« Il est effectivement inquiétant que des élus de la République parlent en ces termes d’Israël, d’autant que le texte intégral comprend des termes si virulents que de Gaulle – avec son Peuple d’élite, fier de lui et dominateur – se verrait rangé au rang des amis d’Israël. »

Et les députés de l’UMP (6) dont certains se disent amis d’Israël (Renaud Muselier) sont plus nombreux que les socialistes (4): la mission d’information est même présidée par le député UMP des Alpes Maritimes Lionnel Luca, Renaud Muselier (Bouches du Rhone), Nicole Ameline (Calvados), Claude Birraux (Haute Savoie), Jean-Claude Guiba ( Alpes Maritimes), Jean-Marc Nesme (Bourgogne).

Dans un communiqué de presse, Claude GOASGUEN, Député-maire du XVIe arrondissement de Paris et Président du groupe d’amitié France-Israël à l’Assemblée nationale déplore les propos tenus sur Israël dans le rapport d’information de Jean GLAVANY, déposé devant la commission des Affaires étrangères, à propos de la géopolitique de l’eau qui, pour faire court, accuse Israël de pratiquer l’Apartheid. On ne peut pas mettre en doute la bonne foi de Claude Goasguen et la réalité de son engagement.

Il est effectivement inquiétant que des élus de la République parlent en ces termes d’Israël, d’autant que le texte intégral comprend des termes si virulents que de Gaulle – avec son Peuple d’élite, fier de lui et dominateur – se verrait rangé au rang des amis d’Israël. Mais pour être complet, Claude Goasguen aurait du livrer la composition de la mission d’information, ce qui l’aurait conduit… Non pas à dénoncer le PS mais également son propre parti.

Le texte en cause est une partie d’un rapport sur la « géopolitique de l’eau », déposé le 13 décembre dans le cadre de la Commission des Affaires étrangères. La mission d’information est présidée par Lionnel Luca, député UMP des Alpes Maritimes, son rapporteur est Jean Glavany, député PS des Hautes Pyrénées.
Glavany est un « poids lourd » du PS même si il fait aujourd’hui partie des dinosaures du parti: chef de cabinet de François Mitterrand, plusieurs fois ministre et même Vice-Président de l’Assemblée nationale pendant un an.

Mais ils ne sont bien entendu pas seuls dans cette commission qui comprend des élus de toutes tendances politiques, dont certains, comme Renaud Muselier UMP »>Article original, se targuent d’être des amis d’Israël, ce qui ne l’a pas empêché d’adhérer à un rapport dont les termes sont outranciers.

Outre Lionnel Luca et Jean Glavany, la mission comprend donc :
UMP: Renaud Muselier (Bouches du Rhone), Nicole Ameline (Calvados), Claude Birraux (Haute Savoie), Jean-Claude Guiba ( Alpes Maritimes), Jean-Marc Nesme (Bourgogne).
PS: Jacques Bascou (Aude), Gilles Cocquempot (Pas de Calais), Jean-Pierre Kucheida (Pas de Calais)
Gauche démocrate: Alain Bocquet (PCF, Nord)

Nous publions quasiment « in extenso », la totalité de « l’encadré N°3 » de ce rapport, c’est-à-dire la partie concernant Israël.

L’eau, révélatrice d’un nouvel apartheid au Moyen Orient
Mise en place en 1948 par le premier ministre F. Malan, l’apartheid a vu le développement différencié des groupes ethniques en Afrique du Sud pendant un demi siècle.

Cette politique consistait à la fois en une ségrégation raciale et spatiale (cloisonnement des populations noires et « coloured » dans des espaces confinés appelés bantoustans) mais aussi en une ségrégation citoyenne, les libertés d’une partie de la population (restriction du droit d’aller et venir, du droit de se rassembler dans les lieux publics, violences policières) étant bafouées.(…)

Bien sûr, comparaison n’est pas forcément raison : la Palestine n’est pas l’Afrique du Sud, et les années 2010 ne sont pas celles d’avant 1990.

Pourtant, il est des mots et des symboles qui par leur force peuvent avoir une vertu pédagogique.
Or, tout démontre, même si bien peu nombreux sont ceux qui osent employer le mot, que le Moyen-Orient est le théâtre d’un nouvel apartheid.

La ségrégation y est raciale mais comme on n’ose pas le dire, on dira pudiquement « religieuse ». Pourtant, la revendication d’un état « Juif » ne serait-elle que religieuse?

La ségrégation est spatiale également: le mur élevé pour séparer les deux communautés en est le meilleur symbole. La division de la Cisjordanie en trois zones, A, B et C en est une autre illustration :
L’armée israélienne a transféré à l’Autorité palestinienne la responsabilité des affaires civiles, c’est-à-dire la fourniture de services à la population, dans les zones A et B. Ces deux zones, qui contiennent près de 95 % de la population palestinienne de Cisjordanie, ne représentent que 40 % du territoire.
La zone C reste entièrement placée sous l’autorité de l’armée israélienne. Cette zone représente 60 % du territoire de la Cisjordanie, avec toutes les réserves foncières et l’accès aux ressources aquifères, ainsi que toutes les routes principales.
La ségrégation est aussi hautaine et méprisante (« ces gens-là ne sont pas responsables »…répètent à l’envie certains responsables israéliens), vexatrice et humiliante (les passages aux check point sont restreints ou relâchés sans prévenir) voire violentes (la répression des manifestations fait régulièrement des morts…).

C’est donc bien d’un « nouvel apartheid » qu’il s’agit. Et dans cette situation, l’eau est ainsi un élément particulier du conflit entre Palestiniens et Israéliens, au point qu’elle constitue le « 5ème volet » des accords d’Oslo.

La Déclaration d’Oslo du 13 septembre 1993 reconnaît les droits des Palestiniens sur l’eau en Cisjordanie. L’accord intérimaire de Taba du 28 septembre 1995 prévoit un partage des eaux jusqu’à la signature d’un accord permanent. Mais ce partage est incomplet : il ne porte que sur les aquifères ; le Jourdain en est exclu, les Palestiniens n’y ayant plus accès.

Ensuite il gèle les utilisations antérieures et ne répartit que la quantité d’eau encore disponible, c’est dire 78 mètres cubes de l’aquifère oriental. Il est donc très défavorable aux Palestiniens qui n’exploitent que 18 % des aquifères ; soit 10 % de l’eau disponible sur le territoire.
C’est pourquoi sans règlement politique global, on voit mal comment ce qui est devenu un véritable « conflit de l’eau » pourrait trouver une solution.

Quelles sont donc les caractéristiques de ce « conflit de l’eau » ?
Du point de vue « hydrique », il concerne avant tout le fleuve Jourdain, où sont réunis tous les éléments prompts à déclencher une « crise de l’eau » : depuis le début du conflit, guerre après guerre, les « extensions territoriales » d’Israël, qu’on le veuille ou non, s’apparentent à des « conquêtes de l’eau », que ce soit des fleuves ou bien des aquifères.

Or, l’eau est devenue au Moyen-Orient bien plus qu’une ressource : c’est une arme.

Pour comprendre la nature de cette « arme » au service de ce « nouvel apartheid », il faut savoir, par exemple, que les 450 000 colons israéliens en Cisjordanie utilisent plus d’eau que 2,3 millions de Palestiniens.

Sachons aussi entre autres multiples exemples que :
– la priorité est donnée aux colons en cas de sécheresse en infraction au droit international ;
– le mur construit permet le contrôle de l’accès aux eaux souterraines et empêche les prélèvements palestiniens dans la « zone tampon » pour faciliter l’écoulement vers l’ouest ;
– les « puits » forés spontanément par les Palestiniens en Cisjordanie sont systématiquement détruits par l’armée israélienne ;
– à Gaza les réserves d’eau ont été prises pour cible en 2008-2009 par les bombardements.
– et comme les zones A et B ne sont pas d’un seul tenant, mais fragmentées en enclaves entourées par des colonies israéliennes et par des routes réservées aux colons, ainsi que par la zone C, cette configuration entrave le développement d’infrastructures performantes pour l’approvisionnement en eau et l’évacuation des eaux usées.

La plupart des Palestiniens résident dans les zones A et B, mais les infrastructures dont ils dépendent se trouvent dans la zone C ou la traversent. Les déplacements des Palestiniens dans la zone C sont limités ou interdits ; l’armée israélienne autorise rarement les travaux de construction ou d’aménagement.

On peut citer plusieurs exemples de stations d’épuration programmées par le ministère palestinien de l’Eau et qui sont « bloquées » par l’administration israélienne.

Les Israéliens reprochent aux Palestiniens l’existence de puits non contrôlés responsables de pompages excessifs et d’une salinisation des aquifères. Ils citent l’exemple de Gaza où l’aquifère est en passe d’être perdu. Ils reprochent également l’absence de traitement des eaux.
Seuls 31 % des Palestiniens sont raccordés.

Mais le Comité n’a approuvé que 50 % des projets palestiniens, avec d’énormes retards, alors que son autorisation doit encore être suivie d’une autorisation administrative pour la zone C.

L’appropriation des ressources par les colonies et par le tracé du mur est également troublant. La surexploitation des aquifères est avérée.
Les Israéliens se fondent sur la théorie de la première appropriation pour défendre leurs droits et refusent toute gestion partagée dans une vision sécuritaire de l’eau. Israël propose des solutions, parfois intéressantes, mais où il garderait la maîtrise de l’eau.

Il a semblé à la mission que le pays préférerait abandonner les aquifères, en finissant de développer le dessalement, plutôt que de mettre en place une gestion partagée. Il n’y aura pas de partage de l’eau sans solution politique sur le partage des terres.

Pourtant, un comité conjoint sur l’eau (Water joint committee) a été créé par les accords d’Oslo II. Il a compétence pour toutes les questions d’eau relative aux seuls Palestiniens sur le territoire de la Cisjordanie. Ce n’est donc pas un organisme de gestion partagée et encore moins de bassin. Il fonctionne en outre sur le mode du consensus ce qui donne de facto un pouvoir de veto à Israël.

Source: Israël Infos par Gerard Fredj – PHILOSEMITE Article original

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Les hommes politiques français ne sont pas sérieux et, c’est pour cela qu’ils ont perdus la confiance du peuple français.

La France mène une politique étrangère axée sur une méthode de profits électoralistes, en France la « politique » l’emporte définitivement sur la vie réelle au détriment du peuple français.

Les hommes politiques français ont des solutions sur pratiquement tout sauf sur l’essentiel, « l’avenir du peuple français ».

La question qui doit être posée aux hommes politiques français est pourquoi voulez-vous donnez des leçons aux autres pays alors que vous n’êtes même pas capable d’assurer le bien-être du peuple français ?

DALUJO

Le caractère outrancier de ce Rapport m’a conduit à le communiquer pour avis (en ce qui concerne la partie concernant « la politique de l’eau ») à mon beau-frère, Ingénieur de l’Ecole des Mines de Paris et qui a fait toute sa carrière professionnelle dans l’exploitation des ressources aquifères et le traitement de l’Eau.
Après avoir travaillé chez le spécialiste français Degremont, il est parti s’installer en Israël où il a développé une expertise reconnue sur ces questions .
Voici ses réponses aux affirmations erronées contenues dans ce Rapport.
C’est peut-être long à lire mais indispensable pour se rendre compte du travail de désinformation auquel se sont livrés ces députés!

FRANCE- Assemblée nationale : Israël pratique un Apartheid hautain et méprisant
Dans un Communiqué de presse, Claude GOASGUEN, Député-maire du XVIe arrondissement de Paris et Président du groupe d’amitié France-Israël à l’Assemblée nationale déplore les propos tenus sur Israël dans le rapport d’information de Jean GLAVANY, déposé devant la commission des Affaires étrangères, à propos de la géopolitique de l’eau qui, pour faire court, accuse Israël de pratiquer l’Apartheid.

Nous publions quasiment « in extenso », la totalité de « l’encadré N°3 » de ce rapport, c’est-à-dire la partie concernant Israël.

L’eau, révélatrice d’un nouvel apartheid au Moyen Orient. S’il y a une politique de type apartheid mise en application en Israel limitant ou augmentant les droits des populations suivant leur religion il faut la rechercher dans les pays arabes de la région : Egypte (Anti-Coptes), Syrie (Anti-Sunnites et anti-juifs), Arabie Saoudite (Anti Non Musulmans) et Autorité Palestinienne (Anti Chrétiens et Anti-juifs),GAZA ((Anti Chrétiens et Anti-juifs),…

La ségrégation y est raciale mais comme on n’ose pas le dire, on dira pudiquement « religieuse ». Pourtant, la revendication d’un état « Juif » ne serait-elle que religieuse ?
{{Personne ne le prétend : c’est une revendication nationale dont l’objet est de mettre un terme a la revendication palestinienne du retour des refugies en Israel et non dans l’Etat a créer par la négociation dans des territoires de Cisjordanie et De Gaza. Par Contre tous les pays qui se déclarent constitutionnellement musulmans ce qu’Israel ne fait pas cette déclaration annonce une politique de discrimination}}La ségrégation est spatiale également : le mur élevé pour séparer les deux communautés en est le meilleur symbole.
{{C’est une absurdité ! Ce » mur » qui est le plus souvent une simple clôture est destinée a éviter l’entrée sans contrôle en Israel d’étrangers comportant des immigrants illégaux ,des travailleurs saisonniers , des terroristes, etc.. Il n’y a pas comme en France des obstacles naturels qui permettent de contrôler l’entrée dans le pays}}.
La division de la Cisjordanie en trois zones, A, B et C en est une autre illustration! La aussi c’est une absurdité :{{la aussi il s’agit des accords d’Oslo qui permettaient aux Autorités Palestiniennes dans une Première Etape de faire la preuve de leurs capacités a administrer un territoire de façon pacifique afin de permettre ultérieurement de signer des Accords Définitifs. Les Accords Définitifs Négociés par ARAFAT, CLINTON et BARAK n’ont jamais été signes ni par Arafat qui a déclenché la deuxième INTIFADA ni par ses successeurs}}.
L’armée israélienne a transféré à l’Autorité palestinienne la responsabilité des affaires civiles, c’est-à-dire la fourniture de services à la population, dans les zones A et B. Ces deux zones, qui contiennent près de 95 % de la population palestinienne de Cisjordanie, ne représentent que 40 % du territoire.
La zone C reste entièrement placée sous l’autorité de l’armée israélienne. Cette zone représente 60 % du territoire de la Cisjordanie, avec toutes les réserves foncières et l’accès aux ressources aquifères, ainsi que toutes les routes principales.
{{C’était déjà un énorme pas en avant, de permettre a des dirigeants d’une organisation qui juste avant Oslo défendait des positions de reconquête terroriste de lui confier pour faire ses preuves 95 % de la population civile palestinienne!}}

La Déclaration d’Oslo du 13 septembre 1993 reconnaît les droits des Palestiniens sur l’eau en Cisjordanie. L’accord intérimaire de Taba du 28 septembre 1995 prévoit un partage des eaux jusqu’à la signature d’un accord permanent. Mais ce partage est incomplet : il ne porte que sur les aquifères ; le Jourdain en est exclu, les Palestiniens n’y ayant plus accès.
{{Celui qui écrit cette phrase n’a jamais pris la peine de visiter la vallée du Jourdain : à l’échelle européenne il s’agit une toute petite rivière dont les eaux sont pompées au niveau des affluents par les Syriens, par les Libanais avant l’entrée dans le Lac De Tibériade, par les Israéliens a partir du Lac, et par les Jordaniens au niveau du Yarmouk affluent essentiel du Jourdain.
Ce qui en reste dans le Jourdain n’est même pas suffisant pour compenser l’évaporation des Eaux de la Mer Morte dont le niveau baisse tous les ans.
}} Ensuite il gèle les utilisations antérieures et ne répartit que la quantité d’eau encore disponible, c’est dire 78 mètres cubes de l’aquifère oriental. Il est donc très défavorable aux Palestiniens qui n’exploitent que 18 % des aquifères ; soit 10 % de l’eau disponible sur le territoire.
{{La il s’agit d’Idioties ! Les nappes souterraines de Judée Samarie se trouvent sous les Territoires d’Israel et seulement pour partie sous les territoires de l’Autorité Palestinienne. Elles n’ont jamais été exploitées ni par les Arabes avant 1948, ni durant la période ou ces territoires étaient jordaniens (1948-1967).La raison en est que les besoins d’eaux des populations palestiniennes ont toujours été et demeurent très limites (20 litres/jour-hab. pour des besoins hygiéniques contre 150 l/ jour-hab. en Israel , presque pas d’agriculture la région étant impropre en dehors de la culture de l’olivier dont la consommation d’eau est très faible) et absence totale de jardins avec gazons et parterres de fleurs considérés comme des gaspillages par la culture des arabes de la régions. Les Accords signes par les Palestiniens a Oslo leur permettaient de répondre a tous leurs besoins avec une large marge de sécurité.}}
C’est pourquoi sans règlement politique global, on voit mal comment ce qui est devenu un véritable « conflit de l’eau » pourrait trouver une solution.
{{Ce qui est exact c’est qu’il y a un conflit de l’eau pour d’autre raisons: ces nappes souterraines non essentielles pour les Palestiniens le sont pour les Israéliens. Elles sont faciles relativement a polluer et les terroristes ont essaye de le faire. Tant que les Palestiniens ne nous ne donneront pas de garantie a ce sujet nous ne signerons avec eux aucun accord de paix.}} Quelles sont donc les caractéristiques de ce « conflit de l’eau » ?
Du point de vue « hydrique », il concerne avant tout le fleuve Jourdain, où sont réunis tous les éléments prompts à déclencher une « crise de l’eau » : depuis le début du conflit, guerre après guerre, les « extensions territoriales » d’Israël, qu’on le veuille ou non, s’apparentent à des « conquêtes de l’eau », que ce soit des fleuves ou bien des aquifères.
{{IDIOT ! Lire ce que j’ai écrit la dessus sur le Jourdain : de plus les guerres ont été déclenchées et continuent à l’être par les pays arabes ou les Palestiniens (cf. L’envoi systématique de roquettes sur nos populations civiles sans que les députes français s’indignent!
or, l’eau est devenue au Moyen-Orient bien plus qu’une ressource : c’est une arme. L’eau a toujours été une arme terroriste contre Israel (par le détournement des affluents du Jourdain par la Syrie puis par le HISBOLLAH , par les essais permanents de polluer les ressources depuis 1948 !}} Pour comprendre la nature de cette « arme » au service de ce « nouvel apartheid », il faut savoir, par exemple, que les 450 000 colons israéliens en Cisjordanie utilisent plus d’eau que 2,3 millions de Palestiniens.
{{STUPIDE ! Les 60 millions de Français utilisent plus d’eaux que les centaines de millions d’arabes d’Afrique du Nord et Alors !}} Sachons aussi entre autres multiples exemples que :
– la priorité est donnée aux colons en cas de sécheresse en infraction au droit international ; {{C’est une connerie ! Malgré la guerre que nous fait le HAMAS nous n’avons jamais arrêté nos livraisons d’eaux a GAZA pour des raisons humanitaires!}}- le mur construit permet le contrôle de l’accès aux eaux souterraines et empêche les prélèvements palestiniens dans la « zone tampon » pour faciliter l’écoulement vers l’ouest ; Connerie ! Les Palestiniens n’ont ni les moyens ni la capacité Technique, ni la volonté d’accéder aux ressources souterraines sinon pour les polluer!
– les « puits » forés spontanément par les Palestiniens en Cisjordanie sont systématiquement détruits par l’armée israélienne ; L’eau se trouve a des centaines de mètres en dessous du sol:les puits n’atteignent pas l’eau mais peuvent servir a la polluer (géologie de calcaire fissure!)
– à Gaza les réserves d’eau ont été prises pour cible en 2008-2009 par les bombardements.
{{FAUX ! Les réserves d’eaux de GAZA sont entre 0.50 m a 1.5 m en dessous du sol :elles sont systématiquement polluées par la population par l’envoi d’eaux usées dans ces réserves sans intervention du HAMAS
– et comme les zones A et B ne sont pas d’un seul tenant, mais fragmentées en enclaves entourées par des colonies israéliennes et par des routes réservées aux colons, ainsi que par la zone C, cette configuration entrave le développement d’infrastructures performantes pour l’approvisionnement en eau et l’évacuation des eaux usées. Conneries ! Lire ci-dessus!}}
La plupart des Palestiniens résident dans les zones A et B, mais les infrastructures dont ils dépendent se trouvent dans la zone C ou la traversent. Les déplacements des Palestiniens dans la zone C sont limités ou interdits ; l’armée israélienne autorise rarement les travaux de construction ou d’aménagement.

{{On peut citer plusieurs exemples de stations d’épuration programmées par le ministère palestinien de l’Eau et qui sont « bloquées » par l’administration israélienne. La est le vrai problème et les pays comme la France portent une responsabilité extrêmement grave dans cette situation. Pour protéger les nappes phréatiques de la régions communes a Israel et aux territoires palestiniens il est indispensable d’utiliser les traitement d’eaux usées les plus avances et d’exploiter les stations d’épuration par des techniciens compétents: sous prétexte d’aide aux palestiniens tous les Européens et particulièrement les Allemands et les Français fournissent des équipements caducs incapables de répondre aux besoins: Israel a juste titre bloque ce type de projets plus nuisibles qu’utiles. J’ai eu personnellement l’expérience de l’étude pour le maire de NAPLOUSE (une des très grandes villes de Cisjordanie) du projet de Station d’épuration propose par le Gouvernement Allemand ! C’était Honteux !}} Les Israéliens reprochent aux Palestiniens l’existence de puits non contrôlés responsables de pompages excessifs et d’une salinisation des aquifères. L’eau se trouve a des centaines de mètres en dessous du sol: les puits n’atteignent pas l’eau mais peuvent servir a la polluer (géologie de calcaire fissure!)
Ils citent l’exemple de Gaza où l’aquifère est en passe d’être perdu.
{{FAUX ! Les réserves d’eaux de GAZA sont entre 0.50 m a 1.5 m en dessous du sol :elles sont systématiquement polluées par la population par l’envoi d’eaux usées dans ces réserves sans intervention du HAMAS . La responsabilité du HAMAS et des pays comme la France qui se murent dans leur silence est accablante! J’ai moi-même conseille gratuitement les ingénieurs du PWA (Palestinian Water Authority) à propos de GAZA avant la prise du pouvoir du HAMAS. La politique appliquée par le Hamas est la politique du pire: On ne fait rien pour arrêter le désastre de la pollution de la nappe phréatique, on pleure on accuse les juifs et il y a des députés français prêts a reprendre a leur compte ces accusations fausses.}} Ils reprochent également l’absence de traitement des eaux.
Seuls 31 % des Palestiniens sont raccordés.

Mais le Comité n’a approuvé que 50 % des projets palestiniens, avec d’énormes retards, alors que son autorisation doit encore être suivie d’une autorisation administrative pour la zone C. La est le vrai problème et les pays comme la France portent une responsabilité extrêmement grave dans cette situation. Pour protéger les nappes phréatiques de la régions communes a Israel et aux territoires palestiniens il est indispensable d’utiliser les traitement d’eaux usées les plus avances et d’exploiter les stations d’épuration par des techniciens compétents: sous prétexte d’aide aux palestiniens tous les Européens et particulièrement les Allemands et les Français fournissent des équipements caducs incapables de répondre aux besoins: Israel a juste titre bloque ce type de projets plus nuisibles qu’utiles. J’ai eu personnellement l’expérience de l’étude pour le maire de NAPLOUSE (une des très grandes villes de Cisjordanie) du projet de Station d’épuration propose par le Gouvernement Allemand ! C’était Honteux !

L’appropriation des ressources par les colonies et par le tracé du mur est également troublante. {{FAUX !
La surexploitation des aquifères est avérée. Il y a surexploitation a GAZA exclusivement et la responsabilité est exclusivement celle du HAMAS!}} Les Israéliens se fondent sur la théorie de la première appropriation pour défendre leurs droits et refusent toute gestion partagée dans une vision sécuritaire de l’eau. Israël propose des solutions, parfois intéressantes, mais où il garderait la maîtrise de l’eau. Bien Entendu que nous devons garder le contrôle de l’eau pour éviter ce qui s’est passe a Gaza!

Il a semblé à la mission que le pays préférerait abandonner les aquifères, en finissant de développer le dessalement, plutôt que de mettre en place une gestion partagée. Il n’y aura pas de partage de l’eau sans solution politique sur le partage des terres.

Pourtant, un comité conjoint sur l’eau (Water joint committee) a été créé par les accords d’Oslo II. Il a compétence pour toutes les questions d’eau relative aux seuls Palestiniens sur le territoire de la Cisjordanie. Ce n’est donc pas un organisme de gestion partagée et encore moins de bassin. Il fonctionne en outre sur le mode du consensus ce qui donne de facto un pouvoir de veto à Israël.

oussamafaitmal

IL ya bien longtemps que le PS avec Pascal Boniface a « intégré » qu’il n’est pas productif de s’aliéner le vote musulman français !!
Le vote juif si tant est qu’il y en ait un n’existe plus en FRANCE!!!
Les déçus du Gaullisme en 67…., du Giscardisme….., du Mitterandisme . du Chiraquisme… c’est à dire de 40 ans de politique pro arabe de la FRANCE….. , montrent bien la position toujours difficile des juifs français!! Comment espèrer que la balance du commerce extérieure française devienne excédentaire si elle abandonne les multiples contrats signés avec tous les pays ouvertement anti israéliens qui l’approvisionnent!!
La masse des français est attachée à ce petit pays malgré toute la propagande pro palestinienne en oeuvre depuis des décennies!
Mais la diabolisation , la délégitimation systématique par des groupes d’extréme gauche , est « ouverte » et au grand jour!!
Le quai d’Orsay et le Foreign Office, n’ont pas beaucoup changé depuis qu’ils pratiquent ouvertement une diplomatie pro arabe!!
Combien de ceux qui vilipendent Israél se sont ils intéressés aux résultats des accords d’Oslo jamais respectés par les palestiniens??
ET aucun accord , aussi bien civil .. que militaire n’a jamais été respecté par les palestiniens!!
Chiffons de papier écrits avec l’enthousiasme des chancelleries occidentales qui ont nourri, de prébendes les fonctionnaires du Fatah ex terroristes rendus fréquentables grace à l’Europe corrompue et achetée!!
Tous les « éligibles » promettent toujours la lune à ceux qui votent pour eux!!
ET les juifs français tombent à chaque fois dans le piège!!
Ils ne demandent qu’un peu d’objectivité dans ce conflit,
Véxés que GIscard ait pu du côté jordanien regarder à la jumelle les avants postes Israéliens, ils se sont trouvés honorés que Mitterand parle à la Knesset!!
Mais qu’il y parla pour confirmer sa détermination à un état palestinien fut aussi un étonnement!!
Sans parler de voir l’armée français sauver armes et bagages à Beyrout aprés que Mr Arafat eût tenté de détruite le Liban, comme il avait essayé sans réussir de détruire la Jordanie!
Ne pas se faire d’illusion !! Jamais!!
Les juifs sont toujours utilisés à leur insu, dans l’histoire cela se pratiquait avec le chantage aux métiers…,à la résidence…, aux sauf conduits… aux numerus clausus!!!!,……. de nos jours c’est plus libéral….. c’est avec le vote!!!!

Gerco

Cette question de l’eau rempli d’aise tous les anti sionistes c’est à dire les ennemis d’Israel ou plus exactement tous les antijuifs. Qu’attendre de la france avec un Juppé pour l’UMPS et de l’autre côté avec le PS et les verts bruns ?

Denis

la France cultive un esprit hautain et dédaigneux, il suffit pour s’en rendre compte, de voir l’attitude du « fort en thème » Juppé, mais elle se vérifie de Gauche (Mitterand), comme de Droite (Degaulle). Les hommes politiques, les Hauts-fonctionnaires, les Hommes d’affaires français ont pratiquement tous ce comportement policé et hautain ( ils ont tous hérité du roi-soleil). Mais personne n’est dupe, et cette attitude est de plus en plus éculée aux yeux des nations. Ce comportement paternaliste et néo-colonialiste ne répond plus en Afrique et ne marche pas avec Israël. Dans quelque temps la France ne sera sur la scène Européenne, guère plus que la Pologne. Français sortez de votre mégalomanie!…

S.LEVY

Israel n’oblige personne d’y rester! Ceux qui se sentent incommodés et lésés, eh bien qu’ils aillent retrouver du confort chez les Arabes!