Dans leur livre « Le dernier tabou. Révélations sur la santé des présidents » publié mardi, les journalistes Denis Demonpion et Laurent Léger affirment que l’ancien chef de l’Etat aurait fait la demande d’une « injection » pour abréger ses souffrances.Le 8 janvier 1996, François Mitterrand, atteint d’un cancer pendant plus de 14 ans est décédé. Selon deux journalistes son « calvaire » aurait été « abrégé » par une « injection » par « voie intraveineuse ». Dans leur livre, les journalistes Denis Demonpion et Laurent Léger écrivent que l’ancien président en aurait fait la « demande expresse ».

François Mitterrand sur le plateau d’Antenne 2 face à Paul Amar et Henri Sannier le 22 mars 1988. © AFP

Dans le livre, un des fils de l’ancien chef de l’Etat, Gilbert Mitterrand, raconte qu’il « n’y a qu’une personne qui sache ce qui s’est passé, mais elle ne dira rien ». « Elle nous a juste raconté que tout s’était déroulé paisiblement », rapporte Gilbert Mitterrand. Cette personne aurait ensuite prévenu par téléphone le médecin personnel de François Mitterrand.

Edouard Balladur atteint d’un cancer des intestins

Les auteurs révèlent aussi qu’Edouard Balladur a été atteint d’un cancer des intestins après avoir quitté Matignon en 1995 et être redevenu un simple parlementaire. « Puisque j’étais simple député, ça n’a intéressé personne », a confié l’ancien Premier ministre aux deux auteurs.

Concernant Nicolas Sarkozy, Denis Demonpion et Laurent Léger affirment que le président-candidat « avale des comprimés dépourvus d’autorisation de mise sur le marché (AMM), ce sésame indispensable à la commercialisation en pharmacie et à sa prescription médicale ». Ils ne précisent toutefois pas quels sont ces médicaments destinés à le « remettre d’aplomb ». Le livre évoque aussi l’accident vasculaire cérébral dont a été victime Jacques Chirac le 2 septembre 2005. Il affirme que Bernadette et Claude Chirac ont fait pression sur les médecins pour « passer sous silence » l’AVC.

TF1 Article original

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François Mitterrand a-t-il été euthanasié?

Dans un livre publié ce mardi, deux journalistes affirment que l’ancien président de la République a vu son calvaire « abrégé » par une « injection ». Ils révèlent également qu’Edouard Balladur a souffert d’un cancer et que Nicolas Sarkozy prendrait des médicaments non autorisés.

A moins de deux semaines du premier tour, c’est la vie d’un autre président, qui interroge. Ou plutôt sa fin de vie. Dans un livre intitulé Le dernier tabou. Révélations sur la santé des présidents, les journalistes Denis Demonpion et Laurent Léger révèlent que François Mitterrand, atteint d’un cancer pendant plus de 14 ans, a vu son « calvaire abrégé » le 8 janvier 1996 par une « injection » par « voie intraveineuse ».

Dans ce livre (éd. Pygmalion), les auteurs écrivent que l’ancien président, cloué au lit par le cancer dont il est atteint depuis 1981, a vu « un lundi, à sa demande expresse, son calvaire abrégé ». « Une injection lui fut administrée par voie intraveineuse », précisent-ils.

Un des fils de l’ancien chef de l’Etat, Gilbert Mitterrand, relate dans le livre qu’il « n’y a qu’une personne qui sache ce qui s’est passé, mais elle ne dira rien ». « Elle nous a juste raconté que tout s’était déroulé paisiblement », rapporte Gilbert Mitterrand. Cette personne a prévenu ensuite par téléphone le médecin personnel de François Mitterrand, le Dr Claude Gubler, précise le livre.

Sarkozy et les médicaments non autorisés

Les auteurs révèlent aussi qu’Edouard Balladur a été atteint d’un cancer des intestins après avoir quitté Matignon en 1995 et être redevenu un simple parlementaire. « Puisque j’étais simple député, ça n’a intéressé personne », a confié l’ancien Premier ministre aux deux auteurs.

Concernant Nicolas Sarkozy, Denis Demonpion et Laurent Léger affirment que le président-candidat « avale des comprimés dépourvus d’autorisation de mise sur le marché (AMM), ce sésame indispensable à la commercialisation en pharmacie et à sa prescription médicale ». Ils ne précisent toutefois pas quels sont ces médicaments destinés à le « remettre d’aplomb ».

Le livre évoque aussi l’accident vasculaire cérébral dont a été victime Jacques Chirac le 2 septembre 2005. Il affirme que Bernadette et Claude Chirac ont fait pression sur les médecins pour « passer sous silence » l’AVC.

AFP

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David

C’est en 1981 qu’on aurait deja du le piquer. Ca aurait abegré le calvaire des français.