Israël commémore le centenaire de la naissance de Menahem Begin, le 16 août 1913, à Brest-Litovsk, dans les fameux « territoires de résidence », s’étendant de Sébastopol, au Sud, à Vilna et la Baltique, au nord. Les Juifs de l’Est européen étaient, alors, contraints de vivre dans cet immense ghetto d’1 million de km2. a) Les racines d’une volonté intransigeante de survivre

Cent ans plus tard, on peut se demander ce qu’il reste, concrètement, de la Doctrine Begin, que nombreux brandissent comme un legs.

Elle est, notamment, à l’œuvre, en 1981, lorsque Menahem Begin donne l’ordre à une escadrille frappée du Magen David, de détruire Osirak, le réacteur nucléaire de Saddam Hussein. L’histoire diplomatique a oublié les tractations menées par son gouvernement, auprès du Quai d’Orsay, afin qu’il prenne ses distances et cesse d’alimenter le dictateur bagdadi, dont la propagande antisioniste et panarabe réveillait les cauchemars stratégiques d’Israël. On peut donc résumer la vision de l’indépendance de Begin, à l’expérience de la survie, élevée en défense préventive : frapper avant d’être annihilé.


L’escadrille « Osirak » -nom de code : Opéra- de retour de mission, au grand complet.

Elle s’exprime, pleinement, par le discours du jour suivant l’élimination de cette menace, adressé aux grands de ce monde, éberlués ou/et condamnant cette attaque-surprise :

« Il n’y aura pas de Seconde Shoah ! » .

Ainsi, Begin est-il le Père Fondateur ou deuxième pilier (à égalité avec David Ben Gourion, à gauche) de la fierté retrouvée et de la marge de manœuvre « clandestine » d’Israël et du peuple juif, pour faire face à tous les périls existentiels.

Cette vision du monde plonge profondément ses racines dans la jeunesse russo-polonaise du jeune Menahem, ses premiers pas en Yeshiva, qui l’établissent solidement dans la tradition du Judaïsme, sa fréquentation de Zeev Jabotinski, du parti dit « révisionniste » (sionisme anti-socialiste) et du Betar, avec lequel il était, parfois, en désaccord respectueux.

Jabotinsky sera caricaturé comme le prototype de théoricien du « Grand Israël ». En réalité, il ne méconnaissait rien de l’enjeu du combat pour une même terre. Il définit le tragique à la source du conflit et se moque de ceux qui prennent les Arabes pour des imbéciles :

« aussi fins psychologues que nous, ils lisent dans notre cœur aussi bien que nous dans le leur »…

« Le seul moyen d’obtenir un accord dans l’avenir, c’est de totalement renoncer à en obtenir un dans le présent ».

Il écrit et meurt avant l’indépendance (1940). Il n’est pas opposé à l’idée d’un accord futur, après la création de l’Etat, mais veut en assurer les conditions, par l’intransigeance de moyen terme ; pas plus qu’il ne nie les revendications symétriques, encore moins l’intelligence des Arabes (il ne peut être question de « Palestiniens » à l’époque.). On lui reproche d’avoir imaginé un territoire empiétant sur la Transjordanie, créée de toute pièce par l’Anglais, qui lui vaut son stigmate « d’extrémiste ». Son projet s’appuie sur les réalités géostratégiques et légales de l’époque où il vit.

Après des études de droit à Varsovie et diverses arrestations en Pologne, Menahem Begin s’enfuit à temps de Vilna/Vilnius, « petite Jérusalem de l’Est », en 1939, avant l’invasion nazie. Ses parents, une vaste partie de sa famille, seront assassinés. Il en est le survivant-combattant.


Photo-souvenir de détention. NKVD soviétique.

Avant cela, il goûte aux joies du Bolchévisme, en étant arrêté par le NKVD et condamné à 8 ans de Goulag. Il est libéré, après l’opération Barbarossa et l’invasion nazie de la Russie soviétique. Peu rancunier, il s’engage dans les divisions polonaises de l’Armée Rouge, en 1941, envoyé en Iran, Irak et Palestine mandataire, en 1943, avec rang de caporal.

Il déserte, avec 3.000 autres Juifs, l’armée polonaise exilée, en septembre 1943, pour lier définitivement son destin à celui de la lutte pour l’indépendance d’Israël. Très vite, il adresse des reproches de mollesse et de complaisance aux futurs travaillistes de Ben Gurion, envers l’occupant britannique et son satané « Livre Blanc » qui empêche l’immigration juive au moment le plus tragique, alors que l’extermination abat sa faux, sur des millions de ses frères, en Europe. Néanmoins, l’Irgoun, auquel il appartient, avant d’en prendre le commandement, en 1947, joue le jeu du combat prioritaire contre le Nazisme. Seul le groupe Stern, émanation radicale du Lehi, poursuit la lutte contre l’Anglais, durant le conflit mondial. Les autres adoptent, non seulement, un pacte de non-agression, mais de ralliement objectif et d’engagement. Ce sont les fameuses Brigades Juives de l’Armée Britannique, indispensables, en Tunisie, Syrie (où Moshé Dayan perd son œil, contre les Français de Vichy), Irak et ailleurs.

De 1945 à 1947, la survie du peuple juif dépend de la levée des restrictions anglaises, contre l’afflux migratoire des survivants d’Europe en « Palestine ». Le Mapaï de Ben Gurion et la Haganah en formation montent des opérations de sauvetage mémorable (Exodus, etc.), tout en négociant avec l’Anglais.

Pour l’Irgoun, l’urgence est ailleurs. Si les occupants britanniques ne comprennent pas le message, ils seront plus sensibles à des actions directes et dures. Les services anglais, ni Ben Gourion ne le lui pardonneront jamais vraiment. Il est traqué, ainsi que ses compagnons, autant par le MI 6-fondé en 1909-, que par… l’Agence Juive de l’époque.

Naît alors la légende tenace et revancharde du groupe « terroriste » Irgoun, avec l’attentat emblématique de l’Hôtel King David, le 22 juillet 1946, qui était, à la fois le poste de commandement et de résidence d’une partie de l’Etat-Major anglais : Secrétariat britannique, le Commandement militaire et une branche de la Division d’Investigation criminelle.

L’Irgoun a pris soin d’exiger l’évacuation impérieuse des lieux, par les civils, en joignant les services anglais par téléphone. Mais les Britanniques méprisent ces « va-nus-pieds » et bandits de grands chemins, qui entendent leur dicter le comportement à suivre et misent sur un « bluff ».

30 ans plus tard, Begin sera toujours la « bête noire » de la presse anglaise et internationale, lorsqu’il deviendra le premier 1er Ministre de droite de l’histoire du jeune Etat. Cette mauvaise réputation de « terroriste » l’affectera jusqu’à la fin, pour avoir toujours visé des cibles militaires et, généralement, prévenu d’évacuer les civils. Il s’agissait d’un combat politique, non de l’expression d’un radicalisme vengeur et aveugle. Et sa carrière le prouve, même lorsqu’il doit commettre et reconnaître des erreurs.

Deux autres affaires emblématiques alimentent l’odeur de soufre autour de sa personne, quel que soit son rôle dans le cours des évènements.

Il y a l’opération mal préparée, de l’Irgoun et du Lehi, qui tourne au massacre, à Deïr Yacine, à 5 kms de Jérusalem, le 9 avril 1948, soit à un mois de la proclamation de l’Indépendance. Benny Morris, « nouvel historien » controversé (donc, pas tendre avec la droite), établit le nombre de victimes entre 100 et 120 morts arabes, dont près de 70% de non-combattants.

La propagande adverse fera monter ce nombre du simple au double et au triple. En réalité, l’Irgoun et le Lehi sont encore constituées de bandes de combattants inorganisées et peu coordonnées, alors que la Haganah fait preuve de plus de discipline. D’après le commandant adjoint de l’Irgoun à Jérusalem, Yehouda Lapidot, c’est le Lehi qui aurait proposé de « liquider les résidents du village après sa conquête afin de »>Article original briser le moral des Arabes, et relever celui des juifs, affectés par la tournure des événements ».

Nathan Yalin Mor, responsable politique du Lehi et membre de sa direction est choqué par le massacre. Il le condamnera un an plus tard, après la fin des combats, seul parmi les anciens dirigeants de l’organisation.

Il n’empêche, Begin, qui n’en a ni donné l’ordre ni maîtrisé le déroulement sur le terrain, couvre l’évènement de sa responsabilité. Il voit même un avantage psychologique dans la rumeur qui se répand, puisque les radios arabes poussent les résidents arabes à fuir les zones de combat, aux cris de « Deïr Yacine ! ».

L’amplification sert les intérêts de tous, sauf ceux de Begin, discrédité par l’aile gauche dominante, les Arabes en appelant à la communauté internationale contre les Juifs, et organisant un exode massif qui dépasse, de loin, l’ampleur de ce massacre limité, dans l’espace et le temps, alors qu’une guerre d’extermination se prépare contre le Yichouv, qui n’est pas encore un Etat.

L’autre évènement fondateur se déroule le 22 juin, au large des côtes.

Begin a recruté 900 combattants et stocké une grande quantité d’armes sur l’Altalena, en prévision des combats qui s’annoncent, et sont déjà en cours depuis la naissance du jeune Etat Juif.

Des accords sont signés pour réunir les diverses branches sous le commandement unifié de Tsahal. Begin veut renforcer le potentiel militaire, sûrement en favorisant les unités issues des rangs de l’Irgoun. Mais il est impensable, pour lui, que Ben Gourion choisisse la voie de la « guerre civile » entre Juifs, malgré un désaccord tactique ou stratégique. Il se trompe.

Le chef des renseignements du Mapaï, Isser Harel, futur roc fondateur du Mossad, persuade Ben Gourion que Begin « fomente un putsch », lorsque celui-ci cherche un renfort militaire contre les ennemis de 5 nations arabes, motivées à renvoyer les « Juifs à la Mer ». Le jeune commandant Itzhak Rabin reçoit l’ordre de couler le navire.

Ironie ou tragique méprise? Des Israéliens ont donc, les premiers, envoyé d’autres Juifs par le fond. C’est le point de départ de malentendus et de désaccords durables, jusqu’en 1977, consolidant l’image de l’intransigeance et du radicalisme.

b) Un réaliste, derrière le masque de l’intransigeance idéologique.

Sur le plan politique, David Ben Gourion continuera d’ostraciser Begin et ses partisans.

Toute l’histoire du Herout, puis du Likoud est marquée par la recherche d’un équilibre entre rigueur idéologique et réalisme politique .

Après l’incident tragique de « l’Altalena », Begin ne croit pas en une guerre civile entre sionistes. Il fonde le Hérout, qu’il ancre au centre-droit.

Ben Gourion lui refuse toute réconciliation historique. A sa droite, subsiste le parti « révisionniste », fidèle à Zeev Jabotinsky, mais le Hérout finit par l’absorber, tout comme il le fait des anciens du « Lehi ». Et non l’inverse.

Grâce à ses 26% de suffrages, un bloc Hérout-centre libéral, entre, pour la première fois, en 1965, dans un gouvernement d’union nationale, à la demande des Travaillistes.

Begin s’allie à Sharon, en 1973, pour fonder le Likoud. Sa volonté de restituer le Sinaï à l’Egypte se solde par le départ de plusieurs compagnons de route, plus intransigeants. L’aventure libanaise de Sharon, en 1982, lui coûte son poste de Premier Ministre et l’amène, avec la mort de sa femme, à la démission et une réclusion volontaire. En 1991, Itzhak Shamir ne peut résister à la pression américaine, lors de la Conférence de Madrid.

L’autorité du Parti travailliste s’érode, suite à la victoire in extremis de 1973 et les démissions en chaîne qu’elle a occasionnée. C’est la dernière guerre conventionnelle dans cet environnement. Begin et Sharon fondent le Likoud, en unissant toutes les factions : des implantations, des Ashkénazes libéraux, des Séfarades, partisans de l’Etat social, des Orthodoxes…
Ensemble ils accomplissent le retournement de majorité, en 1977.

Ils autorisent l’implantation de 120.000 Israéliens, de l’autre côté de « la Ligne Verte ».

Pour la première fois depuis 1948, l’establishment travailliste est défait, aux élections de 1977. Begin, de la « droite dure », accueille Sadate à Jérusalem, le 19 novembre. Du jamais vu. Le tabou panarabe du refus radical de l’existence d’Israël vient de tomber, même si la « normalisation » se fait encore attendre.

Ce premier traité avec un pays arabe est le pivot des suivants. Il sème aussi les prémices de la naissance future d’Al Qaeda, lors de l’assassinat du Président Egyptien par les disciples de Sayyid Qtub, rédacteur de « Notre combat contre les Juifs » : les membres du Jihad Islamique égyptien (Al Zawahiri et consorts).


Première application de la résolution 242 et prix Nobel de la paix.

La droite a démontré, après 1979, sa capacité à infléchir la position de ses alliés politiques, les résidents des implantations : le 23 avril 1982, l’un des vainqueurs de 73, Ariel Sharon, du Likoud, évacue la population juive de Yamit, dans le désert égyptien. Il s’acquittera d’un tour de force similaire, mais aussi douloureux que controversé, en août 2005, en faisant sortir définitivement les Juifs de Gaza. Toute présence juive est éradiquée, les synagogues et les serres incendiées, piétinées, le Hamas s’installe aux commandes, deux ans plus tard. Le retrait unilatéral montre l’étendue de ses limites et ses risques saillants.

Néanmoins, faire la paix, rétrocéder des territoires conquis, démanteler certaines constructions, n’est donc pas l’apanage historique d’un bord politique. Un proche, sur l’échiquier politique, n’est-il pas mieux armé pour convaincre plus intransigeant que lui de « lâcher du lest » ? Golda Méïr aurait reçu, dès 1971 à 73 –avant la Guerre de Kippour-, des signaux émanant de Sadate, sur ses intentions de paix en l’échange du Sinaï. Mais la grande Dame s’y serait refusée, probablement, par crainte que sa popularité ne s’effrite.

Par contre, Begin fait preuve d’une même inflexibilité, lorsqu’il réplique, du tac au tac, à la déclaration d’Hafez al Assad de : « ne pas faire la paix avec Israël, même dans cent ans ». Il annexe, purement et simplement, le Golan, en 1981. Ou lorsqu’il déclare à l’envoyé de Ronald Reagan, que la Judée-Samarie constitue « la veine jugulaire d’Israël ». Il tire cette image de l’avancée, par surprise, des armées arabes sur le terrain, lors du conflit de 73. Dans un cas comme dans l’autre, le réalisme l’emporte sur le purisme idéologique.

On peut en déduire le schéma de la dissuasion israélienne : se montrer inflexible envers l’ennemi pour ouvrir la main à l’adversaire qui, de son côté, est réellement prêt à la tendre.

Mais, le « faucon » Begin se refuse à toute rigidité politique, déterminé à préserver une orientation centriste : c’est lui qui crée, au sein du Shin Bet, le service de sécurité intérieure, l’unité de surveillance des activités illégales des Juifs de Judée-Samarie, en 1980. Elle sera renforcée par Itzhak Shamir, son successeur, en 1984. Plusieurs affaires accélèrent le besoin d’infiltrer les groupes d’autodéfense (« l’Underground » de Moshe Zer) des implantations : Bassam Shaka, maire de Naplouse (OLP, plus tard opposé à tout accord) a les jambes arrachées par une bombe, Karim Khalaf (maire de Ramallah) est amputé d’un membre inférieur ; un projet d’attentat contre la Mosquée du Dôme du Rocher, qui aurait provoqué une guerre mondiale entre les deux religions, est déjoué. Rabin élève cette unité au rang de brigade, en 1992.

Conclusion : où en sommes-nous, aujourd’hui ?

La plupart des plans de paix validés par les Américains, à l’opposé des Européens, inféodés à la Ligue Arabe, proposent, depuis les accords de Taba (2001), que 80 à 85% des implantations juives de Judée-Samarie restent sous souveraineté israélienne . La Vallée du Jourdain et le Golan demeurent des zones stratégiques, visant à empêcher l’infiltration de groupes armés (il y a, aujourd’hui même, 10.000 Jihadistes d’Al Nusra au Sud du Plateau-, comme c’est le cas, depuis le Sinaï, en théorie seulement, « démilitarisé », alors qu’il n’a jamais autant été le théâtre du fracas des armes.


Vote pour l’exclusion d’Ariel Sharon du Cabinet, après l’affaire « Sabra et Chatila », perpétrée par les Phalangistes de Béchir Gemayel, mais endossée par le Ministre de la Défense de la plus puissante armée présente pour les en empêcher… ou pas.

Menahem Begin mettait un point d’honneur à se lancer à la rescousse des minorités non-arabes du Moyen-Orient. « Les Chrétiens ont abandonné les Maronites ! » s’exclame t-il. C’est ce qui l’entraîne, avec Arik Sharon, à entrer de plain-pied dans la première Guerre du Liban, pour chasser l’OLP du Sud et de Beyrouth. Les Chrétiens d’Orient sont toujours les premières victimes des percées islamistes, d’Irak jusqu’au Liban et en pays copte-égyptien. Les Kurdes, par contre, pourraient être les premiers bénéficiaires du « Printemps Arabe », s’ils parviennent à sauvegarder leur autonomie, entre le marteau jihadiste et l’enclume alaouite.

L’entente objective et la paix froide prévalent au Sud, avec l’Armée d’Egypte, alors que la Syrie et l’Irak restent les théâtres des plus grands massacres chi’ites-sunnites, depuis la nuit des temps.

Reste la question nucléaire iranienne. A l’extrême, et en cas d’abandon occidental, tout comme l’Europe a vendu les Sudètes à Hitler, l’indépendance stratégique d’Israël, en désespoir de cause, ne permettra jamais d’être pris pour « le 51ème Etat de l’Union » américaine, ni la Tchécoslovaquie de 1938, pour l’Europe, alors sous contrôle des Empires franco-britanniques, qui a déjà bradé la globalité de la Judée-Samarie, déclarée Judeinrein par Mahmoud Abbas, à l’OLP.

Par : Marc Brzustowski.

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david c

«…assembler deux neurones, ça peut mettre une vie entière ..» Courage ! ça peut venir plus vite . Mais , en ce qui concerne la transmission des « qualités » des géniteurs aux enfants , ça c’est plus problèmatique ! Et le rappel des déclarations de la dame , voilà quelques mois , font que les qualificatifs donnés par Jules26 me semblent trés justes ! (au fait , pourquoi « agent double » ?)

Armand Maruani

{{Si un homme a pu symboliser la détermination , le courage , l’honneur et la lutte implacable du Peuple Juif pour retrouver sa terre c’est bien Menahem Begin . Il représente l’un des plus grands hommes dans notre Histoire . Nous en sommes très fiers et lui serons reconnaissants pour l’éternité .}}

MarcBRZ

Tzipi Malka Livni est la fille de Eitan Livni, un immigré d’origine polonaise, qui fut directeur des opérations de l’Irgoun, une organisation armée sioniste. Il fut membre du Likoud et parlementaire. Sa mère Sara Rosenberg fut également membre de l’Irgoun.

Elle fut agent du Mossad, avant de se lancer en politique.

Ensuite, on peut différer sur les options sans pour autant faire le mariole.

L’agent-double Jules 26 peut-il en aligner autant sur son Curriculum Vitae avant de larguer son braillement de liquidateur fou?

Je sais, assembler deux neurones, ça peut mettre une vie entière, parfois…

jules26

avec tous ces gauchistes,et cette pourri de TZIPI LIVNI,il doit ce retourber dans sa tombe(ZI)