports palestiniens, pour appeler à un boycott généralisé de toutes rencontres sportives avec des Israéliens.


Comme le savant nazi de Dr Folamour, Rajoub ne peut contrôler le bras tendu qui lui sert de vision étriquée du monde

S’exprimant devant les journalistes à l’entrée de l’Eglise de la Nativité, à Bethléem, samedi, Rajoub a affirmé que le sport était le meilleur moyen de combattre le « racisme ». Il s’est, alors, lancé dans une diatribe, exigeant une interdiction de toute rencontre sportive avec Israël qui ferait, à l’en croire, « de l’incitation contre tout ce qui est Arabe » ( !? Même et surtout si des joueurs arabes israéliens se produisent au sein de ses équipes).

Rajoub a affublé la visite du FC Barcelone du titre de “Première brèche dans l’histoire du mouvement des sports palestiniens « du siège que lui impose Israël ».

Le FC Barcelone, considéré comme une des meilleures équipes de football au monde, a entamé une “Tournée pour la paix” de deux jours, dans la région, samedi, par un entraînement avec une équipe de foot de jeunes enfants palestiniens, au Stade de Dura, en Judée-Samarie/Cisjordanie. Lionel Messi et Neymar, le footballeur brésilien, qui a signé récemment pour ce club, faisaient partie des stars parmi les joueurs en lice pour ce séjour.

“C’est une grande contribution à la paix, comme vous l’avez très justement appelée : une “Tournée pour la Paix”, leur a déclaré Peres, dimanche, en les félicitant. « Vous arrivez juste à temps. Notre Premier Ministre et son gouvernement ont commencé une autre « tournée pour la paix », entre nous et les Palestiniens, qui est une décision importante et particulièrement opportune. Je veux, ici, remercier le Barça pour faire que les rêves des enfants deviennent réalité. Le rêve des enfants israéliens et palestiniens des deux buts qui comptent : marquer le but gagnant à Camp Nou (nom du stade de Barcelone) et le but suprême de la paix ».


Camp Nou

Se tournant vers la joueurs, Peres a ajouté : “Messi, Xavi, Iniesta, vous et l’équipe toute entière pouvez nous enseigner, ainsi qu’aux Palestiniens à jouer Tiki-Taka style de passes courtes et de haut degré de possession du ballon, associé au Barça- hérité du « Football Total » de Johan Cruyff »>Article original et qu’ainsi, nous puissions marquer le but que nous espérons tous atteindre – le but de la paix ».


Combinaison multiple ou Tiki-Taka.

Le Président de l’équipe de Barcelone, Sandro Rosell a déclaré que cette visite était destinée à aider “aussi bien les Israéliens que les Palestiniens à trouver des points de rencontre et ainsi, vous aider tout au long de la route vers la paix ».

Mais, semble t-il, Rajoub avait bien d’autres idées en tête.


Rajoub a empêché la prise de toute photo conjointe avec un joueur israélien

Lors d’une conférence de presse à Ramallah, mercredi dernier, il a déclaré aux journalistes qu’il avait dû subir d’énormes pressions pour le contraindre à produire une photo conjointe des joueurs israéliens et palestiniens avec l’équipe catalane.

“Vous n’avez pas la moindre idée des pressions qu’on a exercé sur moi, pour qu’une photo puisse ressortir, avec Shlomo, Mohammad et Messi. Nous avons longtemps insisté pour que la photo comprenne bien Messi aux côtés de Mohammad. Mais Shlomo- qui représente »>Article original l’armée d’occupation– ne sera pas présent ce jour-là, il n’y aura que Barcelone et les Palestiniens – pas de Juif : sports Judenrein« >Article original ».

“Nous ne sommes pas des racistes, mais des “réalistes”. Nous n’offrirons pas à l’occupation la moindre feuille de vigne, afin de couvrir sa nudité, pour cacher ses crimes contre le peuple palestinien et, particulièrement contre le mouvement sportif palestinien », s’est exclamé le très fair-play Rajoub.

Il a alors poursuivi en prétendant qu’Israël entravait les libertés palestiniennes, y compris la liberté de mouvement des joueurs et des administrateurs, empêchant la réalisation d’édifices sportifs, et en bloquant les experts internationaux à leur entrée dans les territoires palestiniens.

“Tous ces problèmes… nous rendent impossible d’autoriser la moindre activité conjointe avec les symboles de notre souffrance et de nos peines, l’occupation israélienne”.

Un peu plus tôt en mai, Les Palestiniens ont mis leur veto Article original contre un match amical, prévu pour se dérouler entre une équipe « mixte » israélo-palestinienne et le FC Barcelone.

Debra Kamin et Gavriel Fiske ont contribué à ce reportage

timesofisrael.com Article original

Adaptation : Marc Brzustowski.

Pense-bête : Qui est Jibril Rajoub, longtemps considéré comme le n°2 de l’OLP, derrière Arafat?


Rajoub, le 30 avril dernier, en 2013 : je jure que si nous possédions la bombe atomique, je l’utiliserais ce matin même pour anéantir Israël. document courtoisie : TV Libanaise.

Lebanese TV host: « The American John Kerry »>Article original came to the PA. They are talking about reviving negotiations, about getting back to the table with the Israelis… Will you go back to the negotiations game? »
Jibril Rajoub: « There is no going back to negotiations unless the source of authority is the international resolutions, with a time frame and with the freezing of all unilateral Israeli steps: Jerusalem, the fence, settlements and prisoners. »
Host: « You’ve heard Israel’s refusal. »
Jibril Rajoub: « That doesn’t matter. Listen. We as yet don’t have a nuke, but I swear that if we had a nuke, we’d have used it this very morning. »
Al-Mayadeen TV (Lebanon), 30 avril 2013
« >Article original

Rajoub est surnommé « le Saddam Hussein des territoires ». En 1988, ni le Liban, ni l’Egypte, ni la Jordanie n’ont voulu l’accueillir. Un responsable jordanien déclare : « Nous ne voulons pas de cette vipère ». Après Oslo- 1993- il se considère comme le n°2 de l’OLP et nomme deux anciens terroristes ayant « du sang sur les mains », Abu Firas et Mahmoud Al Aloul, chefs de la sécurité de Ramallah et Naplouse. La police palestinienne roule, alors, dans des voitures volées en Israël et revendues à la « sécurité ». Selon Uri Dan, journaliste proche d’Ariel Sharon, dans les rangs du Shin Bet, c’est l’écœurement.

Le chef palestinien menace le maire de Bethléem, Elias Freij (chrétien, non-OLP et non- destitué par Israël, avant l’autonomie) : « d’une balle dans la tête si tu l’ouvres sans notre permission ». Un instituteur de Gaza, Assaf Siftawi, militant des droits de l’homme (ONG : B’Tselem), se fait tuer, après des mises en garde similaires. Maher Alami, rédacteur en chef du quotidien de l’OLP est torturé, ainsi que deux hommes d’affaires de Naplouse. Un certain nombre de businessmen palestiniens mettent, alors, leur argent, dans des affaires plus sûres, en Arabie Saoudite ou dans le Golfe. La liste des « erreurs de gestion » de ce groupe mafieux serait trop longue…

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Benabenja

Cet immonde individu donne la nausee a etre lu ou ecouter. Quelle abomination et qui peut etre assez lave du cerveau pour croire sincerement ce qu’il dit?

Armand Maruani

{{Cet article remarquable me fait penser à un grand boxeur Juif des années 30 , Max Baer à qui je voudrai rendre un hommage .

Un parallèle entre la politique nazie d’Hitler des années 30 et celle d’aujourd’hui des dirigeants palestiniens .

Rappel .

Max Baer est un boxeur américain né le 11 février 1909 à Omaha (Nebraska) et mort le 21 novembre 1959 à Hollywood.
Champion du monde des poids lourds du 14 juin 1934 au 13 juin 1935, il est un des nombreux champions blancs qui portèrent brièvement ce titre dans les années 1930 avant le long règne de Joe Louis.
Il est le frère ainé du boxeur Buddy Baer.

En 1933 il n’effectue qu’un seul combat (mais de taille) contre l’ancien champion du monde, l’allemand Max Schmeling. Max Baer gagne par KO au 10e round contre le meilleur boxeur d’Allemagne et sa prestation est reconnue comme combat de l’année. En attendant d’affronter le champion du monde en juin 1934 (le tenant du titre est à cette époque obligé d’affronter le challenger no 1 en juin de chaque année), Baer fait 14 exhibitions pendant l’année 1933 dont 3 contre l’ancien champion du monde Jack Dempsey .
Le 14 juin 1934 au Madison Square Garden de New York, Max Baer se retrouve face au champion du monde italien Primo Carnera. La victoire semble acquise au champion doté d’un physique gigantesque en avance sur son époque, Baer parait faible en comparaison, pourtant dans les premiers rounds il envoie Carnera plusieurs fois à terre, imposant son punch à un adversaire qui malgré son avantage physique n’a pas le menton très solide. Carnera n’hésite pas à s’accrocher à Baer et à l’entraîner dans ses chutes. Après ce début spectaculaire et inattendu, Baer choisit de faire durer le combat, puis malmène sévèrement le champion dans les 10 et 11e rounds où Carnera retourne plusieurs fois au sol avant que l’arbitre ne mette fin à son calvaire.
Après cette victoire, Baer est devenu un champion à qui on ne peut opposer raisonnablement d’adversaire.

Max Schmeling est un boxeur allemand né le 28 septembre 1905 à Klein Luckow (Mecklembourg-Poméranie occidentale) et mort le 2 février 2005 à Wenzendorf (Basse-Saxe). Il fut champion du monde poids lourds entre 1930 et 1932.

Combattant héroïque des Fallschirmjäger (parachutistes de la Luftwaffe) pendant la Seconde Guerre mondiale, ses succès sont largement exploités par le régime nazi même s’il n’en est pas un sympathisant, bien qu’il ait été un ami de la famille Goebbels. Néanmoins, son entraîneur était juif et il avait caché deux enfants juifs chez lui lors de la nuit de cristal, enfants qu’il aidera ensuite à quitter le pays.

Schmeling perd son titre aux points face au même Sharkey deux ans plus tard mais bat le boxeur noir américain Joe Louis le 6 juin 1936, mis à terre à la 4e reprise, puis KO au 12e round3. Lors du combat revanche organisé le 22 juin 1938, Louis gagne par KO technique au 1er round4. Max Schmeling dira plus tard5 :

« Après cette défaite, je n’existais plus pour Hitler, mon nom avait disparu des journaux. »

On peut faire un parallèle entre la  » spotivité  » nazie et celle des dirigeants palestiniens à l’égard d’Israël et des Juifs .
}}

Elie

A quoi bon montrer une telle pourriture ilsmiste ???????

Qu’espère le shimon Pérès ??? ce vieillard est à mille lieux de « comprendre » quoi que ce soit à la

racaille islamiste !!!! cette vermine ne reve quà nous éliminer !!!!Mais nous n’avons meme pas à intervenir ,

«  »ils «  » se suppriment et se chargent de nettoyer la terre de leur présence nauséabonde !!